l'autobiographie: Rédaction croquis Paul Rubens

« Rédaction croquis Paul Rubens J’ai choisi d’examiner le croquis de Pierre Paul Rubens et le tableau P1973-B71 de Hans Hartung.

Ces deux œuvres font partie de la même forme artistique, l’art visuel, mais reste tout de même l’exact opposé l’une de l’autre.

Paul Rubens a vécu à la première moitié du XVIIème siècle, tandis que Hans Hartung est né au début du XXème siècle.

Ayant plusieurs siècles d’écart, on remarque également un décalage du style des deux artistes.

Nous allons analyser comment l’époque exerce une influence sur les œuvres d’un artiste.

Nous allons commencer par présenter Rubens et son œuvre, puis nous ferons la même chose avec Hartung. Paul Rubens a eu beaucoup de succès durant sa vie, notamment auprès de l’aristocratie.

Sa principale cliente était Marie de Médicis, pour laquelle il a fait vingt-quatre tableaux nommés le cycle de Marie de Médicis.

Ces peintures servent à redorer l’image de Marie qui est alors veuve d’Henry IV et juger non apte à diriger, ces tableaux ont donc pour but de redorer son image pour que celle-ci puisse rester au pouvoir aisément à la place de son fils Louis XIII.

Sur ces tableaux, elle est donc représentée comme un être hors du commun plusieurs fois comparé à une déesse.

Ainsi la beauté de ces tableaux illustre l’esthétisme que Rubens met dans ces tableaux.

Il est réputé pour magnifier et mettre en valeur ces modèles en innovant. Le premier croquis de Paul Rubens nous offre l’image d’un combat particulièrement dynamique représentant des hommes et des bêtes.

Au centre du dessin, nous pouvons observer un cheval qui rue tandis que son cavalier se fait sauvagement attaquer par lion qui lui mord l’épaule.

A gauche de ce personnage, on voit deux autres hommes un en avant et l’autre en arrière, également sur un cheval qui attaquent le lion avec une lance pour défendre leur partenaire.

A droite, on peut voir des ébauches d’un autre homme sur son destrier, ainsi qu’un autre homme à terre qui achève ce qui semble être un loup ou un fauve.

A terre, on suppose une corp difforme et piétinée sous les sabots des chevaux. Bien que ce ne soit qu’un croquis, les détails que Paul Rubens ajoute à son dessin montre son application à fournir un travail réaliste et fidèle à la réalité tout en illustrant une scène fantastique.

Il a fait attention à dessiner les ombres et les lumières tout en restant dans le monochrome ce qui met particulièrement en valeur la crinière du cheval au centre qui semble s’illuminer avec magie tel un pégase ou une licorne.

A l’inverse, le sol de la.... »