La sensibilité «baroque» (1570-1650)

« La sensibilité (1570-1650) 1573 1578 1580 1581 1583 1594 DESPORTES, Premières Œuvres (p.). Semaine (p.). MONTAIGNE, Essais (1'0 édition). LA BOÉTIE, Le Contre-Un (id.). GARNIER, Les Juives (t.). DU BARTAS, La CHRESTIEN, PASSERAT, PITIIOU, RAPIN,•••, La Satire Ménippée (p.

id.). 1603 HARDY, Didon (t.). 1613 LA CEPPÈDE, Théorêmes spirituels (p.). 1614 ROSSET, Histoires mémorables et tragiques de ce temps. 1616 D'AUBIGNÉ, Les Tragiques (p.). 1621 TIIÉOPHILE D� VIAU, Œuvres (p.). Le mot «baroque» * vient du portugais «barroco», qui signifie: perle irrégulière. Il s'applique d'abord aux arts plastiques de la fin du xv1e s., pour traduire un jugement péjoratif porté sur une esthétique de l'irrégularité, du mouvement, de l'ostentation. Cet art est néanmoins l'aboutissement de la tradition renaissante, qu'illustrent les peintures des Italiens Michel-Ange et le Caravage. Peu violent en France, le Baroque dominera l'Europe durant le xv1r s. En France, le courant.baroque en littérature comporte une multitude de tendances contradictoires dans leurs visées et leurs modes d'expression, mais peut se centrer autour de quelques principes communs: goût de la sensualité, des extrêmes, de l'ornementation, du langage à effets. ¼ CORNEILLE, L Jllusion ..

comique (com.), Le Cid (t.

com.). 1642 SAINT-AMANT, ŒU'Dres (p.). TRISTAN L'HERMITE,Le Page disgracié (r.) 1646 MAYNJ\RD, Œuvres (p.). ROTROU, Saint-Genet (t.). 1651 SCARRON,Le Roman Comique (1re partie). 1648-1652: floraison des mazarinades, pam­ phlets en vers et en prose du temps de la guerre civile de la Fronde. 1636 • L'utilisation de la notion .de «Baroque» pour dési­ gner spécifiquement et de façon laudative un courant littéraire et artistique de la fin du xvr• et début du XVII· s., date du�· S.. »