André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Voilà ce que chantait aux Naïades prochaines
Extrait du document
André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Voilà ce que chantait aux Naïades prochaines Voilà ce que chantait aux Naïades prochaines Ma Muse jeune et fraîche, amante des fontaines, Assise au fond d'un antre aux nymphes consacré, D'acanthe et d'aubépine et de lierre entouré. L'Amour, qui l'écoutait caché dans le feuillage, Sortit, la salua Sirène du bocage. Ses blonds cheveux flottants par lui furent pressés D'hyacinthe et de myrte en couronne tressés : " Car ta voix, lui dit-il, est douce à mon oreille, " Autant que le cytise à la mielleuse abeille. "
Liens utiles
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - La jeune Tarentine
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - J'étais un faible enfant qu'elle était grande et belle
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Bel astre de Vénus...
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - A compter nos brebis je remplace ma mère
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Pasiphaé