Au début du livre II des Confessions, Rousseau présente la jeunesse comme « l'âge de la faiblesse et de l'innocence... » Dans quelle mesure cette formule paraît-elle convenir à l'image que, par l'écriture, Rousseau donne de lui dans les deux premiers livres des Confessions ?
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Au debut du livre II des Confessions Rousseau presente la jeunesse comme l'age de la faiblesse et de l'innocence... Dans quelle mesure cette formule parait-elle convenir a l'image que par l'ecriture Rousseau donne de lui dans les deux premiers livres des Confessions ?
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- Un critique contemporain écrit : « Les Confessions n'ont pas seulement pour fonction d'être une justification et un témoignage : pour un Rousseau meurtri, elles sont [...] une consolation, une chanson qui berce la misère humaine. » Vous direz dans quelle mesure cette phrase peut servir de définition aux quatre premiers livres des Confessions.
- Dans sa correspondance ainsi que dans son oeuvre autobiographique, JJ Rousseau évoque souvent son esprit romanesque. Comment votre lecture des 4 premiers livres des confessions peut elle être éclairée par ces expressions ?
- Un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autorportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur. » Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau.
- Dans ses Confessions, Jean-Jacques Rousseau affirme vouloir dire toute la vérité sur son passé. Selon vous, l'écriture autobiographique et les différents pactes de sincérité qui l'accompagnent sont-ils les garants d'une image fidèle ?
- Un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autoportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur ». Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau ?