Dans l'Avant-propos de son Histoire de la littérature française, G. Lanson écrit : »La littérature n'est pas objet de savoir : elle est exercice, goût, plaisir. On ne la sait pas, on ne l'apprend pas : on la pratique, on la cultive, on l'aime ». Vous vous interrogerez sur ce jugement, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
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Dans l'Avant-propos de son Histoire de la litterature française G. Lanson ecrit La litterature n'est pas objet de savoir elle est exercice gout plaisir. On ne la sait pas on ne l'apprend pas on la pratique on la cultive on l'aime . Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous referant aux oeuvres litteraires que vous connaissez ?
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- Le romancier Simenon écrit : « Un personnage de roman, c'est n'importe qui dans la rue qui ira jusqu'au maximum de lui-même, et mon rôle à moi, romancier, est de le mettre dans une situation telle qu'il y soit forcé ». Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
- P. Jaccottet écrit : « Les oeuvres ne nous éloignent pas de la vie, elles nous y ramènent, nous aident à mieux vivre, en rendant au regard son plus haut objet ». Vous vous interrogerez sur ce jugement, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous avez appréciées ?
- « Nous sommes tous malades et nous ne savons lire que des livres qui traitent de notre maladie » écrit Cocteau dans La Difficulté d'être. Vous vous interrogerez sur ce jugement que vous commenterez, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
- Ionesco écrit dans Notes et Contre-notes : « Le comique n'est comique que s'il est un peu effrayant ». Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous référant à vos connaissances littéraires ?
- Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui e