Dans Les Caves du Vatican, Gide écrit : « Il y a le roman et il y a l'histoire. d'avisés critiques ont considéré le roman comme l'histoire qui aurait pu être, l'histoire comme un roman qui avait eu lieu. Il faut bien reconnaître en effet que l'art du romancier souvent emporte la créance, comme l'événement parfois la défie... ». Vous apprécierez ce jugement en vous appuyant sur des exemples précis empruntés à vos lectures personnelles ?
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Dans Les Caves du Vatican Gide ecrit Il y a le roman et il y a l'histoire. d'avises critiques ont considere le roman comme l'histoire qui aurait pu etre l'histoire comme un roman qui avait eu lieu. Il faut bien reconnaitre en effet que l'art du romancier souvent emporte la creance comme l'evenement parfois la defie... . Vous apprecierez ce jugement en vous appuyant sur des exemples precis empruntes a vos lectures personnelles ?
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- L'écrivain contemporain, Claude Roy écrit dans Défense de le Littérature (1968): Certains esprits refusent le roman. Ils y voient une amusette, un gaspillage de force. Ils trouvent la vie (ou l'Histoire) plus riche en histoire, la science plus excitante et que la philosophie donne mieux a penser. Vous direz, en vous appuyant sur les textes du corpus, sur les romans que vous avez étudiez et sur vos lectures personnelles ce que vous pensez de ce jugement sur les romans rapporté par Clau
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- « L'idée même que la signification d'une oeuvre valable puisse être épuisée après deux ou trois lectures est une idée frivole. Pire que frivole : c'est une idée paresseuse », écrivait Claude-Edmonde Magny en 1950 dans Histoire du roman français depuis 1918. En vous appuyant sur des exemples précis que vous emprunterez à la littérature et, éventuellement, à d'autres formes artistiques, vous montrerez pourquoi certains aspects essentiels d'une oeuvre ne se livrent que peu à peu et commen
- L'idée même que la signification d'une oeuvre valable puisse être épuisée après deux ou trois lectures est une idée frivole. Pire que frivole : c'est une idée paresseuse », écrivait Claude-Edmonde Magny en 1950 dans Histoire du roman français depuis 1918. En vous appuyant sur des exemples précis que vous emprunterez à la littérature et, éventuellement, à d'autres formes artistiques, vous montrerez pourquoi certains aspects essentiels d'une oeuvre ne se livrent que peu à peu et comment
- Beaucoup de lecteurs pensent que le compte rendu d'une oeuvre par un critique suffit à en donner la connaissance. Or, Alain a écrit, dans ses Propos sur l'esthétique, en 1949 : «Ce que dit l'oeuvre, nul résumé, nulle imitation, nulle amplification ne peut le dire... » Vous examinerez ces deux points de vue opposés, en appuyant votre réflexion sur des exemples précis, empruntés à votre expérience personnelle et à vos lectures.