Dans une chronique publiée dans Le Gaulois, Maupassant affirme que, pour qu'il puisse être touché par un roman, il faut que les personnages soient ses voisins, ses égaux, passent par les joies et les souffrances qu'il connaît. Les personnages de roman doivent-ils, pour toucher le lecteur, être ses voisins, ses égaux et passer par les joies et les souffrances qu'il connaît ?
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- Vous avez lu un article de presse dans lequel un écrivain contemporain affirme que le roman moderne n'a plus besoin de personnage héroïque. Vous lui écrivez une lettre dans laquelle vous lui exposez votre conception du roman, en fonction de votre expérience et de vos attentes de lecteur.
- On a souvent critiqué l'identification du lecteur aux personnages de roman. Dans quelle mesure cette critique vous semble-t-elle justifiée ?
- Le roman du XXe siècle semble déplacer vers les mots et le style lui-même l'intérêt que le lecteur portait auparavant aux personnages et à leur histoire.
- Pour quelle raison le lecteur peut il préféré qu'un roman laisse subsister une part d'ombre autour de ses personnages au lieu d'éclairer totalement leur caractères, leurs actions et leurs motivations ?
- En vous appuyant sur les textes du corpus, ceux découverts dans l'année, sans exclure ce que vous avez lu les années précédentes, vous vous demanderez l'importance que revêtent (prennent) les personnages de roman, tant pour leur auteur que pour le lecteur.