Développer ce jugement de Fénélon: Ronsard n'avait pas tort, ce me semble, de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie et pour dénouer notre versification naissante ?
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Developper ce jugement de Fenelon Ronsard n'avait pas tort ce me semble de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue pour enhardir notre poesie et pour denouer notre versification naissante ?
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- Développez ce jugement de Fénelon : « Ronsard n'avait pas tort, ce me semble de tenter quelque nouvelle route pour enrichir notre langue, pour enhardir notre poésie et pour dénouer notre versification naissante ».
- Un critique écrit : « Ne confondons pas versification et poésie. Le versificateur n'est qu'un technicien ; la qualité d'un poète au contraire réside dans la puissance de suggestion qu'il emprunte aux sonorités, aux rythmes, aux images en accord étroit avec le sentiment. » En illustrant votre exposé d'exemples précis, vous commenterez ce jugement. ?
- Commenter cette opinion d'un critique : «Si Ronsard a imposé à la langue et à la versification des réformes aussi profondes, ce n'était en définitive que pour fournir à de nouveaux thèmes d'inspiration des moyens d'expression et des cadres dignes d'eux. » ?
- La poésie de RONSARD
- Charles Baudelaire écrit dans un article de 1861 : Victor Hugo était dès le principe, l'homme le mieux doué, le plus visiblement élu pour exprimer par la poésie ce que j'appellerai le mystère de la vie. Commentez et illustrez ce jugement à partir des Contemplations.