Le romancier Simenon écrit : « Un personnage de roman, c'est n'importe qui dans la rue qui ira jusqu'au maximum de lui-même, et mon rôle à moi, romancier, est de le mettre dans une situation telle qu'il y soit forcé ». Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
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Le romancier Simenon ecrit Un personnage de roman c'est n'importe qui dans la rue qui ira jusqu'au maximum de lui-meme et mon role a moi romancier est de le mettre dans une situation telle qu'il y soit force . Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous referant aux oeuvres litteraires que vous connaissez ?
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- Dans l'Avant-propos de son Histoire de la littérature française, G. Lanson écrit : »La littérature n'est pas objet de savoir : elle est exercice, goût, plaisir. On ne la sait pas, on ne l'apprend pas : on la pratique, on la cultive, on l'aime ». Vous vous interrogerez sur ce jugement, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
- « Nous sommes tous malades et nous ne savons lire que des livres qui traitent de notre maladie » écrit Cocteau dans La Difficulté d'être. Vous vous interrogerez sur ce jugement que vous commenterez, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
- P. Jaccottet écrit : « Les oeuvres ne nous éloignent pas de la vie, elles nous y ramènent, nous aident à mieux vivre, en rendant au regard son plus haut objet ». Vous vous interrogerez sur ce jugement, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous avez appréciées ?
- Ionesco écrit dans Notes et Contre-notes : « Le comique n'est comique que s'il est un peu effrayant ». Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous référant à vos connaissances littéraires ?
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en v