Le serment d'Hippocrate impose aux praticiens de respecter le secret médical. Imaginez le dialogue dans lequel le docteur Bissei défend ce principe face à son contradicteur, Diderot.
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- Diderot a remis le manuscrit de Jacques le Fataliste à un éditeur parisien. Ce dernier lui envoie une lettre en lui reprochant la désinvolture de son incipit et en lui suggérant de le réécrire afin de respecter davantage les habitudes des lecteurs. Imaginez la lettre de l'éditeur a Diderot puis la réponse de Diderot qui refuse de se plier aux exigences de l'éditeur.
- Deux grands lecteurs s'interrogent sur ce qu'ils attendent de la lecture ; l'un estime que la lecture doit d'abord être un plaisir (son argumentation fera ressortir la nature de ce plaisr) ; l'autre défend l'idée que la lecture doit être avant tout utile. Imaginez leur dialogue ?
- Le peintre Van Loo défend son oeuvre et tente de démontrer à Diderot que seule la peinture permet de tracer un véritable portrait. L'écrivain estime quant à lui que seule l'écriture permet d'atteindre ce but. Vous présenterez ce débat sous la forme d'un dialogue entre le peintre et l'écrivain et donnerez le dernier mot à l'interlocuteur de votre choix ?
- Construisez un dialogue argumenté où deux poètes sont confrontés : l'un défend les contraintes de la versification traditionnelle, l'autre évoque l'apparence de liberté du poème en prose, pour finalement considérer qu'il comporte lui aussi des contraintes...
- Pendant que sa femme enchaîne valse sur valse avec des attachés, le simple commis Loisel, dans un salon voisin, cause avec Julien Dentu, jeune attaché, récemment fiancé et ravi par l'ambiance du bal du ministère. Imaginez un dialogue où vous mettrez entre ces deux hommes, que leur situation social oppose, situation d'échanger des arguments sur les dépenses, le luxe, la vraie vie et le paraître.