Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Nocturne
Extrait du document
Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Nocturne Ô mer, toi que je sens frémir A travers la nuit creuse, Comme le sein d'une amoureuse Qui ne peut pas dormir ; Le vent lourd frappe la falaise... Quoi ! si le chant moqueur D'une sirène est dans mon coeur - Ô coeur, divin malaise. Quoi, plus de larmes, ni d'avoir Personne qui vous plaigne... Tout bas, comme d'un flanc qui saigne, Il s'est mis à pleuvoir.
Liens utiles
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Quand l'âge, à me fondre en débris
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Le microbe : Botulinus
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Tel variait au jour changeant
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - J'ai beau trouver bien sympathique
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Tandis qu'à l'argile au flanc vert