Pensez-vous comme Saint-John Perse dans sa Lettre à un ami : Ce que je crois, [c'est] que la sincérité, en art, n'a jamais droit à l'immédiat ; qu'elle ne peut affluer qu'involontaire, par transparence, ou même négativement ; que l' « essentiel », là, ne peut jamais, sans ruser, devenir à lui-même l'objet. L'essentiel ne se dit pas, et bien plus, n'a jamais désiré se dire.
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Pensez-vous comme Saint-John Perse dans sa Lettre à un ami : Ce que je crois, [c'est] que la sincérité, en art, n'a jamais droit à l'immédiat ; qu'elle ne peut affluer qu'involontaire, par transparence, ou même négativement ; que l' « essentiel », là, ne peut jamais, sans ruser, devenir à lui-même l'objet. L'essentiel ne se dit pas, et bien plus, n'a jamais désiré se dire.
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- Le poète Saint-John Perse affirme : La personnalité même du poète n'appartient en rien au lecteur, qui n'a droit qu'à l'oeuvre révolue, détachée comme un fruit sur son arbre. Partagez-vous son point de vue ?
- Saint-John Perse
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- CHANSON - Saint-John Perse
- Saint-John Perse, "La Ville", Images à Crusoé (Éloges, 1911).