Un critique écrit : La littérature n'a pas pour vocation de se mêler des débats politiques ou sociaux. A vouloir jouer ce rôle, elle se pervertit et ne parvient même pas à être efficace. Ce jugement vous paraît-il fondé ?
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- Un critique écrit : « La littérature n'a pas pour vocation de se mêler des débats politiques ou sociaux. A vouloir jouer ce rôle, elle se pervertit et ne parvient même pas à être efficace. » Ce jugement vous paraît-il fondé ?
- Dans un article de 1968 intitulé La mort de l'auteur, le critique Roland Barthes écrit: L'image de la littérature que l'on peut trouver dans la culture courante est tyranniquement centrée sur l'auteur, sa personne, son histoire, ses goûts, ses passions. En vous appuyant sur les documents fournis, les textes étudiés en classe et vos lectures (et/ou expériences) personnelles, vous discuterez ce jugement ?
- Un critique moderne écrit à propos de la Lettre à d'Alembert sur les spectacles. « C'est cette curieuse liaison entre le sentiment, la littérature et la politique, qu'il faut dévoiler ». Votre lecture de l'oeuvre de Rousseau inscrite au programme vous semble-t-elle éclairée par cette affirmation ?
- Une société qui se mécanise a plus que jamais besoin, pour sauver les personnes, de la poésie libératrice » écrit Jean Onimus dans La Connaissance poétique. Pensez-vous que la poésie, dans ses expressions les plus variées, peut jouer un tel rôle dans la vie moderne ? Justifiez votre réponse par des exemples précis.
- L'écrivain contemporain, Claude Roy écrit dans Défense de le Littérature (1968): Certains esprits refusent le roman. Ils y voient une amusette, un gaspillage de force. Ils trouvent la vie (ou l'Histoire) plus riche en histoire, la science plus excitante et que la philosophie donne mieux a penser. Vous direz, en vous appuyant sur les textes du corpus, sur les romans que vous avez étudiez et sur vos lectures personnelles ce que vous pensez de ce jugement sur les romans rapporté par Clau