« Vous qui tenez ce livre d'une main blanche, vous qui vous enfoncez dans un moelleux fauteuil en vous disant : peut-être ceci va-t-il m'amuser... Ah ! Sachez-le : ce drame n'est ni une fiction ni un roman. All is true, il est si véritable que chacun peut en connaître les éléments chez soi, dans son coeur peut-être ». Stendhal. Cette affirmation rejoint-elle votre conception du roman ?
Extrait du document
xxx ?
Liens utiles
- En parlant de ses héros, et avant d'écrire Madame Bovary , Flaubert déclarait : Ce qu'ils sont maintenant, ce qu'ils font, ce qu'ils rêvent est le résultat de ce qu'ils ont été, de ce qu'ils ont fait, de ce qu'ils ont rêvé. Cette affirmation vous semble-t-elle correspondre à la définition d'un personnage de roman ou correspond-elle plus étroitement à celle du XIXème siècle? Cette conception a-t-elle évolué ?
- En parlant de ses héros, et avant d'ecrire Madame Bovary , Flaubert declarait : Ce qu'ils sont maintenant, ce qu'ils font, ce qu'ils rêvent est le résultat de ce qu'ils ont été, de ce qu'ils ont fait, de ce qu'ils ont rêvé. Cette affirmation vous semble-t-elle correspondre à la defintion d'un personnage de roman ou correspond-elle plus étroitement à celle du XIXème siècle? Cette conception a-t-elle évolué ?
- Dans L'Immortalité (Gallimard, 1990), un personnage de Milan Kundera déclare : La tension dramatique, c'est la véritable malédiction du roman parce qu'elle transforme tout, même les plus belles pages, même les scènes et les observations les plus surprenantes, en une simple étape menant au dénouement final, où se concentre le sens de tout ce qui précède. Dévoré par le feu de sa propre tension, le roman se consume comme une botte de paille. Vous confronterez à cette affirmation votre pro
- Dans son livre Au coeur du fantastique, publié en 1965, Roger Caillois, réfléchissant sur le fantastique au sens large (histoires extraordinaires, contes féeriques, récits de science-fiction, etc.), pense que ce dernier exprime « la tension entre ce que l'homme peut et ce qu'il souhaiterait pouvoir ». Vous commenterez ce jugement en vous appuyant sur des exemples empruntés à votre culture personnelle - littéraire, cinématographique.
- Stendhal Le Rouge et le Noir: Lecture linéaire : Texte n°3, Livre II, chapitre XLV : de : « [Fouqué] passait la nuit seul » à la fin du chapitre