Etude d’un extrait de la seconde méditations de l’œuvre philosophique Méditations métaphysiques de René DESCARTES
Publié le 18/04/2024
Extrait du document
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REPUBLIQUE DU BENIN
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MINSTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEURE
ET DE LE FORMATION PROFESSIONNELLE
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UNIVERSITE D’ABOMEY CALAVI
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DEPARTEMENT DE PHILOSOPHIE
THEME
Etude d’un extrait de la seconde
méditations de l’œuvre philosophique
Méditations métaphysiques de René
DESCARTES
Membres du Groupe 9
1-NEHON Aline
Sous la direction du :
Dr Kléber BONON (MC)
2-ONZO Ignace
3-SEDJRO Emmanuel
4-SOSSA Desnos
5-RAZACK Abdoul
6-SEKI Beranger
7-PIO Franky
8-SOSSOU Néhémie
9-SOTON Pascal
10-SOGNIHOUN Wilfried
Année Académique : 2023-2024
Développement
Le texte soumis à notre réflexion est écrit par Descartes extrait de
son œuvre philosophique Méditations métaphysiques.
Ce texte
s’articule autour de la thématique de la connaissance de la cire et
pose le problème de la faillibilité des organes sensuels.
Autrement,
les sens nous permettent-ils de de parvenir à la vérité ? Face à ce
problème, DESCARTES soutient que c’est seulement avec un esprit
humain que l’on peut arriver à la vraie connaissance.
Faisant
l’expérience du morceau de cire, Descartes interroge la pertinence
de la connaissance sensible et met en évidence l'importance de la
réflexion méthodique pour parvenir à une connaissance plus
profonde et plus claire du monde.
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Descartes à travers son analyse rationaliste sur la cire, trouve que
les sens sont trompeurs et assurent superficiellement ce que devrait
réellement saisir l’esprit.
Il s’ «étonne alors combien » l’ « esprit est
enclin aux erreurs ».
Dans ce texte, Descartes explore la nature de la
connaissance et la façon dont nous percevons le monde qui nous
entoure.
Descartes commence par remettre en question la nature de
la perception sensorielle en examinant une simple expérience avec
de la cire.
Il souligne que nos sens peuvent nous tromper, car
lorsque la cire fond, toutes ses caractéristiques sensorielles
changent, mais notre perception de la cire reste la même.
Cela nous
conduit à conclure que notre compréhension de la cire ne vient pas
des sens, mais plutôt de l'esprit.
Dès le début du texte, René Descartes pose un problème qui
donnera certainement une réponse claire sur la connaissance
certaine, claire et de distincte de le cire : >.
Ainsi, on comprend après
lecture de ce texte que Descartes soutient l’idée selon laquelle la
connaissance de la cire ne peut pas se réaliser par la connaissance
de la cire ne peut pas se réaliser par les organes de sens, ni par la
faculté imaginative.
Cela se comprend aisément car l’auteur
même affirmait que « tout ce qui tombait ce qui tombait sous le gout,
ou l’odorat, ou la vue, ou le toucher, ou l’ouïe, a désormais changé ;
la cire demeure ».
Il poursuit en examinant ce que signifie réellement
‘’percevoir la cire ‘’.
Il montre que notre connaissance de la cire ne
vient pas de son apparence physique, mais de notre capacité à
conceptualiser ses propriétés fondamentales telles que l'extension,
la flexibilité et la mutabilité.
Cette compréhension ne peut être
atteinte que par la raison, et non par l'imagination ou les sens.
On
comprend alors qu’on ne peut pas se fier aux organes de sens pour
connaitre la cire car la problématique première du texte était de
savoir ce qui était en « la cire qui peut être comprise
distinctement ».
Ensuite, cette exercice qui consiste à trouver
quelque chose de distinct en la cire ne peut se réaliser par la faculté
imaginative car imaginer la cire, revient à imaginer toutes les formes
qu’elle serait capable de prendre.
C’est ainsi à la fin du texte qu’on
comprend avec Descartes que c’est seulement avec....
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