Devoir de Français

METHODE DISSERTATION PHILOSOPHIE

Publié le 08/03/2024

Extrait du document

« MÉTHODE DE LA DISSERTATION PHILOSPHIQUE SUJET EXEMPLE : Un seul peut-il avoir raison contre tous ? Tout d'abord il n'y a pas de vérité donc pas d'attente, la démarche intellectuelle est libre ce qui est en opposition à la méthode et la rigueur est plus importante.  Cet énoncé ne se suffit pas à lui-même : il faut l'objectiver.

C’est-à-dire étudier l'appréhension du sujet et de la problématisation du sujet.  Mettre en perspective au moins : de vue à partir d'une seule et même idée  Dialectique : (dialogue).

Exemple : Dans La République de Platon : Si on parle de la justice, Socrate dit qu'avant de parler de la justice il faut savoir de quoi on parle.

 D’où l'importance de mener un travail d'analyse. Tout d'abord : On s'attardera à définir le sujet, puis à définir les termes du sujet les uns par rapport aux autres et la structuration de la question.     Dans une dissertation philosophique il n'y a pas impérativement de référence philosophique.

L’important c'est de mener pas à pas un travail de réflexion issue de sa propre pensée et non du cours ou de citation.

Ce travail se fait au travers d'argumentations, de justifications, de réflexions et d'analyses.

C'est ce qu'on appelle la dialectisation. Il faut avancer des points de vue, les expliquer et les justifier et parler comme si le correcteur ne savait rien. Les arguments d'autorité sont sans valeur et il faut privilégier les arguments philosophiques tel que le débat et là contradiction. C'est un exercice de réflexion et non de cours  ainsi il faut apporter une réponse claire et répondre unilatéralement ce qui revient à choisir entre le oui et le non.

Un des points de vue finira donc par prendre l'ascendant sur les autres par le dialogue et l'analyse.

Ne surtout pas utiliser de ça dépend il faut avoir une position tranchée. Temps de travail : Épreuve de 4H : - 1ère partie : Lecture et analyse du Sujet (1h30/2h) - 2ème partie : La rédaction (1h30) - 3ème partie : Correction (30’) 1ère Partie : La lecture du sujet et la démarche de problématisation - Analyse du sujet et des termes Problématisation Mise en place d'un plan détaillé contenant 3 parties avec 3 sous-parties par partie et 3 exemples par sous-partie. Rédaction de l'introduction ⚠️toujours avoir un plan ⚠️ faire en moyenne 6 à 8 pages de dissertation. 1 1) La problématisation Problématiser : c'est achever un travail de lecture. Question  problématisation.

Chaque question est problématisable et aucune question n'appelle un problème universel. ⚠️ Ce Type de réponse ne doit pas constituer un problème.

Il faut aborder une position de retrait de distance vis-à-vis d'une forme de prêt à penser, d'a priori et de réponses spontanées ou immédiates.

Il n'y a pas de réponse toute faite.

⚠️ 1.1) La démarche de problématisation On passe d'un sujet à un problème.

Qu’est-ce qu'un problème ? Démarches de problématisation c'est ce qui fait que la question se pose.

C’est une question dont on ne pourra pas aller au-delà  on trouvera ainsi le problème.  Pourquoi on me pose cette question ?  Parce que la question mérite d'être posée ? (Sans valeur)  Démarche intellectuelle compréhension des termes.  Pensez à la hiérarchisation des termes. Afin de problématiser il faut repérer le sens de la question, en dégageant un implicite, un sous-entendu, un « présupposé » : exemple du sujet : « Est-ce que la majorité a toujours raison ? ».

On ne peut pas s'affranchir d'un présupposé. On est guidé par l'explicite et on doit trouver l'implicite.

Il faut déterminer les concepts du programme où je vais devoir investiguer  champs lexical. Ces notions peuvent concerner la liberté, le temps, la religion, la justice, le devoir, la vérité, le langage, la raison, le bonheur, la conscience ou l'inconscience.

On cherche le présupposé grâce auxquels ont déterminé le problème : champ lexicaux + notions. La vérité a une particularité c'est d'être une et universelle. Concernant le verbe interrogatif dans la question il relaté du type de questions qu'on peut se poser.

En effet :  Peut-on  Travailler la condition de possibilité  oui ? mais dans quelles conditions…  Doit-on  renvoie au devoir  obligation  est-elle légitime ? : a-t-on raison de ?  Faut-il  Devoir / obligation  falloir  valeurs  est-ce que l'obligation est juste ? Les auxiliaires « être » renvoie à l'essence (définition d'un ou plusieurs concepts mis en perspective avec les autres  permet de construire une définition) et « avoir » qui renvoie à l'existence (toujours travailler sur une modalité  rendre possible le sujet posé). 2 Après avoir déterminer le présupposé, les définitions et les verbes  on arrive par conséquent sur le.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles