82 résultats pour "vent"
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - En écoutant chanter la princesse ***
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Promenades dans les rochers (IV)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Un groupe tout à l'heure était là sur la grève...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Chanson (Proscrit, regarde les roses...)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Ecrit après la visite d'un bagne
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Cent mille hommes, criblés d'obus et de mitraille
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - C'est à coups de canon qu'on rend le peuple heureux
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Étudiez cette définition du romantisme que Musset met ironiquement dans la bouche d'un clerc d'avoué : « Le romantisme, mon cher monsieur, mais à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités, ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. Vous saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne, la fleur qui vole
[Introduction] Le drame romantique s'inscrit dans la rupture que les jeunes écrivains romantiques veulent marquer avec l'esthétique du classicisme. Dans cette mesure, on comprend que Musset s'insurge contre une tentative de définition réductrice d'un élan naissant : « Non [...], ce n'est ni le mépris des unités ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. » Mais, lui, le poète, peut tenter de dire l'indicible en multipliant les images, les antithèses, en évoq...
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IL FAUT TENTER DE VIVRE! - PAUL VALÉRY, Le Cimetière marin.
IL FAUT TENTER DE VIVRE! - PAUL V ALÉRY, Le Cimetière marin. Non, non!... Debout! Dans l'ère successive! Brisez, mon corps, cette forme pensive! Buvez, mon sein, la naissance du vent! Une fraîcheur, de la mer exhalée, Me rend mon âme... O puissance salée! Courons à l'onde en rejaillir vivant! Oui! Grande mer de délires douée, Peau de Panthère et chlamyde trouée De mille et mille idoles du soleil, Hydre absolue, ivre de ta chair bleue, Qui te remords l'étincelante queue Dans un tumulte au silence...
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Etude littéraire de ce passage de Mme de Sévigné, extrait d'une lettre qu'elle adressait de Grignan, le 3 février 1695, à son cousin Emmanuel de Coulanges, l'année qui précéda sa mort.
Etude littéraire de ce passage de Mme de Sévigné, extrait d'une lettre qu'elle adressait de Grignan, le 3 février 1695, à son cousin Emmanuel de Coulanges, l'année qui précéda sa mort. Mme de Chaulnes me mande que je suis trop heureuse d'être ici avec un beau soleil; elle croit que tous nos jours sont filés d'or et de soie. Hélas! mon cousin, nous avons cent fois plus de froid ici qu'à Paris; nous sommes exposés à tous les vents; c'est le vent du midi, c'est la bise, c'est le diable, c'est à qui...
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Emily Brontë
Emily Brontë Il est impossible de lire Les Hauts de Hurle-Vent sans être admis dans l'intimité brûlante d'un être qui vous apprendrait tout à la fois l'orgueil, l'humilité, la sauvagerie ou la tendresse, un être avec lequel on voudrait rire, pleurer, partager joies et désespoirs. Emily Brontë écoule sa petite enfance, son adolescence et sa jeunesse parmi ses sœurs et son frère, dans la maison de l'austère pasteur Brontë accrochée au flanc d'une colline " battue par les vents ". Une solitude dési...
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée
Jean de SPONDE, « Si c est dessus les eaux que la terre est pressée ». 1. Si c'est dessus les eaux que la terre est pressée, 2. Comment se soutient-elle encor si fermement, 3. Et si c'est sur les vents qu'elle a son fondement, 4. Qui la peut conserver sans être renversée ? 5. Ces justes contrepoids qui nous l'ont balancée 6. Ne penchent-ils jamais d'un divers branlement ? 7. Et qui nous fait solide ainsi cet élément, 8. Qui trouve autour de lui l'inconstance amassée ? 9. Il est ainsi, ce corps...
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Madame de Sévigné, Lettre du 3 février 1695 à Emmanuel de Coulanges.
Mme de Chaulnes me mande que je suis trop heureuse d'être ici avec un beau soleil ; elle croit que tous nos jours sont filés d'or et de soie. Hélàs ! mon cousin, nous avons cent fois plus de froid ici qu'à Paris ; nous sommes exposés à tous les vents ; c'est le vent du midi, c'est la bise, c'est le diable, c'est à qui nous insultera ; ils se battent entre eux pour avoir l'honneur de nous renfermer dans nos chambres ; toutes nos rivières sont prises ; le Rhône, ce Rhône si furieux, n'y résiste pa...
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DORMANTE de Claude Roy, Clair comme le jour
"Dormante", telle est la femme à laquelle s'adresse le poète. Ce sommeil procure de fortes impressions au pète, qui choisit de les exprimer sur le mode lyrique. Nous verrons d'abord comment Claude Roy fait se rejoindre modernité et tradition du lyrisme amoureux, puis comment s'exprime la sensualité féminine, et enfin quelle est l'ambiguïté contenue dans l'image du sommeil de la femme. [Un poème d'amour moderne au lyrisme traditionnel] Ce poème, que nous savons avoir été inspiré à Claude Roy par...
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« J'ai l'optimisme de croire qu'on a enfin compris dans les autres sphères de l'Enseignement que plus un auteur est proche de l'enfant dans le temps, plus il a de chance de l'intéresser et de l'enrichir. Toute éducation littéraire doit commencer par les contemporains » écrit Michel Tournier dans Le Vent Paradet (1977). Partagez-vous cette opinion? Vous illustrerez votre pensée par des exemples précis tirés de vos lectures.
« J'ai l'optimisme de croire qu'on a enfin compris dans les autres sphères de l'Enseignement que plus un auteur est proche de l'enfant dans le temps, plus il a de chance de l'intéresser et de l'enrichir. Toute éducation littéraire doit commencer par les contemporains » écrit Michel Tournier dans Le Vent Paradet (1977). Partagez-vous cette opinion? Vous illustrerez votre pensée par des exemples précis tirés de vos lectures. L'éducation des enfants soulève beaucoup de controverses : certains préte...
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Rimbaud, « Ophélie »
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Ophélie
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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Jean Anouilh, Antigone, (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est...
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Jean Anouilh, Antigone, extrait (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est cela,...
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Simone SCHWARZ-BART, Pluie et vent sur Télumée-Miracle.
Le plus mystérieux d'entre eux était un certain Tac-Tac ainsi nommé à cause de son voum-tac, l'énorme flûte de bambou qu'il portait toujours à l'épaule, suspendue pour l'éternité. C'était un vieux nègre couleur de terre brûlée, avec une figure un peu plate où venaient s'ouvrir deux yeux perdus, qui roulaient sur vous avec surprise et précaution, toujours émerveillés, dans l'étonnement de retrouver bêtes et gens. Il habitait cahute logée dans un arbre et à laquelle il accédait par une échelle de...
- Rutebeuf (1230-1285) - Adaptation en Français moderne de la Griesche d'Hiver.
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - L'orgue
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les rayons et les ombres) - Guitare
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Si l'amour ne paraît à mes désirs constant
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les vignes de ma muraille) - Novembre
- Victor Hugo (1802-1885), « Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures (1837).
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Dans son roman, Les Belles Images, Simone de Beauvoir oppose deux personnes, parlant de leur métier d'architecte : « Vergne a des idées formidables... c'est passionnant de travailler avec lui : tout l'atelier vit dans l'enthousiasme; on n'exécute pas, on crée. - Je préfère tout de même être chez Monnod, dit Dufrêne. On ne crée pas, on exécute. Seulement, on gagne bien davantage. » Après avoir précise la nature du problème posé, vous exposerez les réflexions qu'il vous suggère, en vents
Dans son roman, Les Belles Images, Simone de Beauvoir oppose deux personnes, parlant de leur métier d'architecte : « Vergne a des idées formidables... c'est passionnant de travailler avec lui : tout l'atelier vit dans l'enthousiasme; on n'exécute pas, on crée. - Je préfère tout de même être chez Monnod, dit Dufrêne. On ne crée pas, on exécute. Seulement, on gagne bien davantage. » Après avoir précise' la nature du problème posé, vous exposerez les réflexions qu'il vous suggère, en vents appuyant...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Le premier regret
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A celle qui est restée en France
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Les pauvres gens