134 résultats pour "georges"
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'aquarium, toujours frissonnant, est étrange
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Seuls les rideaux, tandis que la chambre est obscure
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'angle obscur de la chambre, le piano
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - En des quartiers déserts de couvents et d'hospices
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ah ! Vous êtes mes soeurs, les âmes qui vivez
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - Toute une vie en nous, non visible, circule
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô ville, toi ma soeur à qui je suis pareil
- Georges-Eugène Faillet, dit FAGUS (1872-1933) (Recueil : Du pont des arts, balcon de Paris) - Pourquoi, Seigneur, les hirondelles
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Le miroir est l'amour, l'âme-soeur de la chambre
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô neige, toi la douce endormeuse des bruits
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'eau des anciens canaux est débile et mentale
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les canaux somnolents entre les quais de pierre
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les dimanches : tant de tristesse et tant de cloches
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Mon âme, tout ce long et triste après-midi
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dimanche : un pâle ennui d'âme, un désoeuvrement
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les pièces d'eau, songeant dans les parcs taciturnes
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - On aura beau s'abstraire en de calmes maisons
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Si tristes les vieux quais bordés d'acacias
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans quelque ville morte, au bord de l'eau
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Tel soir fané, telle heure éphémère suscite
- La littérature n'est pas un art d'invention, c'est un art d'imitation, et l'imitation n'est pas toujours de la Nature ou de la Vie, mais plus simplement d'un prédécesseur ignoré. Georges Cohen, Etudes d'histoire du théâtre. Vous commenterez ce propos en vous appuyant sur des exemples précis ?
- « Les utopies sont déprimantes parce qu'elle ne laissent place au hasard, à la différence, aux divers... Tout y a été mis en ordre et l'ordre règne », disait Georges Perec. Il rejoint René Char qui s'interrogeait : « Comment peut-on vivre sans inconnu devant soi ? » Vous vous interrogerez à partir de ces propos, dans un développement argumenté, sur la portée de l'utopie ?
- Dans Études sur le temps humain, Georges Poulet rend compte de ce qu'il appelle « la mesure de l'instant parfait chez Casanova » en la définissant comme « un moment de nouveauté pure, où rien ne compte, ni passé, ni avenir, où le présent se limite à la somme de joie goûtée à l'intérieur de ses limites. Moment que rien ne prépare, que rien non plus ne prolonge » ?
- « Je n'ai pas de souvenir d'enfance », dit Georges Perec dans son autobiographie. Pourquoi, selon vous, le souvenir d'enfance constitue-t-il le coeur de toute écriture autobiographique ? Développez vos réflexions en vous appuyant sur les textes du corpus (Marcel Proust, Du côté de chez Swann, W ou Souvenir d'enfance de Perec, et La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules de Delerm).
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Quel est, parmi les grands romanciers du XIXe siècle (Balzac, George Sand, Flaubert), celui que vous préférez ? Vous donnerez les raisons de votre préférence.
Quel est, parmi les grands romanciers du XIXe siècle (Balzac, George Sand, Flaubert), celui que vous préférez ? Vous donnerez les raisons de votre préférence. PLAN DE DISSERTATION Toute préférence suppose l'étude des qualités et des défauts que présentent les personnes ou les objets que l'on compare. On dira donc d'abord, très brièvement, quelles qualités plaisent et quels défauts choquent chez les deux romanciers qu'on veut éliminer, et on insistera davantage sur les qualités qui ont décidé de...
- Un ancien ami journaliste, que Georges Du Roy néglige désormais, a assisté au mariage. Refusant de céder à l'enthousiasme que manifeste la foule, il porte sur Georges Du Roy, et sur la cérémonie dont il a été témoin, un regard peu complaisant. Il rédige un article qu'il compte faire publier. Écrivez ce texte.
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Commentez cette affirmation de Georges Duhamel : « La civilisation est dans le coeur de l'homme, ou bien elle n'est nulle part ».
INTRODUCTION L'histoire de l'humanité nous présente, au cours des siècles et à travers l'espace, des modes de vie sociale très divers. Nos contemporains, citoyens des « grandes nations » ont le sentiment d'appartenir à une époque de haute civilisation lorsqu'ils considèrent les structures de leurs collectivités et les réalisations de la technique et de la science. Ces aspects du monde moderne suffisent-ils pourtant à fonder chez les individus un épanouissement supérieur sans lequel il est vain d...
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Dans ses Scènes de la Vie Future, Georges Duhamel reproche au cinéma d'être « un amusement d'îlotes, un passe-temps d'illettrés ».
Cette condamnation vous parait-elle justifiée
?
Dans ses Scènes de la Vie Future, Georges Duhamel reproche au cinéma d'être « un amusement d'îlotes, un passe-temps d'illettrés ». Cette condamnation vous parait-elle justifiée ? Introduction : a) Le cinéma tient une place de plus en plus importante dans la vie d'aujourd'hui. b) Pourtant il a été et est encore très attaqué, comme toutes les inventions nouvelles. Dans ses Scènes de la vie future, Georges Duhamel lui reproche d'être « un amusement d'ilotes, un passe-temps d'illettrés ». c) Cette c...
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Balzac, Le Père Goriot :
Balzac, Le Père Goriot Bientôt la veuve se montre, attifée de son bonnet de tulle sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis; elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s'est blottie la spéculation et dont madame Vauquer respire...
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De l’explication linéaire au commentaire composé On Purge bébé, (scène II) Georges Feydeau, 1910
Séquence 1 théâtre parcours « La satire des nantis » (A. Courbon Testeil) CORRECTION De l’explication linéaire au commentaire composé On Purge bébé, (scène II) Georges Feydeau, 1910 5 FOLLAVOINE. (…) Chouilloux, cʼest le président de la commission dʼexamen, chargée par lʼEtat dʼadopter le modèle qui sera imposé comme type à lʼadjudicataire. Comprends-tu maintenant lʼintérêt quʼil y a à se le ménager ? Jʼai le brevet de la porcelaine incassable, nʼest-ce pas ? Que par lʼi...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Un manque
- Jerome K. Jerome, Trois hommes dans un bateau.
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Montaigne écrit, dans le livre II de ses Essais : « Je n'ai pas plus fait mon livre que mon livre ne m'a fait. » Pensez-vous que l'on puisse définir ainsi toute entreprise autobiographique ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet invite à réfléchir sur la définition de l'autobiographie que donne Montaigne et à la discuter. Cette définition, construite sur un chiasme, montre que l'entreprise autobiographique est une construction de soi : en écrivant son livre, l'autobiographe approfondit sa connaissance de soi et construit sa personnalité. Il y a un effet rétroactif de l'écriture autobiographique sur l'autobiographe. Mais en disant que son livre l' « a fait » Montaigne montre...
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Biographie de Molière
Un magicien qui changeait en rire la laideur des hommes. Un préjugé tenace donne à Molière une réputation d'autodidacte : c'est pourtant complètement faux. Envoyé au prestigieux collège de Clermont (aujourd'hui lycée Louis-le-Grand), il reçut une éducation très soignée. L'apprentissage du latin, notamment, lui fit découvrir les grandes comédies de Plaute et de Térence. Le rire chez Molière est profondément ambigu : prenant systématiquement pour cibles des sujets très sérieux, tels l'avarice, le...