140 résultats pour "regrette"
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Flatter un créditeur, pour son terme allonger
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Où que je tourne l'oeil, soit vers le Capitole
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Que ferai-je, Morel ? Dis-moi, si tu l'entends
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Quand je voudrai sonner de mon grand Avanson
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si je monte au Palais, je n'y trouve qu'orgueil
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Scève, je me trouvai comme le fils dAnchise
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Magny, je ne puis voir un prodigue d'honneur
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si après quarante ans de fidèle service
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Gordes, que Du Bellay aime plus que ses yeux
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Qui niera, Gillebert, s'il ne veut résister
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - C'était ores, c'était qu'à moi je devais vivre
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Cousin, parle toujours des vices en commun
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ô qu'heureux est celui qui peut passer son âge
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ô trois et quatre fois malheureuse la terre
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Un plus savant que moi, Paschal, ira songer
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Sire, celui qui est a formé toute essence
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - France, mère des arts, des armes et des lois
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - De voir mignon du roi un courtisan honnête
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - La jeunesse, Du Val, jadis me fit écrire
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Digne fils de Henri, notre Hercule gaulois
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Muse, qui autrefois chantas la verte Olive
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Cent fois plus qu'à louer on se plaît à médire
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je hais plus que la mort un jeune casanier
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c'est Rome
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Malheureux l'an, le mois, le jour, l'heure et le point
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Le Breton est savant et sait fort bien écrire
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ores, plus que jamais, me plaît d'aimer la Muse
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je n'escris point d'amour, n'estant point amoureux
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ô beaux cheveux d'argent mignonnement retors
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Dessous ce grand François, dont le bel astre luit
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Gérard de Nerval
Gérard de Nerval Le souvenir de mes belles cousines, ces intrépides chasseresses que je promenais dans les bois, belles toutes deux comme les filles de Léda, m'éblouit encore et m'enivre. Pourtant je n'aimais qu'elle alors. Ces paumes de Gérard de Nerval, qu'il appuie tantôt sur son front ou ses yeux et tantôt contre sa poitrine, sont imprégnées de ce parfum qui nous vient des distances et que nous respirons parfois au lendemain d'un beau jour quand l'imagination, enhardie par un soupçon d'amou...
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On a souvent remarqué que, parmi les poètes du XVIe siècle, Du Bellay est un de ceux qui nous semble le plus près de nous, le plus moderne. En étudiant son oeuvre, expliquez cette impression.
Introduction : a) Les œuvres de la Pléiade produisent généralement sur nous une impression contradictoire : Tout en étant très sincères, elles sont encombrées d'une érudition intempestive qui nous rebute. b) Seul Du Bellay échappe en partie à ce reproche; il nous semble plus près de nous, plus moderne. c) A quoi peut tenir cette impression ? I. — Simplicité et naturel : a) même encore marquées par l'imitation, ses premières œuvres restent d'allure moderne par leur discrétion; b) il ne traite que...