1497 résultats pour "s+assura"
- Stendhal, la Chartreuse de Parme
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Les pauvres gens
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - La femme adultère
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François de La Rochefoucauld
François de La Rochefoucauld François VI, prince de Marsillac, puis duc de La Rochefoucauld, issu d'une puissante famille de l'angoumois dont les titres de noblesse remontent au XIe siècle, est né le 15 septembre 1613. Marié à quinze ans à A ndrée de V ivonne, il en eut cinq fils et trois filles. Dans sa première jeunesse, il fut de toutes les cabales montées par la duchesse de C hevreuse afin de soutenir la reine A nne d'Autriche contre Richelieu. Mais pendant la Régence, il se retourna contre...
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Alfred de Vigny - LES DESTINEES : LA MAISON DU BERGER
Jean-Jacques Rousseau puis les romantiques ont célébré la nature comme un havre de paix, propice à la méditation. A lfred de V igny, bien qu'il ait su décrire les splendeurs de Paris dans ses P oèmes antiques et modernes, nous invite, dans « La M aison du Berger », à quitter les villes pour trouver la liberté dans la campagne. Dans ce poème des Destinées, l'auteur peint les pouvoirs de séduction de la nature, comme la variété des paysages et la beauté du soleil couchant. Il y ajoute d'autres att...
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Le barde de Temrah
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Pourquoi mon âme est-elle triste ?
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L'originalité de Stendhal
LE TEMPÉRAMENT La personnalité de Stendhal apparaît en pleine lumière dans ses trois ouvrages autobiographiques : le Journal, la Vie de Henry Brulard, les Souvenirs d'égotisme. Le passionné. «je sais que je suis très passionné », déclare Stendhal. Il avoue même dans la Vie de Henry Brulard : « La nature m'a donné les nerfs délicats et la peau sensible d'une femme. » L'inflexion d'un mot, l'esquisse d'un geste, suffisent à le mettre au comble du bonheur ou du désespoir : à la mort de sa mère, on...
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- Rousseau, La Nouvelle Héloïse. Cinquième partie : Lettre VII (La fête des vendanges ou le sentiment de l'égalité)
- Musset, Lorenzaccio, Acte I, scène 6.
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - Les amants de Montmorency
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Résumé: La Chartreuse de Parme de STENDHAL
La Chartreuse de Parme de STENDHAL En 1798, deux ans après que le général Bonaparte a fait son entrée à Milan, Fabrice del Dongo vient « de se donner la peine de naître » (p. 11). L'imagination passionnée de l'enfant est exaltée à la fois par la beauté des lacs et des collines, près du château de Grianta où résident ses parents ; par l'affection excessive que lui voue sa tante Gina Pietranera auprès de qui il vit des heures enivrantes ; par la figure de Napoléon enfin que lui rappelle comme un p...
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Heinrich Böll
Heinrich Böll Après chaque guerre, des bouleversements profonds surviennent dans la littérature des pays qu'elle a atteints ; après 1918 l'Allemagne s'était abandonnée au délire du théâtre et de la poésie expressionnistes, comme si elle voulait transcender la défaite qu'elle avait subie et en extraire un bouleversant symbole. Le roman allemand d'après 1945 traduit exactement l'ébranlement d'un peuple durement frappé dans sa vie économique et dans ses concepts moraux et cherchant un équilibre ca...
- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : Epîtres) - À mon jardinier
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Bertrand de Born
Bertrand de Born vers 1150-avant 1215 S'il était question de donner la palme à l'un de nos grands poètes méridionaux des XIIe et XIIIe siècles, Bertrand de Born, à coup sûr, serait sur les rangs. Du moins apparaît-il comme le type ac hevé du troubadour politique et guerrier. Il naquit vers le milieu du XIIe siècle à Hautefort — Born étant le nom d'un étang et d'une forêt, non loin de là. Il n'est que de se référer à la vieille biographie provençale d'Uc de Saint-C irc, miroir grossissant pe...
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Louise LABÉ: Je vis, je meurs...
Je vis, je meurs: je me brûle et me noie, J'ai chaud extrême en endurant froidure; La vie m'est et trop molle et trop dure, J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure, Mon bien s'en va, et à jamais il dure, Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, E...
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Je vis l'oiseau qui le soleil contemple
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - Le Déluge
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - Vous rochers orgueilleux, et vous forêts fidèles
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Résumé: A la recherche du temps perdu de MARCEL PROUST
A la recherche du temps perdu de MARCEL PROUST D'une santé fragile, mais d'une vive intelligence, Marcel Proust (1871-1922) fut dès son enfance sensible aux souvenirs qui s'attachent aux lieux familiers. Après avoir renoncé à la carrière diplomatique, il se consacre aux Lettres à partir de 1892. Dès 1907, il conçoit le projet d'un vaste roman dont le premier volet, Du côté de chez Swann, parait en 1913. La mort de sa mère, la solitude, la maladie, l'enferment de plus en plus en lui-même. Il...
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On ne doit écrire, on ne doit parler que pour l'instruction. Discutez ce point de vue de La Bruyère ?
Au XVIIe siècle, la manière de s'exprimer, à la cour de Louis XIV par exemple, prend une importance démesurée dans le jeu social : témoin le mouvement des Précieuses, dont s'est moqué Molière. Parallèlement, l'écriture, via les Fables ou les Caractères, illustre un impératif qui lie l'art au savoir : "docere, placere, movere". La Bruyère est en accord avec son temps lorsqu'il définit à l'expression parlée et écrite une vocation définie, qui est l'éducation : cette vocation prend la valeur d'un d...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Ischia
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Le premier regret
- Joachim Bernier de LA BROUSSE (x-1623) - Vous le dites m'amour ? Soyez religieuse
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SAINTE-BEUVE: POÈTE, ROMANCIER, CRITIQUE
SAINTE-BEUVE POÈTE Il a le goût de ce que Verlaine appellera plus tard la chanson grise », c'est-à-dire d'un lyrisme familier et sans éclat, discret jusque dans l'expression de la plus profonde douleur. Il prend pour modèles les lakistes anglais, quelquefois Lamartine. Il s'efforce de traduire les nuances intimes et fugitives. Ses vers offrent des trouvailles originales, d'exquis détails. Mais l'ensemble est souvent mal venu et donne une impression de bizarrerie. Les phrases sinueuses, les const...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les forces tumultueuses) - Les baptêmes
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Mon Dieu, que j'aime à baiser les beaux yeux
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On a souvent considéré la poésie comme le moyen privilégié d'exprimer ses sentiments ou ses émotions. Cette conception est-elle la seule possible ?
On a souvent considéré la poésie comme le moyen privilégié d'exprimer ses sentiments ou ses émotions. Cette conception est-elle la seule possible ? Quelles sont les fonctions de la poésie ? R : le sujet premier des poésies, c'est l'amour, la célébration de la femme aimée ou le désespoir, la mélancolie... il semble donc que la poésie soit le lieu de l'expression des sentiments (lyrisme...) La poésie est-elle seulement le lieu de l'expression personnelle des sentiments ? Est-ce son seul but, sa se...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - L'infini dans les cieux
- Ponce Denis Écouchard LEBRUN-PINDARE (1729-1807) - Ode sur l'enthousiasme
- Denis Diderot (1713-1784), Encyclopédie, article « Autorité politique » (extrait).
- Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves
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- Pierre LE MOYNE (1602-1671) (Recueil : Tapisseries et peintures poétiques) - Judith - Tableau troisième
- Voltaire, Candide, chapitre 19. CE QUI LEUR ARRIVA À SURINAM, ET COMMENT CANDIDE FIT CONNAISSANCE AVEC MARTIN
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - La Frégate La Sérieuse
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L'art de ROUSSEAU
Rousseau fut parmi les écrivains de son siècle un des plus attentifs à ordonner ses idées et à polir sa forme. Il avoue, dans Les Confessions, les difficultés qu'il éprouvait à composer et à écrire. « Mes manuscrits raturés, barbouillés, mêlés, indéchiffrables, attestent la peine qu'ils m'ont coûtée. » Mais son goût est sûr, son travail fécond; ses corrections sont heureuses. S'il cède parfois à la déclamation, à l'emphase, à l'effusion un peu molle et aux prestiges de la rhétorique, il excelle...
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Premières poésies) - Les voeux stériles
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THÉOPHILE GAUTIER et l'art du roman
THÉOPHILE GAUTIER et l'art du roman Méridional transplanté de bonne heure à Paris, THÉOPHILE GA UT IER a pour vocation première la peinture. Sa myopie l'empêche de persévérer dans cette voie. Introduit au C énacle par Nerval, il se tourne vers la littérature et devient l'un des combattants les plus ardents de la bataille romantique. Mais dès 1831, il commence à se détacher du Cénacle. Laissant les ambitieux faire carrière, il choisit pour lui-même, l'insouciance, la bohème, l'amour désintéressé...
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Un coucher de soleil
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Satire première
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Charles Péguy
C harles Péguy C e qui m'a plu tout de suite dans Péguy, quand j'ai regardé pour la première fois un livre de lui, c'est qu'il écrit comme on marche. O u peut-être comme on travaille de ses mains ? A han ahan. Son origine, peut-être ? Le père menuisier, la grand-mère rempailleuse de chaises. Là cadence est surtout binaire. 0 mère, ense/velie/hors du/premier/jardin Il arrive que l'attaque soit ternaire : C omme Dieu/ne fait rien mais le premier temps est comme le regard sur la route qu'il va fal...
- Hugo, Les Misérables, 2e partie, livre 3, chapitre 8
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Le désespoir de la vieille - Baudelaire - Petits poèmes en prose.
La petite vieille ratatinée se sentit toute réjouie en voyant ce joli enfant à qui chacun faisait fête, à qui tout le monde voulait plaire ; ce joli être, si fragile, comme elle, la petite vieille, et, comme elle aussi, sans dents et sans cheveux. Et elle s'approcha de lui, voulant lui faire des risettes et des mines agréables. Mais l'enfant épouvanté se débattait sous les caresses de la bonne femme décrépite, et remplissait la maison de ses glapissements. Alors la bonne vieille se retira dans s...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A mademoiselle Louise B.
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit
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Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Odelettes) - El Desdichado
Introduction. Gérard de Nerval a composé ce sonnet en 1853, au lendemain d'une nouvelle période de troubles mentaux. Il vit désormais sous la menace constante d'une rechute. Il tente de se ressaisir en se reportant par le souvenir, comme il l'a déjà fait dans Sylvie, aux jours heureux de son enfance et de sa jeunesse; mais il n'a plus guère d'espoir et prend conscience d'une fatalité redoutable qui pèse sur lui. Le Destin, tel est le premier titre qu'il a donné à ces vers. Il s'arrête finale...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Claire
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Le théâtre de Bertolt Brecht
> Demande d'échange de corrigé de Grégoire Marie-Ève ([email protected]). Sujet déposé :Bertolt Brecht Introduction La montée du nazisme ainsi que la Deuxième Guerre Mondiale ont collaboré à l'émergence d'un genre littéraire théâtral en Allemagne. Longtemps le théâtre a eu pour mission de représenter la société et de faire réfléchir ses spectateurs à différents niveaux. Un théoricien du théâtre allemand y est parvenu avec un procédé esthétique qui s'insère dans l'art dramatique. Un th...
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Et j'ai revu l'enfant unique : il m'a semblé
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Un cri