214 résultats pour "coeurs"
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - Il fera longtemps clair ce soir
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1819
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Ne mêle pas l'esprit aux choses de la chair
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1833 - A J...
- Que pensez-vous de cette affirmation de Victor Hugo dans la préface des Odes et Ballades (1826) : Le poète ne doit avoir qu'un modèle, la nature ; qu'un guide, la vérité. Il ne doit pas écrire avec ce qui a été écrit, mais avec son âme et son coeur ?
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Je t'apporte, buisson de roses funéraires
- La pièce de Molière Tartuffe a pour titre le nom du personnage qui est au coeur de l'oeuvre et qui apparaît comme le personnage principal. Toutefois cette dernière affirmation semble discutable à la lecture de la pièce dans son ensemble ?
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Le soir léger, avec sa brume claire et bleue
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1817 - Adolescence
- Je veux semer dans les coeurs, au milieu de mes paroles indignées, l'idée d'un châtiment autre que le carnage écrit Hugo à son éditeur à propos des Châtiments. Les livres des Châtiments que vous avez étudiés confirment-ils cette affirmation ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1835 - Promenade
- « Je veux semer dans les coeurs, au milieu de mes paroles indignées, l'idée d'un châtiment autre que le carnage », écrit V. Hugo à son éditeur à propos des Châtiments. Les livres des Châtiments que vous avez étudiés illustrent-ils cette affirmation ?
- Expliquez et appréciez ces lignes de Paul Valéry: On ne fait pas de la politique avec un bon coeur; mais davantage ce n'est pas avec des absences et des rêves que l'on impose à la parole de si rares et de si précieux ajustements. La véritables condition d'un véritable poète est ce qu'il y a de plus distinct de l'état de rêve. Je n'y vois que recherches volontaires, assouplissement des pensées, consentement de l'âme à des gênes exquises, et le triomphe perpétuel du sacrifice ?
- « Je n'ai pas de souvenir d'enfance », dit Georges Perec dans son autobiographie. Pourquoi, selon vous, le souvenir d'enfance constitue-t-il le coeur de toute écriture autobiographique ? Développez vos réflexions en vous appuyant sur les textes du corpus (Marcel Proust, Du côté de chez Swann, W ou Souvenir d'enfance de Perec, et La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules de Delerm).
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« Les hommes ont toujours aimé lire des histoires, dont ils savaient qu'elles étaient feintes, parce qu'ils en attendaient une vérité plus intime, plus vaste, plus proche de leur coeur que la vérité dite historique ». De quelle vérité l'oeuvre littéraire, malgré son caractère fictif, peut être l'expression ?
Vérités à portée universelle ? Y a-t-il une vérité ? => Comment le récit littéraire, la fiction, parvient à argumenter, à convaincre, à faire passer ses idées comme vraies ? Par le dialogue mais aussi la correspondance et surtout l'essai, les auteurs ont souvent tenté de présenter et d'argumenter ce qui est, pour eux, une vérité, leur avis. Toutefois, ces genres restent ardus et donc ne peuvent toucher tout le monde. C'est pourquoi de nombreux auteurs ont recourt à la fiction : I- L'intérêt de l...
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« Presque tous les arguments contre Voltaire s'adressent, en somme, au trop d'esprit qu'il eut. Puisqu'il avait tant d'esprit, il était donc superficiel. Puisqu'il avait trop d'esprit, c'est donc qu'il manquait de coeur. Tels sont les jugements du monde. » (Paul Valéry.) Vous discuterez ce « jugement du monde », en vous fondant sur la connaissance que vous avez de la vie et de l'oeuvre de Voltaire.
« Presque tous les arguments contre Voltaire s'adressent, en somme, au trop d'esprit qu'il eut. Puisqu'il avait tant d'esprit, il était donc superficiel. Puisqu'il avait trop d'esprit, c'est donc qu'il manquait de cœur. Tels sont les jugements du monde. » (Paul Valéry.) Vous discuterez ce « jugement du monde », en vous fondant sur la connaissance que vous avez de la vie et de l'œuvre de Voltaire. Voltaire est par excellence le philosophe du XVIIIe siècle. Dans une époque où les « grands » et le...
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Paul Verlaine
Paul Verlaine Paul Verlaine est né dans les Ardennes, à Metz, en mars 1844, sous le signe de Saturne, ainsi que Baudelaire. Il reconnaîtra un jour avec inquiétude l'influence de la fauve planète ; il finira par s'y abandonner sans révolte. Son enfance fut heureuse, couvée sous l'édredon bourgeois. Au lycée Bonaparte, à Paris, à peine adolescent, il est saisi par une fureur d'aimer "n'importe quand, n'importe quel et n'importe où" ; elle ne devait pas le quitter. Amitié, élan, amour ; homme, fem...
- Pascal a dit : « Ceux à qui Dieu a donné la religion par sentiment du coeur sont bien heureux et bien légitimement persuadés. Mais ceux qui ne l'ont pas, nous ne pouvons la leur donner que par raisonnement en attendant que Dieu la leur donne par sentiment du coeur. » Vous montrerez comment Pascal a suivi ce dessein dans les Pensées.
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Commentez cette affirmation de Georges Duhamel : « La civilisation est dans le coeur de l'homme, ou bien elle n'est nulle part ».
INTRODUCTION L'histoire de l'humanité nous présente, au cours des siècles et à travers l'espace, des modes de vie sociale très divers. Nos contemporains, citoyens des « grandes nations » ont le sentiment d'appartenir à une époque de haute civilisation lorsqu'ils considèrent les structures de leurs collectivités et les réalisations de la technique et de la science. Ces aspects du monde moderne suffisent-ils pourtant à fonder chez les individus un épanouissement supérieur sans lequel il est vain d...
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Ronsard, Sonnets pour Hélène I, 2
Ronsard, Sonnets pour Hélène I, 2 Quand à longs traits je boy l'amoureuse étincelle Qui sort de tes beaux yeux, les miens sont esblouïs. D'esprit ny de raison troublé je ne jouïs, Et comme yvre d'amour tout le corps me chancelle. Le coeur me bat au sein, ma chaleur naturelle Se refroidit de peur, mes sens esvanouïs Se perdent tout en l'air, tant tu te resjouïs D'acquerir par ma mort le surnom de cruelle. Tes regards foudroyans me percent de leurs rais' La peau, le corps, le coeur, comme pointes...
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Il n'y a pas d'amour heureux - Louis ARAGON - La Diane Française
Il n'y a pas d'amour heureux - Louis ARAGON - La Diane Française Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n'y a pas d'amour heureux Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes Qu'on avait habillés pour un autre destin A quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés in...
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Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Valentines) - Jaloux
Germain Nouveau, Valentines, « Jaloux ». 1. En été dans ta chambre claire, 2. Vers le temps des premiers aveux, 3. (Ce jeu-là paraissait Te plaire) 4. On ouvrait parfois Baudelaire, 5. Avec ton épingle à cheveux, 6. Comme un croyant ouvre sa Bible, 7. En s'imaginant que le Ciel, 8. Dans un verset doux ou terrible, 9. Va parler à son coeur sensible, 10. Quelque peu superficiel ; 11. D'avance on désignait la page 12. A droite ou bien à gauche, et puis, 13. Par un chiffre le vers, ce mage 14. Qui...
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Que vous inspirent ces remarques d'un directeur de troupe : « Notre volonté est de mettre en scène la société, la présenter et provoquer vis à vis d'elle des regards critiques. C'est une fonction du théâtre. Elle n'est pas nouvelle. Mais dans le même temps, le théâtre doit être le lieu où se libèrent les forces de l'imagination, où s'organise le rêve. Ces deux fonctions ne sont-elles pas contradictoires. » ?
Que vous inspirent ces remarques d'un directeur de troupe : « Notre volonté est de mettre en scène la société, la présenter et provoquer vis à vis d'elle des regards critiques. C'est une fonction du théâtre. Elle n'est pas nouvelle. Mais dans le même temps, le théâtre doit être le lieu où se libèrent les forces de l'imagination, où s'organise le rêve. Ces deux fonctions ne sont-elles pas contradictoires. » ? Le théâtre, école de « vice et de mauvaises moeurs ». Bossuet (17» s., prédicateur chrét...
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Racine, Phèdre, Acte V, scène 7.
Racine, Phèdre, Acte V, scène 7. THESEE Hé bien ! vous triomphez, et mon fils est sans vie. Ah ! que j'ai lieu de craindre ! et qu'un cruel soupçon, L'excusant dans mon coeur, m'alarme avec raison ! Mais, Madame, il est mort, prenez votre victime : Jouissez de sa perte, injuste ou légitime. Je consens que mes yeux soient toujours abusés. Je le crois criminel puisque vous l'accusez. Son trépas à mes pleurs offre assez de matières, Sans que j'aille chercher d'odieuses lumières, Qui ne pouvant le r...
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La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait tout
TEXTE La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait toute seule, nous prenions le ton que nous donnaient nos coeurs. Enfin ma modestie, d'autres diront ma sottise, fut telle que la plus grande privauté qui m'échappa fut de baiser une seule fois la main de Mlle Galley. Il est vrai que la circons...
- Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS (1732-1799) - Romance de Chérubin
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Ô triste, triste était mon âme
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Valse mystique
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Un cri
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - Complainte à sa dame
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Bon chevalier masqué qui chevauche en silence
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - Oh ! les yeux adorés...
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Sujet : Au coeur des familles monoparentales, la place et le rôle du père et de la mère connaissent des mutations de grande ampleur. Mais qui doit garder les enfants… ? Garde partagée, garde alternée, garde majoritairement confiée à la mère : nouvelles familles, nouveaux enjeux.
Sujet : Au coeur des familles monoparentales, la place et le rôle du père et de la mère connaissent des mutations de grande ampleur. Mais qui doit garder les enfants… ? Garde partagée, garde alternée, garde majoritairement confiée à la mère : nouvelles familles, nouveaux enjeux. Divorce par consentement mutuel, adoption pour les personnes seules, mariages pour tous : la notion et la structure même de la famille traditionnelle ont volé en éclats depuis ces 40 dernières années. La part d...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Je noie en tes deux yeux mon âme tout entière
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Ô prompt à croire et tardif à savoir
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - Ce qui dure
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - Treize ans
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - Un soir (I)
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le Léthé
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Le Léthé ». 1. Viens sur mon coeur, âme cruelle et sourde, 2. Tigre adoré, monstre aux airs indolents ; 3. Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants 4. Dans l'épaisseur de ta crinière lourde ; 5. Dans tes jupons remplis de ton parfum 6. Ensevelir ma tête endolorie, 7. Et respirer, comme une fleur flétrie, 8. Le doux relent de mon amour défunt. 9. Je veux dormir ! dormir plutôt que vivre ! 10. Dans un sommeil aussi doux que la mort, 11. J'étalerai m...
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Premières poésies) - Les voeux stériles
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- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Pourquoi mon âme est-elle triste ?
- Octave CRÉMAZIE (1827-1879) - Les Morts
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Premiers poèmes) - Hypertrophie
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Symphonie héroïque) - Idéal
- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Autres vers) - Saintes femmes
- Paul SCARRON (1610-1660) - Chanson : Mes yeux, vous avez veu Cloris...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Le premier regret
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - La nuit d'août
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- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - La nuit d'octobre
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - La maison de ma mère