325 résultats pour "morte"
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - Les colombes
- Pierre CORNEILLE (1606-1684) - Sur la mort du Roi Louis XIII
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - La caravane
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - La chimère
- Donner 5 raisons d'être pour la peine de mort & 5 raisons d'être contre la peine de mort.
-
Xavier Villaurrutia
Xavier Villaurrutia 1903-1950 Né au Mexique, il est indubitablement l'un des grands poètes en langue espagnole, ainsi que le fondateur et l'âme de la revue "Contemporáneos", où se sont groupés les principaux poètes du Mexique de la génération de 1920. D'une grande rigueur de style, Villaurrutia est le poète obsédé par la mort — néant ou survivance — et par la solitude où la mort, déjà toujours présente, se situe. Ses poèmes se placent dans une ambiance nocturne qui rappelle les romantiques allem...
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Sur la mort d'un enfant
-
Elsa Triolet
Elsa Triolet 1896-1970 Née à Moscou, morte à Saint-Arnoult-en-Yvelines. Belle-soeur de Maïakovski, elle épousa Aragon à qui elle inspira plusieurs très beaux poèmes (notamment Les Yeux d'Elsa). Elle reçut le Prix Goncourt 1945 pour Le Premier Accroc coûte deux cents francs et publia Bonsoir Thérèse, Mille Regrets, Le Cheval blanc, Les Fantômes armés. Après Le Monument (1957), qui pose le problème de l'art dans les sociétés nouvelles, Elsa Triolet inaugura avec Roses à crédit (1959) le cycle appe...
-
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Chapelle de la morte
-
Quelle différence profonde faites-vous entre une tragédie et une comédie ?
Introduction : a) Le fait de dire, pour expliquer l'échec de Dom Garcie de Navarre, que Molière n'avait pas le génie tragique, ou que telle de ses comédies (L'Avare, L'Ecole des Femmes, Dom Juan, Le Misanthrope), touche a la tragédie, montre bien qu'on distingue d'emblée une tragédie dune comédie. b et c) Le problème est plus difficile s'il s'agit de préciser la nature de cette différence. I. — Ce qu'elle n'est pas : Elle ne réside, en effet, comme on se risque souvent à le dire... a) ni dans un...
-
Paul Eluard: La victoire de Guernica
L'orientation du commentaire Les indications du libellé sont presques superflues. Elles orientent vers ce qui ne pouvait passer inaperçu : l'indignation à l'égard de ceux qui n'ont pas hésité à anéantir sous les bombes un village et ses habitants. Cette indignation s'exprime en deux portraits antithétiques : celui des victimes auxquelles va la sympathie profonde d'Eluard et sa pitié; celui des bourreaux dont il dénonce l'hypocrisie et l'inhumanité. Notons en outre cette impression d'horreur insp...
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - A deux beaux yeux
- Pierre CORNEILLE (1606-1684) - Epitaphe sur la mort de damoiselle Elisabeth Ranquet
- Léon-Pamphile LE MAY (1837-1918) (Recueil : Les goutelettes) - La mer morte
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Ville morte
- José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - La prière du mort
-
- José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - A une ville morte
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - La mort fervente
- Madame de Sévigné, A Madame de Grignan 26 avril 1671 (Sur la mort de Vatel)
-
Quelle place les Contes de Perrault illustrés par Gustave Doré font-ils aux lieux difficiles d'accès, cachés ou interdits ?
Analyse du sujet et problématisation : Ce sujet est centré autour d'une œuvre précise les Contes de Charles Perrault dans une édition elle-même précise, celle des contes illustrés par Gustave Doré. Les contes qu'il s'agira d'étudier ici sont donc Grisélidis”, “Peau d'Âne”, “Les Souhaits ridicules”, “La Belle au bois dormant”, “Le Petit Chaperon rouge”, “La Barbe bleue”, “Le Maître Chat ou Le Chat botté”, “Les Fées”, “Cendrillon ou La Petite Pantoufle de vair”, “Riquet à la houppe”, “Le Petit Pou...
-
Aleksandr Trifonovitch Tvardovski
Aleksandr Trifonovitch Tvardovski 1910-1971 Né dans la région de Smolensk, fils d'un paysan instruit, il est mort à Moscou. Poète, il écrivit des vers dès son plus jeune âge. Il commença à publier en 1924. Tvardovski reconnaît avoir été influencé par Michel Issakovski. En 1931 paraît un poème : Le Chemin vers le socialisme, où il manifeste la volonté de revenir au langage de la conversation ; en 1933, Préface ; en 1936, Le Pays de Mouravie ; en 1942-1945 un poème consacré à Vassili Tiorkine, typ...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A la mère de l'enfant mort
-
« De la musique avant toute chose » écrit Verlaine dans son Art poétique. Cette expression peut-elle suffire à définir la poésie ?
« De la musique avant toute chose », préconise Verlaine dans son poème intitulé "Art poétique". Pensez vous que la poésie puisse se définir par ce seule aspect musical? Paul Verlaine ouvre son poème Art poétique sur « De la musique avant toute chose, Et pour cela préférer l'impair ». Ce poème est un véritable manifeste poétique, Verlaine exprime qu'elle est, selon lui, la fonction première de la poésie. En recherche d'harmonie et d'expression aérienne de la réalité, Verlaine est un poète qui n'a...
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - La mort dit à l'homme...
-
- Catulle MENDÈS (1841-1909) (Recueil : La grive des vignes) - Le poète ne se plaint pas de la mort prochaine...
-
Résumé de la vie de Victor HUGO
VICTOR HUGO (1802-1885) " Je veux être Chateaubriand ou rien ", écrivait Victor Hugo à quinze ans sur un cahier d'écolier. Il ne l'égalera pas dans l'éclat de l'expression mais, né le 26 février 1802, il allait occuper dans son siècle une place incomparable par la fécondité de son génie et par le rôle actif qu'il tint dans les grands débats politiques. Ses premières oeuvres, d'inspiration royaliste et catholique, lui valent une pension de Louis XVIII. Mais la mort de sa mère le rapproche de son...
- Voltaire, Traité sur la tolérance à l'occasion de la mort de Jean Calas (1763), chapitre XXIII
- Voltaire, Traité sur la tolérance à l'occasion de la mort de Jean Calas (1763), chapitre XXIII.
-
Michel Eyquem de Montaigne
Michel Eyquem de Montaigne On peut faire de Montaigne quatre ou cinq portraits différents et vrais. C'est un sceptique ou même un cynique, c'est un stoïcien, c'est un catholique, c'est un humaniste... Sur quelques-uns de ses sujets préférés, il a passé du pour au contre. Il a enseigné qu'il fallait laisser les passions qui "nous esclavent à autrui". Mais il a aimé La Boétie d'une amitié si absolue que vingt-cinq ans après sa mort il lui semblait encore vivre sous ses yeux. "Lui seul, dit-il, jo...
- Jean-Baptiste Poquelin, dit MOLIERE (1622-1673) - A M. La Mothe Le Vayer, sur la mort de son fils
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes tragiques) - A un poète mort
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - La mort du soleil
-
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - A travers les soupirs, les plaintes et le râle
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques) - La mort de penthée
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - Étoiles, qui d'en haut voyez valser les mondes
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - Ne me sois pas marâtre, ô nature chérie
-
La Reine morte (1942) HENRY DE MONTHERLANT (1896-1972)
DRAME La Reine morte (1942) HENRY DE MO N T HERLANT (1896-1972) L'auteur Henry de Montherlant est né à Paris d'une famille aristocrate. Il manifeste une vocation littéraire précoce, cultive les valeurs héroïques et se montre attiré par le sport et la tauromachie. Après la première guerre mondiale, il voyage au Sud de l'Europe et en Afrique du Nord. Entre 1936 et 1939, il publie le cycle romanesque des Jeunes Filles dont le héros Costals, cynique et mysogine, méprise les femmes ....
-
Lecture lineaire, Molière, Le Malade imaginaire,1673, acte III, s.12 : « TOINETTE : Voilà une belle oraison funèbre[…].TOINETTE :et voyons de quelle manière elle recevra votre mort. »
Lectures linéaires 14 et 15 PARCOURS ASSOCIE : Théâtre et stratagème. Quelques pistes de réflexion Théâtre et stratagème : mise en place d’une relation entre les deux termes « et », ce qui signifie que l’un ne va pas sans l’autre . Le théâtre , par définition, repose sur le paraitre et le jeu de rôle . C’est un lieu de représentation et un spectacle ; ne pas oublier le caractère visuel du théâtre et la place du spectateur . C’est aussi un art illusoire . Il s’agit de s’interroger la p...
-
Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Les chimères) - Artémis
Commentaire composé du poème « Artémis » de Gérard de Nerval Introduction : « Artémis » est un sonnet de Gérard de Nerval extrait des Chimères, recueil de sonnets qui parut en 1853. Notre sonnet est centré autour du personnage d’Artémis, déesse grecque de la chasse, fille de Zeus et de Léto, et déesse souvent associée à la lune. Artémis se présente comme une divinité marginale et ambiguë : elle a sa place dans les zones où les frontières sont floues, entre monde sauvage te monde civilisé et est...
-
Vauvenargues a dit: «Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si l'on ne devait jamais mourir. »
Vauvenargues a dit: «Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si l'on ne devait jamais mourir. » Introduction : « Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder en face. » Ce mot de La Rochefoucauld aurait pu être longuement médité par Vauvenargues, puisque cet h o m m e courageux jusqu'à la témérité passa la moitié d e sa vie à risquer la mort sans y succomber — et l'autre moitié à méditer sur le thème d e la mort lorsque son état d e santé ne lui permettait plus d e continuer à viv...
-
- Dans un article de 1968 intitulé La mort de l'auteur, le critique Roland Barthes écrit: L'image de la littérature que l'on peut trouver dans la culture courante est tyranniquement centrée sur l'auteur, sa personne, son histoire, ses goûts, ses passions. En vous appuyant sur les documents fournis, les textes étudiés en classe et vos lectures (et/ou expériences) personnelles, vous discuterez ce jugement ?
- Commentez ce point de vue de Brunetière sur La Chanson de Roland dans ses Études critiques sur l'histoire de la littérature française : « Le poème est assez mal composé : la Chanson n'a pas de commencement, car la trahison de Ganelon y est sans cause et même sans prétexte ; elle n'a pas de fin, car la victoire de Charlemagne y demeure quasiment sans effet ; elle n'a pas de centre, car la mort de Roland n'y occupe pas plus de place que la bataille de Charlemagne contre les Sarrasins » ?
- « L'esthétique de l'épopée n'est pas celle du drame : le paroxysme ne se trouve pas à la fin, mais au milieu, comme dans cette chanson où la mort de Roland est la flèche mystique d'une cathédrale héroïque. [...] L'accumulation incantatoire, les répétitions qui tassent le récit, apparentent l'art épique à la musique [...] et à l'architecture, selon une disposition du temps et de l'espace déterminée par une intention symbolique. On veut suggérer l'élan militaire ou mystique, provoquer l'
- À la recherche d'un objet improbable et fuyant, la passion chez Marguerite Duras se vit toujours comme une tragédie (...) L'enjeu de la passion dans l'oeuvre et, semble t-il, de montrer cette mort dans une vie en cours qui devient l'ombre même du passionné. Ces propos vous paraissent-ils rendre compte des oeuvres au programme ? (Le Ravissement de Lol V. Stein ; La Princesse de Clèves et La Princesse de Montpensier de Madame de Lafayette ; Les Désordres de l'Amour de Madame de Villedieu
-
TEXTE 7 : LA MORT DE MANON, MANON LESCAUT, ABBÉ PRÉVOST PARCOURS 2 : LES ROMANS DU MOYEN AGE AU XXÈME SIÈCLE
TEXTE 7 : LA MORT DE MANON, MANON LESCAUT, ABBÉ PRÉVOST PARCOURS 2 : LES ROMANS DU MOYEN AGE AU XXÈME SIÈCLE INTRODUCTION : L’histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut de l’Abbé Prévost est un roman audacieux de 1731, édition complétée en 1753. Le récit principal est celui que Des Grieux fait lui-même de ses amours avec Manon Lescaut, jeune fille qui cherche à concilier son amour pour le chevalier et son penchant au plaisir qui l’amène à utiliser ses charmes pour s’assurer des...
-
Que recherchez-vous dans un werstern ? Le cow-boy est-il mort ?
Le western est né de la conquête de l'Ouest américain, de la ruée vers l'or qui a attiré des aventuriers tels Davy Crockett ou Buffalo Bill ; le cinéma a d'emblée fait d'eux des héros. Mais ce cinéma semble en perte de vitesse depuis une dizaine d'années et G.-N. Granville affirme même que le mythe du cow-boy est mort et que le public n'attend plus que la victoire du « bon » et le châtiment du « méchant ». Cette déchéance paraît évidente, mais pourtant le cow-boy est un héros tenace dans les esp...
-
Excipit de Madame Bovary
Flaubert, Madame Bovary, La mort de Charles. Excipit => fin du roman. Le lendemain, Charles alla s'asseoir sur le banc, dans la tonnelle. Des jours passaient par le treillis ; les feuilles de vigne dessinaient leurs ombres sur le sable, le jasmin embaumait, le ciel était bleu, des cantharides bourdonnaient autour des lis en fleur, et Charles suffoquait comme un adolescent sous les vagues effluves amoureux qui gonflaient son coeur chagrin. A sept heures, la petite Berthe, qui ne l'avait pas vu de...
-
UNE ATTARDÉE DU ROMANTISME : ANNA DE NOAILLES
UNE ATTARDÉE DU ROMANTISME : ANNA DE NOAILLES Née à Paris, ANNA-ELISABETH DE BRANCOVAN était fille d'un prince roumain. Par sa mère, elle descendait d'une famille grecque. Son mariage avec le comte Mathieu DE NOAILLES fit d'elle une française. Barrès, avec qui elle fut très liée, aimait et flattait en elle l'Orientale. Elle concilia du mieux qu'elle put la fidélité à ses origines et son attachement à la culture et à la tradition françaises. A travers son recueil Les Vivants et les Morts, on entr...
-
- Montrez que dans le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo nous présente un portrait pathétique d'un condamné à mort et qu'il fait un violent réquisitoire contre la peine de mort.
-
Racine, Phèdre, Acte V, scène 7.
Racine, Phèdre, Acte V, scène 7. THESEE Hé bien ! vous triomphez, et mon fils est sans vie. Ah ! que j'ai lieu de craindre ! et qu'un cruel soupçon, L'excusant dans mon coeur, m'alarme avec raison ! Mais, Madame, il est mort, prenez votre victime : Jouissez de sa perte, injuste ou légitime. Je consens que mes yeux soient toujours abusés. Je le crois criminel puisque vous l'accusez. Son trépas à mes pleurs offre assez de matières, Sans que j'aille chercher d'odieuses lumières, Qui ne pouvant le r...