212 résultats pour "nuits"
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A la fenêtre, pendant la nuit
- Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit) - A M. Victor Hugo
- Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit) - A M. Charles Nodier
- Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit) - A M. David, statuaire
- Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit) - La viole de Gamba
- Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit) - L'écolier de Leyde
- Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit) - La ronde sous la cloche
- Commentaire composé du poème "Effet de nuit" de Paul Verlaine (Poèmes Saturniens)
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- Céline, Voyage au bout de la nuit - De le voir ainsi cet ignoble cavalier dans une tenue...
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Jean Giraudoux, Electre, entracte : Lamento du Jardinier (1938)
Jean Giraudoux, Electre, entracte : Lamento du Jardinier (1938) [Egisthe a épousé la reine Clytemnestre, veuve du roi Agamemnon, et a pris le pouvoir. Redoutant qu'Electre, fille d'Agamemnon et de Clytemnestre, ne se révolte si elle parvenait au pouvoir, il l'a promise au jardinier. Mais un étranger, qui n'est autre qu'Oreste, fils d'Agamemnon et de Clytemnestre et frère d'Electre, fait annuler ce mariage. Le jardiner se retrouve seul, et occupe la scène pendant l'entracte séparant les deux acte...
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Rêve d'une nuit d'hôpital
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir
- Victor Hugo (1802-1885), « Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures (1837).
- Théophile Dondey dit Philothée O'NEDDY (1811-1875) (Recueil : Feu et flamme) - Nuit quatrième
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Baudelaire - Le Crépuscule du Soir
L'œuvre entière d e Baudelaire présente une unité remarquable en ce sens qu'un seul drame peut, l'expliquer et l'éclairer : celui du poète à la recherche de l'Infini, de l'Idéal, non comme une aspiration romantique vers un « au-delà » — « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d'une autre vie » — mais bien plutôt comme la quête de l'Essence pure dont le monde n'est qu'une apparence. C'était déjà là le double thème des Fleurs du Mal, Spleen et Idéal. Dans les Cro...
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RACINE Bérénice, acte I, scène 5
Dans sa tragédie Bérénice, Racine pousse le dépouillement et l'épure à un degré extrême. La comparaison de l'intrigue de la tragédie racinienne avec la pièce de Corneille Tite et Bérénice est à cet égard significative. La tragédie suit le mot célèbre de Suétone : « Invitus invitant dimisit » (malgré lui, malgré elle, il la renvoya). Dans cet extrait, Bérénice est loin de se douter de son destin, elle évoque pour sa confidente Phénice les fastes de l'apothéose de Vespasien et du couronnement de T...
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Paul Eluard: La victoire de Guernica
L'orientation du commentaire Les indications du libellé sont presques superflues. Elles orientent vers ce qui ne pouvait passer inaperçu : l'indignation à l'égard de ceux qui n'ont pas hésité à anéantir sous les bombes un village et ses habitants. Cette indignation s'exprime en deux portraits antithétiques : celui des victimes auxquelles va la sympathie profonde d'Eluard et sa pitié; celui des bourreaux dont il dénonce l'hypocrisie et l'inhumanité. Notons en outre cette impression d'horreur insp...
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Maupassant - Une vie
Dans ce texte, extrait de l'ouvrage intitulé Une vie, Guy de Maupassant nous fait assister à la transformation d'un coeur. mélancolique, en un coeur heureux et plein d'espoir, c'est la nature qui, grâce à ses merveilleux pouvoirs, va accomplir ce tour de magie... En lisant ce texte, personne ne peut s'empêcher de penser à Rousseau, aux Confessions et aux Rêveries du promeneur solitaire. Je pense en particulier à un passage du livre IV des Confessions dans lequel Rousseau nous raconte une nuit pa...
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Désert de Jean-Marie Gustave Le Clézio
Désert de Jean-Marie Gustave Le Clézio Roman, France, 1980 Résumé L'hiver 1909 voit la dernière odyssée des hommes bleus du désert, venus, de plus en plus nombreux, rejoindre les guerriers du grand cheikh Ma el Aïnine, « L'Eau des yeux », aux portes de Smara, dans la vallée de la Saguiet el Hamra. En route depuis des mois, des années, pour chasser les « soldats des chrétiens », ils marchent inlassablement. Les uns sont morts, les autres sont nés. Smara héberge les tribus mais cette ville n'est q...
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Paul Fort (1872-1960), Ballades françaises
Par les nuits d'été bleues où chantent les cigales, Dieu verse sur la France une coupe d'étoiles. Le vent porte à ma lèvre un goût du ciel d'été! Je veux boire à l'espace fraîchement argenté. L'air du soir est pour moi le bord de la coupe froide où, les yeux mi-fermés et la bouche goulue, je bois, comme le jus pressé d'une grenade, la fraîcheur étoilée qui se répand des nues. Couché sur un gazon dont l'herbe est encore chaude de s'être prélassée sous l'haleine du jour, oh! que je viderais, c...
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Les plus désemparés sont les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Musset, Nuit de Mai ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus b e a u x Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt d e réaction contre cette culture. Musset souffre — c o m m e...
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Victor Hugo, « Soleils couchants »
Introduction Lorsque Victor Hugo compose ce poème il vient de publier Les Orientales où son sens de la couleur se donne libre cours. On peut donc s'étonner de n'y trouver aucun élément descriptif. La vision du soleil couchant, qui va donner l'élan à l'inspiration du poète, est seulement notée d'une manière précise et incolore dans le premier vers. Et même la strophe qu'il consacre au spectacle de la nature est volontairement dénuée de pittoresque. Tout s'efface devant l'ampleur d'une émouvante m...
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Denis Diderot, Le neveu de Rameau.
Rien ne dissemble plus de lui que lui-même. Quelquefois, il est maigre et hâve comme un malade au dernier degré de la consomption ; on compterait ses dents à travers ses joues. On dirait qu'il a passé plusieurs jours sans manger, ou qu'il sort de la Trappe. Le mois suivant, il est gras et replet, comme s'il n'avait pas quitté la table d'un financier, ou qu'il eût été renfermé dans un couvent de Bernardins. Aujourd'hui, en linge sale, culotte déchirée, couvert de lambeaux, presque sans souliers,...
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Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Je crois que tout mon lit de chardons est semé
Philippe DESPORTES, Les amours d'Hippolyte, « Je crois que tout mon lit de chardons est semé ». 1. Je crois que tout mon lit de chardons est semé ! 2. Qu'il est rude et malfait. Hé ! Dieu suis-je si tendre 3. Que je n'y puis durer ? je ne fais que m'étendre, 4. Et ne sens point venir le Somme accoutumé. 5. Il est après mi-nuit, je n'ai pas l'oeil fermé, 6. Et mes membres lassés repos ne peuvent prendre. 7. Sus Phebus, lève-toi ! ne te fais plus attendre. 8. Et de tes clairs regards rends le cie...
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Jacques Brel, J'aimais
Première partie 1. Le verbe j'aimais Dans le titre et dans la strophe centrale avec ses quatre occurrences, j'aimais signifie «j'étais amoureux de ». Ce sens est renforcé par la proximité de j'ai adoré (v. 15) et de je vous brûlais (v. 20), qui connotent tous deux l'intensité de la passion amoureuse. Mais le verbe prend également le sens atténué de «j'avais du goût pour», aussi bien au vers 1 (J'aimais les fées...) qu'au vers 5 (J'aimais les tours hautes et larges) ou 13 et 14 (J'aimais courir.....
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Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Le lac
Commentaire composé du poème « Le Lac » de Lamartine Introduction : Le poème « Le lac » est extrait du recueil des Méditations Poétiques de Lamartine publié en 1820. Dans ce poème, Lamartine évoque ses souvenirs avec sa maîtresse, Julie Charles, récemment décédée, avec qui il avait visité ces lieux autrefois. Les souvenirs du poète revenant sur ce lac ne sont en rien altérés par le temps passés. Lamartine exalte dans ce poème lyrique les thèmes chers aux romantiques : la nature, l’amour déchu, l...
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Marcel Proust, Les Plaisirs et les Jours.
Celui qui est las des chemins de la terre ou qui devine, avant de les avoir tentés, combien ils sont âpres et vulgaires, sera séduit par les pâles routes de la mer, plus dangereuses et plus douces, incertaines et désertes. Tout y est plus mystérieux, jusqu'à ces grandes ombres qui flottent parfois paisiblement sur les champs nus de la mer, sans maisons et sans ombrages, et qui étendent les nuages, ces hameaux célestes, ces vagues ramures. La mer a le charme des choses qui ne se taisent pas la nu...
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Gérard de Nerval
Gérard de Nerval Le souvenir de mes belles cousines, ces intrépides chasseresses que je promenais dans les bois, belles toutes deux comme les filles de Léda, m'éblouit encore et m'enivre. Pourtant je n'aimais qu'elle alors. Ces paumes de Gérard de Nerval, qu'il appuie tantôt sur son front ou ses yeux et tantôt contre sa poitrine, sont imprégnées de ce parfum qui nous vient des distances et que nous respirons parfois au lendemain d'un beau jour quand l'imagination, enhardie par un soupçon d'amou...
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Giraudoux, Amphitryon 38, acte II, scène 2.
Première partie (4 points) 1. À travers un exemple que vous commenterez brièvement, vous montrerez l'art de traiter avec légèreté un sujet grave. En disant à Jupiter sur un ton péremptoire : Ne me parle pas de ne pas mourir tant qu 'il n 'y aura pas un légume immortel, Alcmène aborde la grave question de la mort, qui sépare les hommes des dieux immortels. Mais l'association aussi saugrenue qu'inattendue de deux termes inconciliables, légume et immortel, introduit une note d'humour car elle relèv...
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Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, chapitre II, 1932. Commentaire composé
Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, chapitre II, 1932. 5 Louis-Ferdinand Céline a pris part à la guerre de 1914-1918 ; il a utilisé cette expérience dans son roman d'allure autobiographique Voyage au bout de la nuit. Le narrateur, engagé volontaire, déchante vite… 10 15 20 25 30 35 40 45 50 Une fois qu’on y est, on y est bien. Ils nous firent monter à cheval et puis au bout de deux mois qu’on était là-dessus, remis à pied. Peut-être à cause q...
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« Les plus désespérés sont les chants les plus beaux. Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots » (Musset, La Nuit de Mai) Que pensez-vous de cette conception de la poésie ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt de réaction contre cette culture. Musset souffre — comme les autr...
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Marguerite de VALOIS, dite la reine MARGOT (1553-1615) - Stances amoureuses de la Reine de Navarre
Marguerite de VALOIS, dite la reine MARGOT (1553-1615) - Stances amoureuses de la Reine de Navarre (extraits) Introduction : Marguerite de Valois reprend ici une forme particulière, celle des stances, terme désignant un poème formé d'une série de strophes d'inspiration grave qui témoignent souvent d'une méditation personnelle. Ce poème de la reine Margot a été composé pour son amant, Champvallon. Projet de lecture : Comment ce poème se présentant comme un épanchement lyrique se révèle être un te...
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MALRAUX - La Condition Humaine: 21 mars 1927. Minuit et demi.
Cet incipit doit son originalité à une ouverture in médias res, à la focalisation interne et à une nouvelle forme d'écriture. Contrairement à la technique balzacienne, la narration se caractérise chez Malraux par l'absence de tout préliminaire : le lecteur entre de plain-pied dans un monde inconnu, il lie connaissance avec un tueur, il s'intéresse enfin à une action violente, un assassinat imminent. Mais s'il connaît la date des événements (21 mai 1927), il ignore tout du lieu : seul le nom Tche...
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Rimbaud, « Ophélie »
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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Le roman au XX ième siècle
TÉMOINS DE LEUR TEMPS De nombreux romanciers d'aujourd'hui prennent à tâche de témoigner sur une époque dramatique entre toutes : l'histoire contemporaine peut être suivie à travers les récits qui en sont les reflets. Ainsi ont été évoqués les épisodes de la guerre (Jules Roy : La Vallée heureuse; Robert Merle : Week-end à Zuydcoote), le régime de Vichy (Henri Queffélec : Journal d'un salaud), l'occupation avec ses rigueurs, ses incidents pittoresques ou ses scandales (Jean-Louis Curtis : Les Fo...
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Ophélie
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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Balzac, Le père Goriot
Balzac, Le Père Goriot, la chambre de Goriot. Eugène, qui se trouvait pour la première fois chez le père Goriot, ne fut pas maître d'un mouvement de stupéfaction en voyant le bouge où vivait le père, après avoir admiré la toilette de la fille. La fenêtre était sans rideaux; le papier de tenture collé sur les murailles s'en détachait en plusieurs endroits par l'effet de l'humidité, et se recroquevillait en laissant apercevoir le plâtre jauni par la fumée. Le bonhomme gisait sur un mauvais lit, n'...
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Commentaire serais je donc le seul lâche sur terre ? Voyage au bout de la nuit de Céline
Texte étudié : Serais-je donc le seul lâche sur la terre ? pensais-je. Et avec quel effroi ! …Perdu parmi deux millions de fous héroïques et déchaînés et armés jusqu'aux cheveux ? Avec casques, sans casques, sans chevaux, sur motos, hurlants, en autos, sifflants, tirailleurs, comploteurs, volants, à genoux, creusant, se défilant, caracolant dans les sentiers, pétaradant, enfermés sur la terre comme dans un cabanon, pour y tout détruire, Allemagne, France et Continents, tout ce qui respire,...
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Je suis la Journée
- Jean GODARD (1564-1630) - Feux déliens, ainsi qu'il, vous plaira
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- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Francine) - L'Amour qui me tourmente
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Stendhal Le Rouge et le Noir: Lecture linéaire : Texte n°3, Livre II, chapitre XLV : de : « [Fouqué] passait la nuit seul » à la fin du chapitre
Séquence 2 : Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1830 Parcours : Le personnage de roman, esthétiques et valeurs Problématique : Comment, à travers la construction des personnages, le roman exprime-t-il une vision du monde – modèles humains, valeurs, critiques ? Lecture linéaire : Texte n°3, Livre II, chapitre XLV : de : « [Fouqué] passait la nuit seul » à la fin du chapitre Construction de l’enjeu de la lecture : Eléments de contexte Stendhal a publié Le Rouge et le Noir en 1830. Il a alo...
- Marguerite Duras, Un barrage contre le Pacifique
- Jean GODARD (1564-1630) - Le Soleil de l'Âme
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Incantation
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - La cloche fêlée
Demande d'échange de corrigé de thiriet Marion ([email protected]). Sujet déposé : Commentaire Composé " La Cloche Fêlée " De Baudelaire Commentaire analytique - Type Bac Niveau première Les Fleurs du Mal Charles Baudelaire La Cloche Fêlée Plan : I. Le lyrisme du spleen 1. Le pronom « je » 2. La métaphore de la musique : gradation descente 3. La solitude donne lieu à la personnification II. Un décor en adéquation avec les sentiments 1. L’apparent bien-être de la chaleur 2. L’hi...
- Marguerite DURAS, Un barrage contre le Pacifique
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Fêtes galantes) - Colloque sentimental
Ce mélancolique et vaporeux poème est une des pièces des Fêtes galantes. Le « saturnien'" » VERLAINE — ainsi se qualifiait-il —, qui a toujours, pense-t-il, dans sa vie : « bonne part de malheur et bonne part de bile », a d'abord fréquenté le Parnasse, et son premier recueil Poèmes saturniens en porte en partie la marque. Mais bientôt il se sent emporté « de çà de là », et bien loin de la facture sculpturale d'un LECONTE DE LISLE, c'est vers la musicalité t que son inspiration glisse « brume...
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- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Les étoiles
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Prière au sommeil