187 résultats pour "soirs"
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Soir d'empire
- Aloysius BERTRAND (1807-1841) (Recueil : Gaspard de la nuit) - Le soir sur l'eau
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - Un soir (II)
- Maurice DU PLESSYS (1864-1924) (Recueil : Les tristes) - La chanson d'un soir de tempête
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - Un soir (I)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Avec le même amour que tu me fus jadis
- Anatole LE BRAZ (1859-1926) (Recueil : Poèmes votifs) - Soir de Bretagne
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - La soupe du soir
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- Zola, Au bonheur des dames.[Denise se trouve devant le Bonheur des Dames un soir de pluie.]
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Quand le ciel étoilé couvre notre demeure
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Choses du soir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Que nous sommes encor heureux et fiers de vivre
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Si nos coeurs ont brûlé en des jours exaltants
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Lorsque tu fermeras mes yeux à la lumière
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Viens jusqu'à notre seuil répandre
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Mets ta chaise près de la mienne
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - Plus loin que les gares, le soir
- Louis Pasteur, Conférence aux soirées scientifiques de la Sorbonne (1864), « Contre la théorie de la génération spontanée ».
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Les fleurs du clair accueil au long de la muraille
- Marc-Antoine DESAUGIERS (1772-1827) (Recueil : Chansons) - Tableau de Paris (A cinq heures du soir)
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Camus et l'absurdité du monde
Voici des arbres et je connais leur rugueux, de l'eau et j'éprouve sa saveur. Ces parfums d'herbe et d'étoiles, la nuit, certains soirs où le cœur se détend, comment nierais-je ce monde dont j'éprouve la puissance et les forces ? Pourtant toute la science de cette terre ne me donnera rien qui puisse m'assurer que ce monde est à moi. Vous me le décrivez et vous m'apprenez à le classer. Vous énumérez ses lois et dans ma soif de savoir, je consens qu'elles soient vraies. Vous démontez son mécanisme...
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HUGO - Les Châtiments
Les Châtiments naissent chez Victor Hugo du coup d'État du 2 décembre, par lequel le prince Louis Napoléon Bonaparte élu président de la seconde République (née de la Révolution de 1848) devient empereur sous le nom de Napoléon III. C'est une satire, un ouvrage engage et militant qui emploie tour à tour l'indignation et l'ordre pour flétrir celui que Victor Hugo appelle « Napoléon le Petit ». Ce poème fut composé à Jersey mais l'inspiration en vint à Bruxelles au poète réfugié, lors de meurtres...
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Paul Fort (1872-1960), Ballades françaises
Par les nuits d'été bleues où chantent les cigales, Dieu verse sur la France une coupe d'étoiles. Le vent porte à ma lèvre un goût du ciel d'été! Je veux boire à l'espace fraîchement argenté. L'air du soir est pour moi le bord de la coupe froide où, les yeux mi-fermés et la bouche goulue, je bois, comme le jus pressé d'une grenade, la fraîcheur étoilée qui se répand des nues. Couché sur un gazon dont l'herbe est encore chaude de s'être prélassée sous l'haleine du jour, oh! que je viderais, c...
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Alexandre Vialatte, Dernières nouvelles de l'homme, Julliard, 1978.
L'automne s'obstine au flanc des coteaux. Du maïs, des oiseaux s'envolent. Des feux s'allument dans les jardins. Il en monte de hautes fumées. L'air sent le céleri, les fanes de pommes de terre. La ampagne est calme et muette. On voit au loin, contre le ciel ... Un escalier, çà et là, ne mène à rien. D'une maison basse, il n'est resté que le perron, avec sa rampe en fer forgé. Une haute pour voûtée porte une date inscrite dans la pierre ; elle s'ouvre sur une cour sans murs et tout envahie par l...
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MALRAUX - LA Voix Royale
MALRAUX - LA Voix Royale Le roman relate l'expédition de Claude Vannée, qui recherche des temples khmers enfouis dans la jungle. À travers la clairière, aucun sentier. Pourtant un au moins en partait : celui qu'ils avaient suivi, et qui continuait au-delà. Malgré son calme, cette clairière où ils devaient dormir vivait d'une vie de piège ; une moitié envahie déjà par l'ombre, l'autre éclairée par la lumière très jaune qui précède le soir. Pas de palme, l'Asie n'était présente que par la chaleur,...
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Victor Hugo, « Soleils couchants »
Introduction Lorsque Victor Hugo compose ce poème il vient de publier Les Orientales où son sens de la couleur se donne libre cours. On peut donc s'étonner de n'y trouver aucun élément descriptif. La vision du soleil couchant, qui va donner l'élan à l'inspiration du poète, est seulement notée d'une manière précise et incolore dans le premier vers. Et même la strophe qu'il consacre au spectacle de la nature est volontairement dénuée de pittoresque. Tout s'efface devant l'ampleur d'une émouvante m...
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Maupassant - Une vie
Dans ce texte, extrait de l'ouvrage intitulé Une vie, Guy de Maupassant nous fait assister à la transformation d'un coeur. mélancolique, en un coeur heureux et plein d'espoir, c'est la nature qui, grâce à ses merveilleux pouvoirs, va accomplir ce tour de magie... En lisant ce texte, personne ne peut s'empêcher de penser à Rousseau, aux Confessions et aux Rêveries du promeneur solitaire. Je pense en particulier à un passage du livre IV des Confessions dans lequel Rousseau nous raconte une nuit pa...
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Auguste de Villiers de L'Isle-Adam Contes cruels
L'idée dominante est déjà présente dans le titre «Fleurs de ténèbres» qui associe deux mots d'acceptions très différentes. Si le vocable fleurs évoque la fraîcheur, la grâce, le renouveau de la nature, le mot « ténèbres », lui, évoque le jour qui faiblit, la crainte de la nuit, l'obscurité de la mort, la sombre malfaisance de l'au-delà, la perdition et la damnation. C'est donc associer l'espérance de vie à la certitude de la mort. Étrange association donc que celle que fait pressentir le tit...
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Victor HUGO, Les Misérables, I, VII, 3.
Victor HUGO, Les Misérables, I, VII, 3. Il reculait maintenant avec une égale épouvante devant les deux résolutions qu'il avait prises tour à tour. Les deux idées qui le conseillaient lui paraissaient aussi funestes l'une que l'autre. - Quelle fatalité ! quelle rencontre que ce Champmathieu pris pour lui ! Être précipité justement par le moyen que la providence paraissait d'abord avoir employé pour l'affermir ! Il y eut un moment où il considéra l'avenir. Se dénoncer, grand Dieu ! se livrer ! Il...
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L.A. n"? : << Lo Chonson du rtÂol-Aimé » (strophes I à 5 de « Un soir de demi-brume » jusgu'à << [a fousseté de l'amour même »)
I Âlcoolq (1913). Apollinaife Poésia de lo modarnité. modernité de lo poésie O. L.A. n"? : (strophes même ») Questions I Lo Chonson du rtÂol-Aimé » à 5 de « Un soir de demi-brume » jusgu'à
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le balcon
- Emile NELLIGAN (1879-1941) - La romance du vin
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Les cordiers
- Emile NELLIGAN (1879-1941) - Le violon brisé
- Saint-John Perse, "La Ville", Images à Crusoé (Éloges, 1911).
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - La dame en noir
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le crapaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « Le crapaud ». 1. Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? 2. Le couchant rayonnait dans les nuages roses ; 3. C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident 4. Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ; 5. Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie, 6. Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ; 7. Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. 8. (Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ? 9. Hélas ! le...