284 résultats pour "livres"
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Second livre des erreurs amoureuses) - Oeil éloigné du Jour, qui te recrée
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Second livre des erreurs amoureuses) - Des yeux auxquels ainsi, qu'en un Trophée
- Pierre de SAINT-LOUIS (1626-1684) (Recueil : La Madeleine au désert de la Sainte-Baume) - Livre second
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Troisième livre des ereurs amoureuses) - Pere divin, sapience eternelle ...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Mon Dieu, que j'aime à baiser les beaux yeux
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Second livre des erreurs amoureuses) - Pourrai-je bien sans toi, ma chère guide
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Bonjour mon coeur, bonjour ma douce vie
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Elégie à Janet, peintre du roi
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- « Je veux semer dans les coeurs, au milieu de mes paroles indignées, l'idée d'un châtiment autre que le carnage », écrit V. Hugo à son éditeur à propos des Châtiments. Les livres des Châtiments que vous avez étudiés illustrent-ils cette affirmation ?
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Jean Giono écrit que le cinéma et la télévision tendent vers le même but que le livre: distraire, divertir, mais qu'ils le font moins bien. Qu'en pensez-vous ?
Introduction. Depuis l'émergence du cinéma et la diffusion massive de la télévision, les auteurs, les journalistes et les sociologues comparent et opposent le règne de l'écrit à celui de l'image. Giono participe également à ce débat en prenant - on ne s'en étonnera pas - fait et cause pour le livre. C'est ainsi qu'il déclare que le cinéma et la télévision tendent vers le même but : « distraire, divertir » mais qu'ils le font « moins bien ». Quels arguments utilisent l'auteur pour étayer ce jugem...
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Second livre des erreurs amoureuses) - Ô calme nuit, qui doucement composes
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Troisième livre des erreurs amoureuses) - O calme nuit , qui doucement compose ...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Ciel, air et vents, plains et monts découverts
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Je veus lire en trois jours l'Iliade d'Homere
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Ny voir flamber au point du jour les roses
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Ô doux parler, dont l'appât doucereux
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- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - J'ai tant crié, ô douce Mort, renverse
- Marin Le Roy de GOMBERVILLE (1600-1674) (Recueil : Second livre des Delices de la Poesie françoise) - Effroyables deserts, pleins d'ombre, et de silence
- Dans Nouvel art de penser, J. Guitton donne ces conseils : « Ne lis jamais une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand tireur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer ». Commentez et discutez ?
- Opposant, dans la préface de Pierre et Jean, le roman objectif et le roman d'analyse pure, Maupassant estime que la psychologie doit être cachée dans le livre comme elle est cachée en réalité sous les faits dans l'existence . Cet objectif est-il atteint dans le roman de Zola ou de Maupassant que vous avez étudié ?
- Marin Le Roy de GOMBERVILLE (1600-1674) (Recueil : Second livre des Delices de la Poesie françoise) - Olympe leves toy, desja l'aube est levée
- Dans Nouvel Art de Penser (1954) Jean Guitton donne ces conseils : Ne lis pas une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand trieur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer. Commentez et discutez.
- Dans la préface de son Dictionnaire philosophique Voltaire écrit : les livres les plus utiles sont ceux dont les lecteurs font eux-mêmes la moitié; ils entendent les pensées dont on leur présente le germe ; ils corrigent ce qui leur semble défectueux, et fortifient par leurs réflexions ce qui leur parait faible. Que pensez-vous de cette affirmation ?
- Dans une argumentation d'une page environ, vous montrerez, quel auteur vous a le plus marqué ? Pourquoi ? Le début de cette argumentation devra commencer par : Si je pousse la porte d'un livre de... Vous comparez en utilisant une métaphore filée, l'univers de votre auteur à un lieu ou à une chose contrainte qui aura les mêmes caractéristiques que l'univers de votre auteur ?
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Commentez cette définition de l'intellectuel que donne André Malraux dans « Les Noyers de l'Altenbourg » : « Un intellectuel n'est pas seulement celui à qui les livres sont nécessaires, mais tout homme dont une idée, si élémentaire soit-elle, engage et ordonne la vie ».
INTRODUCTION Parmi les « caractères » que notre XXe siècle pourrait offrir à l'observation d'un moderne La Bruyère, le type de l'intellectuel est sans doute l'un des plus représentatifs de la civilisation contemporaine. Il est tentant de chercher à préciser la valeur de ce terme fréquemment employé, avec déférence par certains, avec une nuance d'ironie, voire de mépris par d'autres. Dans Les Noyers de l'Altenburg, publié en 1943, Malraux avançait la définition suivante : « Un intellectuel n'est...
- Un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autoportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur ». Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau ?
- « J'aime lire comme lit une concierge : m'identifier à l'auteur et au livre. Toute autre attitude me fait penser au dépeceur de cadavres », écrit Cioran dans De l'inconvénient d'être né (1988). Vous commenterez cette réflexion en vous appuyant sur des exemples tirés de votre propre expérience de la lecture.
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en v
- Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Téterelle qu'en tant que critique il était gavé de confidences autobiographiques dont il n' [avait] que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.
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Marguerite Yourcenar a imaginé les mémoires qu'aurait pu écrire l'empereur Hadrien (empereur romain du IIe siècle après Jésus-Christ). Il écrit : « Comme tout le monde, je n'ai à mon service que trois moyens d'évaluer l'existence humaine : l'étude de soi, la plus difficile et la plus dangereuse, mais aussi la plus féconde des méthodes ; l'observation des hommes, qui s'arrangent le plus souvent pour nous cacher leurs secrets ou pour nous faire croire qu'ils en ont ; les livres, avec les
Marguerite Yourcenar a imaginé les mémoires qu'aurait pu écrire l'empereur Hadrien (empereur romain du IIe siècle après Jésus-Christ). Il écrit : « Comme tout le monde, je n'ai à mon service que trois moyens d'évaluer l'existence humaine : l'étude de soi, la plus difficile et la plus dangereuse, mais aussi la plus féconde des méthodes ; l'observation des hommes, qui s'arrangent le plus souvent pour nous cacher leurs secrets ou pour nous faire croire qu'ils en ont ; les livres, avec les erreurs p...
- Le maréchal Lyautey a écrit: L'homme est toujours l'enfant qui préfère son livre d'images à tout livre de lecture, et il a raison: l'image c'est la vie. Qu'en pensez-vous ?
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Je suis moi-même la matière de mon livre, a dit Montaigne. Quelle idée vous faites-vous de la personnalité de l'auteur des Essais, non seulement d'après ses confidences directes, mais encore d'après la composition de son oeuvre et la qualité originale de son style ?
INTRODUCTION «Les Essais, écrivait Gustave Lanson, c'est Montaigne», et de fait peu d'œuvres littéraires nous entretiennent aussi complai-samment de leur auteur. Il ne nous laisse autant dire rien ignorer de son aspect physique, de ses habitudes de vie, de son caractère. D'ailleurs, même s'il s'était montré avare de confidences sur lui-même, la manière dont il a composé son ouvrage et la qualité originale de son style suffiraient presque à nous renseigner sur ce qu'il est. Sa personnalité vigou...
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Herman Melville
Herman Melville Au temps où les baleiniers de Nantucket restaient plusieurs années le jeune Melville (vingt-deux ans) s'embarque sur l'un d'eux, puis sur un navire de guerre, et court les océans. Revenu en Amérique, il fait lire ses récits de voyage avec un certain succès et publie ses grands livres dans l'indifférence et l'incompréhension. Après la publication et l'échec d e L'Homme de Confiance (1857), Melville, découragé, "consent à l'annihilation". Devenu fonctionnaire des douanes et père d...
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Analyse Saint Simon, Mémoires, livre V
Analyse Saint Simon, Mémoires, livre v Information sur l’auteur: Résumé et thématique principales: Analyse: Le texte est un extrait des « Mémoires » de l'écrivain français Saint Simon. Ce mémoire est une source historique importante qui met en lumière la vie à la cour de Louis XIV et les événements politiques de la France du XVIIe siècle. Saint Simon, lui-même aristocrate, passa une grande partie de sa vie à la cour royale. Ses mémoires sont non seulement significatives sur le plan his...
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Agrippa D'Aubigné
A grippa D'A ubigné A partir de 1668, la vie de ce huguenot est liée à celle d'Henri de Navarre. En 1572, il échappe de peu à la Saint-Barthélemy. P ourtant, il revient à la cour, à peine un an plus tard. En effet, il est l'écuyer d'Henri. P endant des années, il est de tous les combats et, chaque fois, que ce soit à Jarnac, en 1569, à C outras, en 1587, ou à Ivry, en 1590, sa bravoure est remarquée. En dépit de sa fidélité à Henri de Navarre, intransigeant, il n'admet pas la moindre compromiss...
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Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Télérama qu'en tant que critique il était « gavé de confidences autobiographiques dont il n'avait que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d'oeuvres et de fragments d'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique.
Le journaliste P. Lepape écrivait en 1982 dans Télérama qu\'en tant que critique il était « gavé de confidences autobiographiques dont il n\'avait que faire », faisant ainsi allusion à la masse de livres de ce type lancés sur le marché depuis quelques années, et à leur qualité souvent médiocre. En évoquant de façon précise vos réactions de lecteur d\'oeuvres et de fragments d\'oeuvres autobiographiques, vous direz si vous partagez la sévérité du critique. Introduction Si l'on en croit le succès...
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Anthony Burgess
Anthony Burgess John Anthony Burgess naît en 1917 à Manchester, dans une famille catholique. Il étudie la littérature et la linguistique à l'Université de Manchester. Ses goûts le portent d'abord vers la musique ; il composera des oeuvres avec orchestration. Une petite symphonie a été créée à Strasbourg pour le bimillénaire de la ville, en 1989. Écrivain polyglotte, il a été enseignant en Angleterre, officier instructeur en Malaisie où il commence à écrire ses premiers livres. De 1956 à 1959, pa...
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PRINCIPALES OEUVRES DE LAMARTINE
PRINCIPALES OEUVRES DE LAMARTINE Méditations poétiques. Ce recueil, publié sans nom d'auteur le 5 mars 1820, comprenait seulement 24 poèmes (41 dans l'édition définitive). Le succès en fut éclatant. Bien que Lamartine mêle intentionnellement les inspirations et les époques, on peut distinguer dans les Méditations trois groupes de poèmes : 1. Ceux qui furent écrits avant la rencontre de Julie (L'Adieu, Le Golfe de Baki). La joie de vivre et d'aimer et la mélancolie préromantique s'y fondent harmo...
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AL Arrias de La Bruyère, Les Caractères, livre V, 1696.
Arrias a tout lu, a tout vu, il veut le persuader ainsi ; c'est un homme universel, et il se donne pour tel : il aime mieux mentir que de se taire ou de paraître ignorer quelque chose. On parle à la table d'un grand d'une cour du Nord : il prend la parole, et l'ôte à ceux qui allaient dire ce qu'ils en savent ; il s'oriente dans cette région lointaine comme s'il en était originaire ; il discourt des mœurs de cette cour, des femmes du pays, de ses lois et de ses coutumes ; il récite des hist...
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LE PORTRAIT D’ARRIAS LIVRE V « DE LA SOCIETE ET DE LA CONVERSATION », 9
TEXTE 1 : LE PORTRAIT D’ARRIAS LIVRE V « DE LA SOCIÉTÉ ET DE LA CONVERSATION », 9 INTRODUCTION Accroche « Les apparences sont souvent trompeuses », et c’est précisément ce que La Bruyère illustre dans Les Caractères. En 1688, Jean de La Bruyère publie anonymement Les Caractères de Théophraste, traduits du grec, avec les Caractères ou les Mœurs de ce siècle. Cet ouvrage s’inscrit dans une démarche d’imitation des Anciens. La Bruyère y mêle réflexions morales, maximes et portraits, genres t...
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William Blake
William Blake Fils d'un bonnetier londonien, William Blake, sensibilisé à la littérature par sa mère, révéla très jeune sa vocation artistique. Initié au dessin, il entra en apprentissage chez un graveur médiocre, avant d'intégrer l'Académie royale. Déçu et bientôt hostile à l'institution, il la quitta pour vivre de ses gravures d'édition et de ses aquarelles. En 1782 il épousa une jeune femme presque illettrée qu'il initia à sa profession. A cette même époque, il commença à fréquenter un cercl...
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Anatole FRANCE
Anatole France évolue du scepticisme aimable au socialisme militant; mais il redoute les effets de la passion politique et demeure un apôtre de la tolérance. 1 La carrière d'Anatole France L'HUMANISTE DILETTANTE (1844-1897) Anatole Thibault, qui devait prendre le pseudonyme d'Anatole France, est né à Paris; son père, libraire quai Malaquais, lui donne de très bonne heure le goût des beaux livres et des belles lettres. Il a évoqué, notamment dans Le Livre de mon Ami (1885), les principaux épisode...
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André Maurois
André Maurois Printemps 1918. La guerre dure, et les Allemands, en un dernier sursaut, tentent de s'emparer d'Amiens. C'est alors que parait, chez Bernard Grasset, le premier livre d'un inconnu, un livre tout scintillant d'humour : les Silences du Colonel Bramble. D'un coup, son auteur est célèbre ; des écrivains aussi différents qu'Anatole France et Kipling lui adressent des félicitations, et on ne tarde pas à découvrir, sous le pseudonyme d'André Maurois, un jeune officier-interprète auprès d...
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Sujet : Dans le premier livre des Essais, Michel de Montaigne explique, que, pour se former, il faut « frotter et limer notre cervelle contre celle d’autrui ». En quoi peut-on dire que l’humanisme, à la Renaissance, se caractérise par une ouverture à l’autre, une interrogation sur l’autre ?
Dissertation, les Essais, Montaigne Sujet : Dans le premier livre des Essais, Michel de Montaigne explique, que, pour se former, il faut « frotter et limer notre cervelle contre celle d’autrui ». En quoi peuton dire que l’humanisme, à la Renaissance, se caractérise par une ouverture à l’autre, une interrogation sur l’autre ? L’homme sous tous ses angles est au centre de la réflexion des humanistes. Ces derniers s’intéressent alors à la formation de l’individu d’où leur soif de connaissance...
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« J'aime lire comme lit une concierge : m'identifier à l'auteur et au livre. Toute autre attitude me fait penser au dépeceur de cadavres », écrit Cioran dans De l'inconvénient d'être né (1988). Vous commenterez cette réflexion en vous appuyant sur des exemples tirés de votre propre expérience de la lecture ?
« J'aime lire comme lit une concierge : m'identifier à l'auteur et au livre. Toute autre attitude me fait penser au dépeceur de cadavres », écrit Cioran dans De l'inconvénient d'être né (1988). Vous commenterez cette réflexion en vous appuyant sur des exemples tirés de votre propre expérience de la lecture. I Lecture récréative ou lecture savante _ En se réclamant de l'attitude de la « concierge », Emil Cioran cède à l'une de ses habitudes d'écriture les plus caractéristiques, qui consiste à dé...
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Au moment où vous commencez à vous orientez vers un spécialisation littéraire, vous réfléchirez au conseil que donnait Voltaire: Je vous invite à ne lire que des ouvrages depuis longtemps en possession des suffrages du public et dont la réputation n'est point équivoque. Il y en a peu, mais on profite bien davantage en les lisant qu'avec tous les mauvais petits livres dont nous sommes inondés ?
Position et portée du sujet : Un conseil de Voltaire sur la lecture considérée comme un moyen de culture : il y insiste sur la nécessité de ne s'adresser qu'aux grands auteurs du passé, dont la solide valeur est établie depuis longtemps, et de négliger « les mauvais petits livres » qui nous inondent chaque jour. I. Les circonstances » du conseil. 1. Le correspondant : une adolescente, qui se pique d'écrire des vers et dont il s'agit d e former le goût, ce qui suppose le choix de certains modèles...
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Résumé:Mémoires d'Hadrien de MARGUERITE YOURCENAR
Mémoires d'Hadrien de MARGUERITE YOURCENAR Née en 1903 à Bruxelles, Marguerite de Crayencour s'installe en France après 14-18 avec son père, latiniste éminent. A dix-huit ans, auteur d'un livre sur Pindare, elle lit couramment le grec et le latin. Elle voyage, puis s'établit aux États-Unis en 1939. Son tempérament solitaire et sauvage lui fait choisir l'île des Monts-Déserts où elle mène, entre ses chiens et ses livres, une vie proche de la nature, occupée à pétrir son pain et à couper du bois,...
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D'après les pages de Rabelais que vous connaissez, essayez de dégager les différentes formes du comique rabelaisien.
D'après les pages de Rabelais que vous connaissez, essayez de dégager les différentes formes du comique rabelaisien. Introduction : Dans le Prologue du Gargantua, Rabelais incite son lecteur à « rompre l'os et sucer la substantifique moelle ». Cette allusion au sens caché, ou tout au moins sérieux, de sa vaste épopée ne peut faire oublier la devise de « Maistre Alcofribas Nasier » : Mieux est de ris que de larmes écrire Pour ce que rire est le propre de l'homme. En effet, bien que toutes les for...
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« Le temps use les oeuvres littéraires, les chefs-d'oeuvre même, quoi qu'on en dise ». Que pensez-vous de cette affirmation de Montherlant ?
« Le temps use les oeuvres littéraires, les chefs-d\'oeuvre même, quoi qu\'on en dise ». Que pensez-vous de cette affirmation de Montherlant ? I. Le vieillissement des oeuvres Les chefs-d'oeuvre du passé ne sont pas bons pour nous. Un critique contemporain (Bac 1982) : « Les personnages que nous présentent les pièces « classiques » appartiennent à des groupes sociaux qui, pour la plupart, ont depuis longtemps quitté la scène de l'Histoire. Les valeurs qui règlent la conduite de ces personnages,...
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Pourquoi écrire et pour qui ?
Pourquoi écrire et pour qui ? I. Pour exprimer son moi et la condition humaine. Montaigne : « Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre » mais « chaque homme porte la forme de l'humaine condition. » (Essais). Lamartine : « Ce n'était pas un art, c'était le soulagement de mon coeur. » (A propos des Méditations). Chateaubriand : « On ne peint bien que son propre coeur en l'attribuant à un autre, et la meilleure partie du génie se compose de souvenirs. » F. Mauriac : « Écrire, c'est...