476 résultats pour "émilie"
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Que tes yeux clairs, tes yeux d'été
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les ailes rouges de la guerre) - A la Belgique
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Rêve fantasque
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui de l'horizon
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Un toit, là-bas
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - A la gloire des cieux
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Le passeur d'eau
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - La vie ardente
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Les meules qui brûlent
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les vignes de ma muraille) - L'éternelle lueur
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - La vieille demoiselle
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - Vers le futur
- Émile GOUDEAU (1849-1906) (Recueil : Fleurs du bitume) - La ronde du remords
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les ailes rouges de la guerre) - Ceux de Liége
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - La bénédiction de la mer
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Au passant d'un soir
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui de la fatigue
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - La plaine (I)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - Vers la mer
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les blés mouvants) - Le chant de l'eau
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les ailes rouges de la guerre) - Au Reichstag
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - La dame en noir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - A la gloire du vent
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - Autour de ma maison
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui du rien
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Mon ami, le paysage
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - L'âme de la ville
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Combien elle est facilement ravie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Le printemps jeune et bénévole
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Chaque heure, où je songe à ta bonté
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Chanson de fou (2)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Quoique nous le voyions fleurir
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Pour que rien de nous deux n'échappe à notre étreinte
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Ô la splendeur de notre joie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Vivons, dans notre amour et notre ardeur
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Silvio Corelli pleure
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - La Sorella dell' amore
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Devant deux portraits de ma mère
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Rêve d'une nuit d'hôpital
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Oh ! tes si douces mains...
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- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Nocturne - (A Denys Lanctôt)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Sois-nous propice et consolante encor...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Hélas ! les temps sont loin...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Chanson de fou (1)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Je t'apporte, ce soir...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - L'immobile beauté
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Au temps où longuement j'avais souffert
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Sitôt que nos bouches se touchent
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- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Je sais là-bas une vierge rose
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Je dédie à tes pleurs, à ton sourire