296 résultats pour "1842"
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José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Le coureur
José-Maria de HEREDIA, Les Trophées, « Le coureur ». 1. Tel que Delphes l'a vu quand, Thymos le suivant, 2. Il volait par le stade aux clameurs de la foule, 3. Tel Ladas court encor sur le socle qu'il foule 4. D'un pied de bronze, svelte et plus vif que le vent. 5. Le bras tendu, l'oeil fixe et le torse en avant, 6. Une sueur d'airain à son front perle et coule ; 7. On dirait que l'athlète a jailli hors du moule, 8. Tandis que le sculpteur le fondait, tout vivant. 9. Il palpite, il frémit d'esp...
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José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - La Trebbia
Sujet: José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - La Trebbia L'aube d'un jour sinistre a blanchi les hauteurs. Le camp s'éveille. En bas roule et gronde le fleuve Où l'escadron léger des Numides s'abreuve. Partout sonne l'appel clair des buccinateurs. Car malgré Scipion, les augures menteurs, La Trebbia débordée, et qu'il vente et qu'il pleuve, Sempronius Consul, fier de sa gloire neuve, A fait lever la hache et marcher les licteurs. Rougissant le ciel noir de flamboiements lug...
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José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Sur le Livre des Amours de Pierre de Ronsard
Sujet: José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Sur le Livre des Amours de Pierre de Ronsard Jadis plus d'un amant, aux jardins de Bourgueil, A gravé plus d'un nom dans l'écorce qu'il ouvre, Et plus d'un coeur, sous l'or des hauts plafonds du Louvre, A l'éclair d'un sourire a tressailli d'orgueil. Qu'importe ? Rien n'a dit leur ivresse ou leur deuil. Ils gisent tout entiers entre quatre ais de rouvre Et nul n'a disputé, sous l'herbe qui les couvre, Leur inerte poussière à l'o...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Billet
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Salut
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Sainte
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Soupir
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Tristesse d'été
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- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Hommage
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Stéphane MALLARME (1842-1898) - Angoisse
Introduction : La vie de Stéphane Mallarmé présente peut d’incidents notables. Consacrée toute entière à la poésie, elle se résume dans le drame secret du poète en proie aux affres de la création, dans les étapes de son œuvre, dans l’évolution de son idéal et de sa technique. Mallarmé est généralement associé au grand bouleversement de la poésie : le désir d’impersonnalité, la « disparition élocutoire du poète » derrière son œuvre, c’est-à-dire le rêve d’une œuvre qui s’imposerait seule qui se d...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Le sonneur
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - La négresse
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Une négresse
- Charles CROS (1842-1888) - Dans la clairière
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Renouveau
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Stéphane MALLARME (1842-1898) - Apparition
L'origine et la date de ce poème sont obscures. Mallarmé ne le publie pas dans Le Parnasse contemporain de 1866. Ce n'est qu'en 1883 qu'il le confie à Verlaine pour ses Poètes Maudits (avril 1884). En 1887, dans La Revue Indépendante, il le place entre le "Le Guignon" et "Placet futile" (de 1862). Victor Hugo appelait Mallarmé "mon cher poète impressionniste". Sa manière est en effet celle des peintres impressionnistes : au lieu de décrire les objets, il exprime l'impression ressentie devant...
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- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Les fleurs
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Aumône
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Prose
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - L'azur
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Les fenêtres
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Le guignon
- Edouard TAVAN (1842-1919) - Ce dôme constellé...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - M'introduire dans ton histoire
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- Stéphane MALLARME (1842-1898) - A la nue accablante ...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Feuillet d'album
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - La chevelure vol...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Mes bouquins refermés ...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Placet futile
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Don du poème
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Stéphane MALLARME (1842-1898) - Victorieusement fui ...
Introduction : 1887 Ce sonnet, publié en recueil en 1887, fut envoyé par Mallarmé à Paul Verlaine à la fin de 1885 pour être incorporé à la notice consacrée par lui à Mallarmé dans la série des Hommes d'aujourd'hui que publiait alors l'éditeur Léon Vannier. L’inspiratrice de ce poème est Méry Laurent, une actrice très belle qui était sa voisine rue de Rome est de qui il s’est épris. Projet de lecture : Comment, dans ce poème, la dimension esthétique ouvre sur une évocation lyrique et sensuelle....
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Le pitre châtié
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- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Ses purs ongles très-haut ...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Quand l'ombre menaça ...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Petit air
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Stéphane MALLARME (1842-1898) - Brise marine
Début.—· Stéphane Mallarmé est considéré comme l'un des maîtres du symbolisme. Plus que Verlaine encore, il dota la nouvelle école : 1° d'idées très nouvelles, 2° d'œuvres lentement élaborées avec un art patient et raffiné qui ont influé puissamment sur la poésie de son époque et plus encore sur celle des débuts du XXe siècle. Dans les œuvres de sa première manière, Mallarmé subit encore l'influence parnassienne : ces vers parurent dans le Parnasse contemporain, que venait de fonder Catulle Mend...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Chansons bas
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Las de l'amer...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Toast funèbre
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : L'exilée) - Epitaphe
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- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Petit air (guerrier)
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Eventail de Madame Mallarmé
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : L'exilée) - En automne
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - La marchande d'herbes aromatiques
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Tout orgueil fume-t-il du soir,
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Surgi de la croupe et du bond
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Quelle soie aux baumes de temps
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : L'exilée) - Romance
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- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Au seul souci de voyager ...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Une dentelle s'abolit ...