18 résultats pour "entende"
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Ce qu'on entend sur la montagne
- Antoine de NERVÈZE (1570-1622) - J'entends la triste Philomèle
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Entends comme brame
- Jacques PELLETIER DU MANS (1517-1582) - Qui d'un poëte entend suivre la trace
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - De la rue on entend sa plaintive chanson
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Que ferai-je, Morel ? Dis-moi, si tu l'entends
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vers françois) - Maint homme qui m'entend, lors qu'ainsi je la vante
- On divise habituellement la production littéraire en genres. Expliquez ce que l'on entend par là. Discutez et appréciez cette division ?
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir
- Victor Hugo (1802-1885), « Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures (1837).
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Les complaintes) - Complainte des pianos qu'on entend dans les quartiers aisés
- Sapere aude, aie le courage de te servir de ton propre entendement , telle est la devise des limiere, écrit le philosophe allemend Emmanuel Kant. Cette formule vous semble-t-elle caractériser avec justesse le message des écrivains du siécle des lumières et de leurs précurseurs ?
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Fêtes galantes) - Colloque sentimental
Ce mélancolique et vaporeux poème est une des pièces des Fêtes galantes. Le « saturnien'" » VERLAINE — ainsi se qualifiait-il —, qui a toujours, pense-t-il, dans sa vie : « bonne part de malheur et bonne part de bile », a d'abord fréquenté le Parnasse, et son premier recueil Poèmes saturniens en porte en partie la marque. Mais bientôt il se sent emporté « de çà de là », et bien loin de la facture sculpturale d'un LECONTE DE LISLE, c'est vers la musicalité t que son inspiration glisse « brume...
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Saint Paul
Saint Paul "Paul apôtre, non pas des hommes ni par l'intermédiaire d'un homme, mais par Jésus-Christ..." Celui qui se présente ainsi est sans doute l'un des douze choisis par Jésus-Christ pour être témoins de sa mort et de sa résurrection ? Non ; Paul avertit sans fard : "J'ai persécuté l'Église de Dieu." Qu'il se soit trouvé à Jérusalem en même temps que Jésus, c'est pure conjecture, car il n'en dit rien ; si son regard a rencontré le Christ, ce fut un regard d'indifférence, plutôt d'hostilité...
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Premiers poèmes) - Les trois chansons
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« Nommer un objet, c'est supprimer les trois quarts de la jouissance du poème qui est faite de deviner peu à peu : le suggérer, voilà le rêve... Il doit y avoir toujours énigme en poésie et c'est le but de la littérature ». Commentez et discutez ces propos sur la poésie de Mallarmé ?
Poète moderne, Mallarmé a médité sur le langage poétique qui selon lui est spécifique. La poésie doit recréer le langage, et le poète doit selon ses termes « rendre plus purs les mots de la tribu ». Mais, la conception de Mallarmé, en ce qu'elle n'envisage la poésie que dans sa fonction suggestive, ne restreintelle pas la multiplicité des formes et des fonctions que la poésie peut avoir ? I Le 19 ème siècle et la révolution poétique : 1) Mettre un terme à la fonction descriptive de la poésie :...
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LETTRE CXXV. USBEK A RHEDI. MONTESQUIEU
INTRODUCTION Le Persan qui est censé écrire cette lettre n'a pas perdu son temps en visitant notre pays. C ette ordonnance burlesque est un bon morceau de polémique à la française, cachant un raisonnement précis sous la fantaisie et le badinage. I. IDÉES SÉRIEUSES Les deux développements contrastés qui la composent sont conduits par une même intention, qui n'est nulle part explicitée : la protestation contre la politique, inaugurée par Louis XIV , qui fait de l'éclat de la cour un moyen de gouve...
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...