22 résultats pour "hautement"
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - J'aime si hautement que je n'ose nommer
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Mon ami, le paysage
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - L'orgueil
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Syrtes) - Hautes sierras aux gorges nues
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Le lierre
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Un rose mauve dans les hautes herbes
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Le Babylonien ses hauts murs vantera
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Chanson de la plus haute tour
-
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - Quand le désir de ma haute pensée
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - Haute beauté dans une humble pucelle
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Et maintenant que sont tombés les hauts feuillages
- Jean Edouard DU MONIN (1557-1586) (Recueil : Amours de Rondelette) - Traitres yeux mis au guet de ma haute eschauguette
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Les morts
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - La chance
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - La vie ardente
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Au passant d'un soir
-
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - L'Est, l'Ouest, le Sud, le Nord
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Le premier arbre de l'allée
-
Alexandre Vialatte, Dernières nouvelles de l'homme, Julliard, 1978.
L'automne s'obstine au flanc des coteaux. Du maïs, des oiseaux s'envolent. Des feux s'allument dans les jardins. Il en monte de hautes fumées. L'air sent le céleri, les fanes de pommes de terre. La ampagne est calme et muette. On voit au loin, contre le ciel ... Un escalier, çà et là, ne mène à rien. D'une maison basse, il n'est resté que le perron, avec sa rampe en fer forgé. Une haute pour voûtée porte une date inscrite dans la pierre ; elle s'ouvre sur une cour sans murs et tout envahie par l...
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - Le hareng saur
-
Si je me suis mis au roman, c'est parce que j'avais rencontré dans cet apprentissage nombres de difficultés et de contradictions, et qu'en lisant divers grands romanciers, j'avais eu l'impression qu'il y avait là une charge poétique prodigieuse, donc que le roman, dans ses formes les plus hautes, pouvait être un moyen de résoudre, dépasser ces difficultés, qu'il était capable de recueillir tout l'héritage de l'ancienne poésie. (M. Butor).Quelles réflexions vous inspire ce témoignage ?
Analyse du sujet et problématisation : Cette dissertation invite à comparer les genres littéraires que sont le roman et la poésie. La citation, extraite du chapitre « Le roman et la poésie » de Répertoire II de Michel Butor, concerne une réflexion personnelle de l'écrivain à partir de sa propre expérience de l'écriture et aussi de la lecture ("apprentissage", "divers grands romanciers").L'écriture romanesque est présenté comme très complexe et difficile, ambiguë, si bien que l'écrivain en conclu...
-
MONTAIGNE - Essais - Livre III, 2.
Introduction Comme tous les grands Essais de MONTAIGNE, l'essai «Du repentir » (III, 2) contient certains développements dont le rapport avec le titre échappe. Cependant, sous la plupart de ces digressions, le moi de l'écrivain est devenu, dans ce livre III, beaucoup plus présent. On sait, par exemple, que MONTAIGNE n'a écrit « Du repentir » (vers 1584-1586) qu'après avoir été haut magistrat, diplomate et maire de Bordeaux. Retiré au château de Montaigne, il nous découvre, dans une page de cet e...