120 résultats pour "james"
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Henry James
Henry James En 1793, William James, un Irlandais du Nord de souche protestante, émigrait aux États-Unis. Y faisant commerce de tabac, sel et terrains, il fit fortune au point qu'à sa mort sa famille, dont l'avoir se montait à trois millions de dollars, était parmi les trois plus riches de l'État de New York. Son quatrième fils, Henry James, refuse de s'occuper des affaires paternelles et se mit à étudier la théologie et la philosophie. S'accommodant mal du matérialisme américain, il voyagea bea...
- Pensez-vous comme Saint-John Perse dans sa Lettre à un ami : Ce que je crois, [c'est] que la sincérité, en art, n'a jamais droit à l'immédiat ; qu'elle ne peut affluer qu'involontaire, par transparence, ou même négativement ; que l' « essentiel », là, ne peut jamais, sans ruser, devenir à lui-même l'objet. L'essentiel ne se dit pas, et bien plus, n'a jamais désiré se dire.
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ne lira-t-on jamais que ce dieu rigoureux
- James Boswell
- Jean MAROT (1463-1526) - A tout jamais, d'un amour immuable
- Catherine d' AMBOISE (x-1550) - Chant royal de la plus belle qui jamais fut au monde
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Jamais
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Rondeaux) - En verrai ge jamais la fin
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- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Rondeau : Fut-il jamais douceur de coeur pareille
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Contr'amours) - Je meure si jamais j'adore plus tes yeux
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je ne commis jamais fraude ni maléfice
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je n'ai jamais pensé que cette voûte ronde
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Plût-il à Dieu n'avoir jamais tâté
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vers françois) - Je ne croiray jamais que de Venus sortisse
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Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si on ne devait jamais mourir (Vauvenargues) ?
Pour exécuter de grandes choses, il faut vivre comme si on ne devait jamais mourir. (VAUVENARGUES.) Vauvenargues avait l'âme noble et héroïque, il se sentait fait pour les « grandes choses. « Les premiers feux de l'aurore ne sont pas plus doux que les premiers regards de la gloire. » Sa mauvaise santé ne lui permit pas de remplir sa destinée. Il dut quitter l'armée et se réfugier dans l'étude et la méditation. Mais il renonça à Faction, non à la gloire; il conserva le désir de se surpasser e...
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Jamais homme n'a mieux représenté cinquante ou soixante ans d'histoire. Que pensez-vous de ce jugement de Brunetière sur Voltaire ?
INTRODUCTION Né à la charnière du xviie et du xviiie siècle, à l'aube de l'esprit philosophique, Voltaire allait vivre les grandes années où devait s'élaborer la France moderne, ces moments de « crise de conscience » qui aboutiront, après lui, à la Révolution. Il est homme du xviiie siècle par son tempérament et surtout par ses préoccupations qui coïncident exactement avec celles de ses contemporains, par cette littérature de combat et de propagande dans laquelle il s'est engagé et qui a tant co...
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Écrivez un apologue en prose ayant pour morale la phrase de Cioran : La misère n'est pas un état transitoire : elle coïncide avec la certitude que, quoi qu'il arrive, vous n'aurez jamais rien, que vous êtes né en deçà du circuit des biens, que vous devez combattre pour respirer, qu'il faut conquérir jusqu'à l'air, jusqu'à l'espoir, jusqu'au sommeil. ?
Écrivez un apologue en prose ayant pour morale la phrase de Cioran : La misère n'est pas un état transitoire : elle coïncide avec la certitude que, quoi qu'il arrive, vous n'aurez jamais rien, que vous êtes né en deçà du circuit des biens, que vous devez combattre pour respirer, qu'il faut conquérir jusqu'à l'air, jusqu'à l'espoir, jusqu'au sommeil. Examen du sujet Le sujet est un sujet d'invention, combinant une contrainte formelle avec une contrainte thématique. La contrainte formelle est la...
- François de MALHERBE (1555-1628) - Est-ce à jamais, folle espérance ...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Je suis plus pauvre que jamais
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die
- Jean-Baptiste CHASSIGNET (1571-1635) - Le temps ne bouge point et jamais ne repose
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - La hache ? Non. Jamais...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Garde à jamais dans ta mémoire
- Jean Ogier de GOMBAULD (1588-1666) (Recueil : Sonnets de Carite) - Carite pour jamais a quitté ces fontaines
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ores, plus que jamais, me plaît d'aimer la Muse
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vers françois) - Ô qui a jamais veu une barquette telle
- Pierre de CROIX (1539-1614) (Recueil : Le Miroir de l'Amour divin) - Sequestré pour jamais et du monde et de moy
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe !
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - J'ai cru à tout jamais notre joie engourdie
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - J'estois prest d'encourir pour jamais quelque blasme
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Louis Aragon (1897-1982) : Maintenant que la jeunesse
Indications: Analysez le texte de Louis Aragon, "maintenant que la jeunesse" en répond à une de ces deux questions: Quel regard le poète porte-t'il sur lui même? OU Dégagez l'image de la jeunesse a partir de ce poème. voici le texte: Louis Aragon (1897-1982) Maintenant que la jeunesse s'éteint au carreau bleui maintenant que la jeunesse machinale m'a trahi maintenant que la jeunesse tu t'en souviens, souviens-t-en maintenant que la jeunesse chante à d'autres le printemps maintenant que la jeune...
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James Joyce
James Joyce Frank Budgen rapporte que Joyce portait d'ordinaire dans sa poche de gilet de petits blocs-notes sur lesquels, seul ou au milieu d'une conversation, il jetait occasionnellement un mot ou deux. Mais, l'ayant un jour trouvé qui, au terme d'une longue journée de travail n'avait écrit que deux phrases, le futur historiographe, dans une réminiscence flaubertienne, lui demanda s'il avait en vain cherché le mot juste. "Non, répondit Joyce, j'ai déjà les mots. Ce que je cherche, c'est l'ordr...
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Jean Giraudoux, Electre, entracte : Lamento du Jardinier (1938)
Jean Giraudoux, Electre, entracte : Lamento du Jardinier (1938) [Egisthe a épousé la reine Clytemnestre, veuve du roi Agamemnon, et a pris le pouvoir. Redoutant qu'Electre, fille d'Agamemnon et de Clytemnestre, ne se révolte si elle parvenait au pouvoir, il l'a promise au jardinier. Mais un étranger, qui n'est autre qu'Oreste, fils d'Agamemnon et de Clytemnestre et frère d'Electre, fait annuler ce mariage. Le jardiner se retrouve seul, et occupe la scène pendant l'entracte séparant les deux acte...
- Dahlia Noir (le) de James Ellroy
- Commentez ce propos de Balzac : les écrivains n'inventent jamais rien ?
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
- J-M. G. LE CLÉZIO, Celui qui n'avait jamais vu la mer, 1978
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LE CLÉZIO, La Guerre
«C'était ainsi : gigantesques blocs de ciment debout sur la terre, appuyant leurs milliers de tonnes, kilomètres de voies ferrées et de routes, forêts de pylônes et de poteaux télégraphiques, lacs, cubes de verre, plages de .nickel, plaines de tôle ondulée. Jamais aucun paysage au monde n'avait été si vaste, si profond. Il n'y avait jamais eu de montagnes si hautes, ni de canyons1 plus vertigineux. Jamais tant de fer et de pierres, tant de matières transparentes ou opaques. Toute la violence de...
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NERVAL: poète, romancier et critique
L'ILLUMINÉ Il a été, dès sa jeunesse, anormalement sensible au charme du rêve. Mais c'est à partir de sa passion malheureuse pour Jenny Colon que commence vraiment pour lui « l'épanchement du songe dans la vie réelle ». Dès lors, il cherche partout des signes de l'au-delà, dans sa propre imagination, dans les cultes ésotériques, dans les légendes orientales, dans un catholicisme librement interprété. Par moments, il se croit tout près d'atteindre l'inconnaissable. Il est persuadé d'avoir travers...
- Discutez cette réflexion de Sainte-Beuve: "La littérature ne me paraît jamais avoir plus de saveur que quand elle vient de quelqu'un qui ne se doute pas qu'il fait de la littérature" ?
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Hafiz de Chiraz
Hafiz de Chiraz Si passionnées que soient entre Persans, les controverses sur les choses de la littérature, il est un point, tout au moins, sur lequel tous tombent d'accord, à savoir que Hafiz est le plus grand poète que leur poétique patrie ait jamais vu naître. Mirza Muhammad de Qazvin, critique austère et très révéré, a, plus tard, parfaitement exprimé l'opinion de ses concitoyens, lorsque, invité à proposer un candidat persan pour une place dans un hypothétique Panthéon des plus grands poèt...
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Voltaire, Candide, chapitre 18. CE QU'ILS VIRENT DANS LE PAYS D'ELDORADO
Voltaire, Candide, chapitre XVIII, Ce qu'ils virent dans le pays d'Eldorado [1]. Après cette longue conversation, le bon vieillard fit atteler un carrosse à six moutons, et donna douze de ses domestiques aux deux voyageurs pour les conduire à la cour. Excusez-moi, leur dit-il, si mon âge me prive de l'honneur de vous accompagner. Le roi vous recevra d'une manière dont vous ne serez pas mécontents, et vous pardonnerez sans doute aux usages du pays, s'il y en a quelques uns qui vous déplaisent. Ca...
- Commenter cette phrase de Rousseau, en tête des Confessions: Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et qui n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature et cet homme ce sera moi ?
- Dans le préambule des Confessions, Rousseau écrit : « et même s'il m'est arrivé d'employer quelque ornement indifférent, ce n'a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire ». Peut-on justifier et apprécier cette pratique dans le cadre de l'autobiographie ou de la biographie ?
- Dans Nouvel art de penser, J. Guitton donne ces conseils : « Ne lis jamais une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand tireur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer ». Commentez et discutez ?
- « Atala n'est jamais un "roman psychologique" [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Discutez ce propos ?
- « Atala n'est jamais un roman psychologique [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Commentez ce propos.
- « Atala n'est jamais un roman psychologique [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Commentez ces propos sur l'oeuvre de Chateaubriand ?
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- Payne dit à propos de Malraux : « Les légendes ont tellement obscurci son image que nous risquons fort de ne jamais le voir comme il est. » Ces propos vous paraissent-ils généralisables à l'écriture biographique dans ses différentes formes ? Vous développerez votre point de vue en prenant appui sur les textes du corpus, les objets d'étude, les oeuvres étudiées dans l'année et vos lectures personnelles ?
- Robert Payne dit à propos de Malraux : « Les légendes ont tellement obscurci son image que nous risquons fort de ne jamais le voir comme il est. » Ces propos vous paraissent-ils généralisables à l'écriture biographique dans ses différentes formes ? Vous développerez votre point de vue en prenant appui sur les textes du corpus, les objets d'étude, les oeuvres étudiées dans l'année et vos lectures personnelles ?