31 résultats pour "joie"
- Jean Giono, Que ma joie demeure (1934).
- Le vicomte de BLOSSEVILLE (x-1480) - J'en ai le deuil, et vous la joie
- Jean GIONO, Que ma joie demeure, 1934. De « A la ferme des Jourdan… » « … sur l'autre bord la vague bouge. »
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Ô la splendeur de notre joie
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Eté des vieilles joies
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - La joie
- Imagination : joie ou tourment ?
- Antoine de LA SABLIERE (1624-1679) - Je sais que ma joie est prochaine
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- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les épreuves) - Joies sans causes
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Saison fidèle aux coeurs qu'importune la joie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - J'ai cru à tout jamais notre joie engourdie
- Giono, QUE MA JOIE DEMEURE
- Les fêtes sont représentées comme des moments de communion et de joie qui permettent de supporter et d'accepter la vie quoitidienne ?
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Joies grises) - Epitaphe pour lui-même
- Théodore HANNON (1851-1916) (Recueil : Rimes de joie) - Chinoiserie
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Joies du soir
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Joies grises) - Le lait des chats
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Faites l'éloge du métier de comédien ?
Faites l'éloge du métier de comédien. Introduction : a et b) La carrière de comédien attire particulièrement les jeunes gens. c) C'est, en effet, une des carrières les plus difficiles, mais aussi les plus exaltantes. I. — Les difficultés : A. — C'est une carrière harassante et pénible : a) Il faut passer de longues heures à apprendre et à répéter des rôles, et même plusieurs rôles, pour remplacer au pied levé un défaillant. b) Aujourd'hui, certaines pièces à succès sur les Boulevards sont jouées...
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Joies grises) - Mélodie païenne
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Joies grises) - Le rosaire des cloches
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Joies grises) - La chanson de la bien-aimée
- François VILLON (1431-x) (Recueil : Le testament) - Ballade de la belle Heaumière aux filles de joie
- Dans Études sur le temps humain, Georges Poulet rend compte de ce qu'il appelle « la mesure de l'instant parfait chez Casanova » en la définissant comme « un moment de nouveauté pure, où rien ne compte, ni passé, ni avenir, où le présent se limite à la somme de joie goûtée à l'intérieur de ses limites. Moment que rien ne prépare, que rien non plus ne prolonge » ?
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Louise LABÉ: Je vis, je meurs...
Je vis, je meurs: je me brûle et me noie, J'ai chaud extrême en endurant froidure; La vie m'est et trop molle et trop dure, J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure, Mon bien s'en va, et à jamais il dure, Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, E...
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en v
- Dans le discours qu'il prononça en Suède lors de la remise de son prix Nobel, Albert Camus disait : « L'art n'est pas à mes yeux une réjouissance solitaire. Il est un moyen d'émouvoir le plus grand nombre d'hommes en leur offrant une image prilvilégiée des souffrances et des joies communes. » En l'appliquant au domaine de la littérature, vous direz quelles réflexions vous inspire cette formule, sans omettre de vous appuyer sur des exemples précis et variés.
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« Quand un homme n'a plus rien à construire, ou à détruire, il est très malheureux. » ?
Introduction « L'ennui naquit un jour de l'uniformité », cette uniformité dont nous avons au moins l'impression quand nous pensons ne plus rien avoir à désirer ou à craindre, à construire ou à détruire. Avant de voir comment on peut éviter cette « usure des jours », tentons de l'illustrer. I. — Explication par trois exemples. 1° Dans l'exercice de sa profession: Toute profession suppose la répétition d'un certain nombre de gestes (métier manuel) ou d'obligations (maîtresse de maison) ou d'occupa...
- Dans une chronique publiée dans Le Gaulois, Maupassant affirme que, pour qu'il puisse être touché par un roman, il faut que les personnages soient ses voisins, ses égaux, passent par les joies et les souffrances qu'il connaît. Les personnages de roman doivent-ils, pour toucher le lecteur, être ses voisins, ses égaux et passer par les joies et les souffrances qu'il connaît ?
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Jean Giraudoux, Electre, entracte : Lamento du Jardinier (1938)
Jean Giraudoux, Electre, entracte : Lamento du Jardinier (1938) [Egisthe a épousé la reine Clytemnestre, veuve du roi Agamemnon, et a pris le pouvoir. Redoutant qu'Electre, fille d'Agamemnon et de Clytemnestre, ne se révolte si elle parvenait au pouvoir, il l'a promise au jardinier. Mais un étranger, qui n'est autre qu'Oreste, fils d'Agamemnon et de Clytemnestre et frère d'Electre, fait annuler ce mariage. Le jardiner se retrouve seul, et occupe la scène pendant l'entracte séparant les deux acte...
- LE MEMORIAL DE PASCAL