24 résultats pour "leves"
-
Primo Levi
Primo Levi 1919-1987 Primo Levi est né le 31 juillet 1919 à Turin et mort le 11 avril 1987 dans la même maison. Une vie qui pourrait sembler être sans histoire, presque vide. Mais le 13 décembre 1943, alors qu'il est engagé dans la Résistance, avec le Partito d'Azione, il est arrêté. Il est aussitôt interné au camp de Fossoli. Le 20 février 1944 il est déporté. Chimiste, il est affecté au laboratoire de la Buna dans Auschwitz III, usine de caoutchouc de Monowitz. En janvier 45, parce qu'il est m...
- Marin Le Roy de GOMBERVILLE (1600-1674) (Recueil : Second livre des Delices de la Poesie françoise) - Olympe leves toy, desja l'aube est levée
-
Résumé de "Le Christ s'est arrêté à Eboli" de Carlo Levi
Le Christ s'est arrêté à Eboli de Carlo Levi En 1935, suite à ses activités anti-fascistes, Carlo Levi est exilé dans un village perdu d'Italie du Sud. A peine arrivé à Galliano, là où la route s'arrête définitivement, il est abordé par des paysans qui lui demandent de venir soigner un des leurs. En fait de médecine, Carlo Levi ne connaît que la théorie qu'il a mise en pratique durant peu de temps, avant de se consacrer à la peinture. Mais dans cette région perdue où les hommes sont considérés c...
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse
- Le soleil se lève aussi - Roman d'Ernest Hemingway
- Primo LEVI (1919-1987), Si c'est un homme, 1987.
- Anne de MARQUETS (1533-1588) - Lève-toi promptement, m'amour, ma toute belle
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le soleil levant
-
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Au point du jour, souvent en sursaut, je me lève
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - Metz moy au bord d'ou le soleil se lève
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le sacre de la femme - Ineffable lever...
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - Mets-moi dessus la mer d'où le soleil se lève
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Premières poésies) - Le lever
- Anatole LE BRAZ (1859-1926) (Recueil : Poèmes votifs) - Lever d'aube
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : L'Imitation de N.D la Lune) - Dialogue avant le lever de la lune
- Pensez-vous comme Lévi-Strauss que l'attitude de l'être humain « consiste à répudier purement et simplement les formes culturelles, morales, religieuses, sociales, esthétiques qui sont les plus éloignées de celles auxquelles nous nous identifions » ?
-
- D'après Lévi-Strauss, l'attitude de l'être humain « consiste à répudier purement et simplement les formes culturelles, morales, religieuses, sociales, esthétiques qui sont les plus éloignées de celles auxquelles nous nous identifions ». Qu'en pensez-vous ?
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en v
-
Faire un éloge paradoxal sur la paresse.
Faire un éloge paradoxal sur la paresse. Il s'agit donc de vanter un défaut. Voici quelques avantages que vous pourriez vanter : • En étant paresseux, on ne fait pas grand-chose => donc, on ne se fatigue pas (pas de courbature, pas de fatigue, pas de crampes, pas d'ampoules au pied…). • Chaque personne connaît l'envie de ne rien faire, de se laisser aller. Cf. Michaux « L'âme adore nager ». On pense à soi (on arrête de penser aux autres), on réfléchit sur sa vie… • On prend le temps de vivre : p...
-
Rousseau: On fait apprendre les fables de La Fontaine aux enfants. Il n'y en a pas un seul qui les entende. Quand ils les entendraient, ce serait encore pis, car la morale en est tellement mêlée et disproportionnée à leur âge, qu'elle les porterait au vice plus qu'à la vertu. qu'en pensez-vous ?
La morale de La Fontaine a été attaquée par Lamartine et par Rousseau. Le premier se réfère à ses souvenirs d'enfance : Ces histoires d'animaux... égoïstes, railleurs, avares, sans pitié, sans amitié, plus méchants que nous, me soulevaient le coeur. Les fables de La Fontaine sont plutôt la philosophie dure, froide et égoïste du vieillard, que la philosophie aimante, généreuse, naïve et bonne d'un enfant. Rousseau dans L'Émile fait un véritable réquisitoire, en prenant comme exemple le corbeau et...
-
Résumé de Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand
Rostand, Edmond (1868-1918) Dramaturge néoromantique français. Du droit à la littérature Se destinant à une carrière d'avocat, ce Marseillais "monte" à Paris pour y commencer des études de droit, mais ne s'intéresse bientôt plus qu'à la littérature. Ecrivant sans grand succès des drames poético-historiques pour Sarah Bernhardt, il ne connaît véritablement la gloire qu'en 1897 avec Cyrano de Bergerac. Une oeuvre pleine de panache Cette pièce lui vaut en effet l'estime du public parisien, lassé de...
-
Le roman a-t-il pour seul but de diverir ?
On entend ordinairement par « distraction » une étourderie de l'esprit, souvent synonyme d'une légèreté, d'une indifférence de la conscience aux problèmes concret qui lui sont posés. La tournure restrictive « ne que » dévalorise visiblement cette attitude, et interroge par extension le genre narratif lui-même. De plus, le recours au terme de « distraction » renvoie implicitement au concept de « divertissement » mis en place par Pascal, et achève de donner à la fonction ludique du genre narratif...
-
Jean Giono, Le Hussard sur le toit, ch. VI (1951)
Jean Giono, Le Hussard sur le toit, ch. VI (1951) Durant la grande épidémie de choléra qui sévit en Provence au milieu du XIXe siècle, le héros du Hussard sur le toit, Angélo, perché sur les toits de Manosque, assiste à une procession destinée à conjurer les forces du mal. Bien longtemps avant que le soleil se lève, une petite cloche se mit à sonner dans les collines. Il y avait de ce côté-là, sur une éminence couronnée de pins, un ermitage semblable à un osselet. La lumière encore relativement...
-
Georges Bernanos, Sous le soleil de Satan
M'aimes-tu ? » dit-elle tout à coup d'une voix où la plainte se faisait étrangement grave et dure. Puis elle ajouta aussitôt : Je te demande ça à cause d'une idée que j'ai dans la tête. Quelle idée ? M'aimes-tu ? » reprit-elle soudain de la même voix. En même temps, elle se levait, toute vibrante, ridiculement nue dans son manteau entrouvert, nue et menue, et dans les yeux ce même regard d'où l'orgueil était tombé. ... Réponds-moi ? dit-elle encore, réponds-moi vite ! Voyons... Germaine... Rien...