29 résultats pour "long"
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La Fontaine: Les longs ouvrages me font peur, Loin d'épuiser une matière, Il n'en faut prendre que la fleur. qu'en pensez-vous ?
La Fontaine: Les longs ouvrages me font peur, Loin d'épuiser une matière, Il n'en faut prendre que la fleur. Qu'en pensez-vous ? I. Aux ouvrages de longue haleine, il préfère les petits poèmes. 1. La fable est bien le genre qui lui convenait : « Diversité est sa devise. » Ce genre lui permet d'adopter successivement et sans s'y attarder, tous les tons : telle fable est un drame ou une comédie, telle autre un fragment d'épopée ou une élégie, etc. Toutes sont parfaites en leur genre, parce que tou...
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Cantilènes) - Et j' irai le long de la mer éternelle
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - Débouclez-les, vos longs cheveux
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - J'ai été par un long temps déçue
- Isaac HABERT (1560-1615) - Cheveux crêpes et longs où mon coeur se désire
- Joachim Bernier de LA BROUSSE (x-1623) - Tout le long de la nuit et lorsqu'à notre jour
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Douce courbe le long du lierre
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Stances et poèmes) - Le long du quai
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- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Ô longs désirs, ô espérances vaines
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Les fleurs du clair accueil au long de la muraille
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Mon âme, tout ce long et triste après-midi
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - A longs filets de sang ce lamentable corps
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Un journaliste, féru de théâtre, déplore le manque de goût de ses contemporains pour ce genre littéraire. Il décide d'écrire, dans son hebdomadaire, un long article pour exhorter ses lecteurs à s'intéresser davantage aux pièces théâtrales de quelque siècle que ce soit. Vous rédigerez cet article qui développera les arguments incitatifs du journaliste. Exploitez le corpus et les oeuvres que vous avez lues ou vues.
Un journaliste, féru de théâtre, déplore le manque de goût de ses contemporains pour ce genre littéraire. Il décide d'écrire, dans son hebdomadaire, un long article pour exhorter ses lecteurs à s'intéresser davantage aux pièces théâtrales de quelque pièce que ce soit. Vous rédigerez cet article qui développera les arguments incitatifs du journaliste. Exploitez le corpus et les œuvres que vous avez lues ou vues. Dans votre article, vous devez vanter le théâtre, donner des arguments afin de persua...
- En quoi le travail de l'écrivain est -il aussi long et précis que celui d'un horloger ?
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Rimbaud, « Ophélie »
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Ophélie
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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- Un roman est un miroir promené le long d'un chemin » ; « toute oeuvre d'art est un beau mensonge »... Comment concilier ces déclarations apparemment contradictoires de Stendhal ? En vous appuyant sur vos lectures, vous vous demanderez dans quelle mesure l'oeuvre littéraire peut et doit refléter la réalité.
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PORTRAIT DU DUC DE BOURGOGNE de SAINT-SIMON
PORTRAIT DU DUC DE BOURGOGNE Il était plutôt petit que grand, le visage long et brun, le haut parfait avec les plus beaux yeux du monde, un regard vif, touchant, frappant, admirable, assez ordinairement doux, toujours perçant, et une physionomie agréable, haute, fine, spirituelle jusqu'à inspirer de l'esprit. Le bas du visage assez pointu, et le nez long, élevé, mais point beau, n'allait pas si bien; des cheveux châtains si crépus et en telle quantité qu'ils bouffaient à l'excès; les lèvres et l...
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Oeuvres principales de NERVAL expliquées
NERVAL (1808-1855) GÉRARD DE NERVAL, de son vrai nom Gérard Labrunie, est le Pis d'un médecin des armées napoléoniennes. Sa mère meurt au loin, en Silésie, alors qu'il a deux ans. Il est élevé par un grand-oncle, aubergiste à Mortefontaine. Gérard gardera le souvenir d'une enfance passée « dans une campagne isolée, au milieu des bois ». Il fait ses études au collège Charlemagne, où il a comme condisciple Théophile Gautier. Il fréquente le Cénacle, participe à la bataille d'Hernani, entreprend de...
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Introduction Ce poème est l'un des quatre qui dans Les Fleurs du mal portent le même titre : « Spleen ». La première partie du livre, où figurent ces quatre poèmes, s'appelle « Spleen et Idéal ». C'est assez dire quelle importance revêt au sein de l'œuvre le thème ici traité et quelles résonances il évoque dans l'âme du poète. On ne saurait donc s'étonner que la qualité de l'expression soit à la hauteur de l'émotion ressentie. « Spleen » nous ouvre de riches perspectives sur l'inspiration et l'a...
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Jean-Paul SARTRE, préface au guide Nagel sur la Suède.
Nous ne croyons plus qu'il y ait dans une cité, dans une nation, des parties nobles et des parties infâmes. Nous pensons qu'un pays est un organisme complexe dont chaque organe s'explique par tous les autres. Nous pensons qu'une belle ruine est un vestige du passé, mais qu'elle est aussi une partie vivante d'une ville moderne. Nous aimerions savoir ce que les habitants pensent d'elle, s'ils passent avec indifférence le long de ses murs ou s'ils en sont fiers. Mais pour cela il faudrait qu'on nou...
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BECKETT - En attendant Godot (Estragon et Vladimir)
[Dans cette pièce, qui fut vite célèbre, Beckett a voulu exprimer l'attente indéfinie,- l'espérance sans cesse déçue, et toutes les angoisses de la condition humaine.] Estragon. — En attendant essayons de converser sans nous exalter, puisque nous sommes incapables de nous taire. Vladimir. — C'est vrai, nous sommes intarissables. Estragon. — C'est pour ne pas penser. Vladimir. — Nous avons des excuses. Estragon. — C'est pour ne pas entendre. Vladimir. — Nous avons nos raisons. Estragon. — Tou...
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Analyse complète de l'oeuvre de CHATEAUBRIAND
CHATEAUBRIAND (1768-1848) FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND est l'un des nombreux enfants d'une famille noble, qui avait retrouvé quelque lustre grâce au « commerce de mer ». Il passe à Saint-Malo une enfance sans contrainte, fait ses études aux collèges de Dol et de Rennes, est tenté par le sacerdoce, s'aperçoit qu'il n'a pas la vocation et rentre au château paternel de Combourg. Il y reste deux ans, livré à des rêveries sans objet, n'ayant personne à qui se confier en dehors de sa soeur Lucile au...
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Comment faire une dissertation littéraire ?
1. L'élaboration de la dissertation La dissertation passe pour difficile parce qu'elle implique chez le candidat un certain nombre de qualités et de connaissances : sûreté du jugement et parfois agilité de l'esprit en présence du sujet, culture, logique, aisance de l'expression. 1. Comprendre le sujet On ne consacrera jamais trop de temps à l'analyse du sujet. Trop souvent les étudiants comprennent mal l'intitulé qui leur est proposé. Comment parvenir au but quand une mauvaise direction a été pr...
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- Aragon, "Elsa au Miroir"
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Aux temps des dieux
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Lieu de lauriers
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Dies irae
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - La dame en noir