38 résultats pour "matin"
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : Huit chansons reverdies) - Le matin
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - Ô lumineux matin
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Pâle matin de Février
- Baudelaire, Crépuscule du Matin.
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Odes et ballades) - Le matin
- Léon-Pamphile LE MAY (1837-1918) - Chant du Matin
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - Matin
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes tragiques) - Le frais matin dorait
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- Vincent VOITURE (1597-1648) - Des portes du matin l'Amante de Céphale
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flamandes) - Dimanche matin
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Matin sur le port
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Dans ma prière du matin
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les forces tumultueuses) - Un matin
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Bonne pensée du matin
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le crépuscule du matin
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - L'ange de l'étoile du matin
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- Marc Claude de BUTTET (1530-1586) (Recueil : L'Amalthée) - Ja le matin, qui l'univers redore
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : Entrevisions) - Crépuscule du matin
- André LEMOYNE (1822-1907) (Recueil : Chansons des nids et des berceaux) - Matin d'hiver
- Guillaume LE BRETON (1550-x) (Recueil : L'Adonis) - En guise d'arc en ciel, le dimanche matin
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Phyllis) - Madame, ce matin je vous offre une fleur
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Poèmes inachevés) - Dans l'air frais du matin ...
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - C'est le premier matin du monde
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Le soleil du matin doucement chauffe et dore
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- À UNE HEURE DU MATIN - BAUDELAIRE
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Le matin
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - La belle matineuse
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les moines) - Les matines
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Matin d'Octobre
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'hiver) - Prière du matin
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - L'angélus du matin
- Claude-Joseph DORAT (1734-1780) (Recueil : Les baisers) - Le baiser du matin
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - En marchant le matin
- Marc-Antoine DESAUGIERS (1772-1827) (Recueil : Chansons) - Tableau de Paris (A cinq heures du matin)
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Antigone, de Jean Anouilh (de «Un matin, je me suis réveillé roi de Thèbes.» à … «C'est laid un homme qui a peur.»)
Antigone, de Jean Anouilh (de «Un matin, je me suis réveillé roi de Thèbes.» à … «C'est laid un homme qui a peur.») Introduction: Sophocle, un des grands dramaturges de l’antiquité grecque avec Euripide et Eschyle, écrit en 441 avant JC Antigone, qui raconte le conflit opposant la fille d’Œdipe à son oncle Créon. Ses deux frères s’étant entretués, Antigone désobéit aux ordres de Créon, roi de Thèbes qui avait décidé que Polynice, considéré comme un traître à la cité, resterait sans sépu...
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Denis Diderot, Le neveu de Rameau.
Rien ne dissemble plus de lui que lui-même. Quelquefois, il est maigre et hâve comme un malade au dernier degré de la consomption ; on compterait ses dents à travers ses joues. On dirait qu'il a passé plusieurs jours sans manger, ou qu'il sort de la Trappe. Le mois suivant, il est gras et replet, comme s'il n'avait pas quitté la table d'un financier, ou qu'il eût été renfermé dans un couvent de Bernardins. Aujourd'hui, en linge sale, culotte déchirée, couvert de lambeaux, presque sans souliers,...
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Simone SCHWARZ-BART, Pluie et vent sur Télumée-Miracle.
Le plus mystérieux d'entre eux était un certain Tac-Tac ainsi nommé à cause de son voum-tac, l'énorme flûte de bambou qu'il portait toujours à l'épaule, suspendue pour l'éternité. C'était un vieux nègre couleur de terre brûlée, avec une figure un peu plate où venaient s'ouvrir deux yeux perdus, qui roulaient sur vous avec surprise et précaution, toujours émerveillés, dans l'étonnement de retrouver bêtes et gens. Il habitait cahute logée dans un arbre et à laquelle il accédait par une échelle de...
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Victor HUGO, Les Misérables, I, VII, 3.
Victor HUGO, Les Misérables, I, VII, 3. Il reculait maintenant avec une égale épouvante devant les deux résolutions qu'il avait prises tour à tour. Les deux idées qui le conseillaient lui paraissaient aussi funestes l'une que l'autre. - Quelle fatalité ! quelle rencontre que ce Champmathieu pris pour lui ! Être précipité justement par le moyen que la providence paraissait d'abord avoir employé pour l'affermir ! Il y eut un moment où il considéra l'avenir. Se dénoncer, grand Dieu ! se livrer ! Il...