10 résultats pour "monstres"
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Que nous apprennent les monstres ? Le théâtre nous offre une galerie impressionnante de monstres : ont-ils quoi que ce soit à nous apprendre ?
Que nous apprennent les monstres ? Indications: le théâtre nous offre une galerie impressionnante de "monstres" : ont-ils quoi que ce soit à nous apprendre ? Analyse du sujet et problématisation : Ce sujet interroge sur le rôle des monstres au théâtre. Le monstre se définit généralement comme un être vivant comportant une ou des malformations importantes. Il désigne aussi un être fantastique qui figure dans la mythologie ou les légendes. Mais d'une manière générale, c'est par rapport aux lois de...
- Céline, Voyage au bout de la nuit - Ce colonel, c'était donc un monstre ! À présent...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Tout effrayé de ce monstre nocturne
- José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Andromède au monstre
- Personnage souvent aux prises avec ses pulsions, Pierre devient, au paroxysme de l'aliénation, un monstre ». En quoi cette approche du personnage de Pierre et Jean de Maupassant vous paraît-elle justifiée ? Et dans quelle mesure peut-on l'affilier à l'expérience naturaliste ?
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Thierry Maulnier écrit dans son Racine (p. 70, Gallimard, édit.) : « Montrer sur la scène des monstres ou des meurtres, montrer du sang, montrer de brillants costumes ou des foules ou des batailles, tout cela est bon pour des primitifs, des romantiques ou des enfants. La grandeur et la gloire de l'homme sont d'avoir cessé de montrer parce qu'il a appris à dire. L'art le plus affiné et le plus complexe est nécessairement l'art où le langage - honneur des hommes, dit le poète - a la plac
Introduction. Le théâtre a toujours exercé sur les intellectuels un curieux mélange d'attrait et de répulsion. Art du spectacle, parlant aux sens plus qu'à l'esprit, ne connaissant de vrai succès que sous la forme populaire, il relève souvent, aux yeux des gens cultivés, des accusations portées contre l'imagerie facile, la « montre », la parade pour badauds. Cicéron se détournait déjà du déploiement de statues et de tapisseries du théâtre ancien. On connaît de nos jours le mépris témoigné par bi...
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Comment expliquer la séduction des récits fantastiques ?
Analyse du sujet et problématisation : Le sujet interroge la puissance de séduction de la littérature fantastique. Le terme « récit » implique que l'on s'intéresse aux nouvelles, aux contes et aux romans fantastiques. Le fantastique est un genre littéraire fondé sur la fiction, racontant l'intrusion du surnaturel dans un cadre réaliste, autrement dit l'apparition de faits inexpliqués et théoriquement inexplicables dans un contexte connu du lecteur. La fantastique laisse le lecteur dans une perpé...
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - L'étang du mauvais pas
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le crapaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « Le crapaud ». 1. Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? 2. Le couchant rayonnait dans les nuages roses ; 3. C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident 4. Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ; 5. Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie, 6. Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ; 7. Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. 8. (Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ? 9. Hélas ! le...
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François Tristan L'HERMITE (1601-1655) (Recueil : La Lyre) - La belle Esclave maure
Tristan L'Hermite, « La Belle Esclave more ». 1. Beau Monstre de Nature, il est vrai, ton visage 2. Est noir au dernier point, mais beau parfaitement : 3. Et l’ébène poli qui te sert d’ornement 4. Sur le plus blanc ivoire emporte l’avantage. 5. Ô merveille divine, inconnue à notre âge ! 6. Qu’un objet ténébreux luise si clairement ; 7. Et qu’un charbon éteint, brûle plus vivement 8. Que ceux qui de la flamme entretiennent l’usage ! 9. Entre ces noires mains je mets ma liberté ; 10. Moi, qui fus...