33 résultats pour "monté"
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les visages de la vie) - Le mont
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Symphonie héroïque) - Les monts
- Catulle MENDÈS (1841-1909) (Recueil : Philoméla) - Deux monts plus vastes que l'Hécla
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Espana) - J'étais monté plus haut...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Dessus un mont une flamme allumée
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Sur la croupe d'un mont je vis une fabrique
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Ciel, air et vents, plains et monts découverts
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Stances) - Ô monts justement fiers ...
-
- José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Mer montante
- Balzac, Le Chef-d'oeuvre inconnu - Un vieillard vint à monter l'escalier...
- Mellin de SAINT-GELAIS (1487-1558) - Voyant ces monts de veue ainsi loingtaine
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Les Destinées) - Le Mont des Oliviers
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si je monte au Palais, je n'y trouve qu'orgueil
- Clovis Hesteau de NUYSEMENT (1550-16xx) - De la cime des monts les fiers torrents se roulent
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Un jour au mont Atlas
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Parmi ces monts où séjourne l'ombrage
-
- Louis BOUILHET (1822-1869) (Recueil : Dernières chansons) - La pluie venue du Mont Ki-Chan
- Dumas, Le Comte de Monte-Cristo.
-
Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques) - La mort de Valmiki
Intro : Ce passage est extrait de « la mort de Valmiki » de Leconte de Lisle. Ce poème est issu du recueil Les poèmes antiques, paru en 1852 après que l’auteur eût renoncé à la vie politique française, déçu par les évènements de 1848. Chef de file de l’école parnassienne, il préconise une poésie objective qui réunisse la science et l’art. Dans ce poème en alexandrin, le poète rapporte la mort du poète mythique Valmiki, sage indien auteur d’un long poème épique. Problématique : Nous pouvons nous...
-
Le texte théâtral est-il suffisant pour monter un spectacle ?
Le texte théâtral est il suffisant pour monter un spectacle ? Au XVIIe siècle, le théâtre est le genre prédominant. A cette époque les représentations théâtrales sont en pleines ascension; on innove. La mise en abyme ou la recherche du décor sont très appréciées. Que cela s'agisse d'une comédie ou d'une tragédie, les pièces peuvent êtres approchées différemment. En effet, les pièces lues diffèrent de celles vues dans la mesure où le ton donné ne peut-être le même. C'est pour cela qu'on pourrait...
-
Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poésies diverses) - Nox
Charles-Marie LECONTE DE LISLE, Poésies diverses, « Nox ». Nox 1. Sur la pente des monts les brises apaisées 2. Inclinent au sommeil les arbres onduleux ; 3. L'oiseau silencieux s'endort dans les rosées, 4. Et l'étoile a doré l'écume des flots bleus. 5. Au contour des ravins, sur les hauteurs sauvages, 6. Une molle vapeur efface les chemins ; 7. La lune tristement baigne les noirs feuillages ; 8. L'oreille n'entend plus les murmures humains. 9. Mais sur le sable au loin chante la Mer divine, 10...
- Dans une interview où il expliquait son désir de monter l'École des femmes et d'y jouer le rôle d'Arnolphe, le comédien et metteur en scène Marcel Maréchal déclarait : « Agnès est un plaidoyer vivant pour la femme ». En vous appuyant sur des éléments précis tirés du texte, vous expliquerez et éventuellement discuterez cette affirmation. ?
-
Stendhal - Le Rouge et le Noir - II° partie, Chapitre III (Les premiers pas à Paris)
L'orientation du commentaire Les sources d'intérêt de ce texte sont multiples. C'est sans doute pourquoi le libellé vous invite à faire un choix personnel dans l'orientation de votre commentaire. Les candidats ont, pour la plupart, lu et même étudié Le rouge et le noir. Mais nous envisageons le cas, plus fréquent qu'on le pense, d'un étudiant pour qui ce passage est l'occasion d'une première rencontre avec Stendhal. Quel intérêt peut-il prendre à cette lecture? Sans doute s'attachera-t-il aux pe...
-
Que la bile ne te monte pas au nez
Mfl ••• TytV xoA11v ÈffL pLIIOS / ËX(E) Que la bile ne te monte pas au nez L'expression est attestée par Hérondas (6, 37 sq.) et désigne un fort accès de colère: elle correspond à nos expressions La moutarde me n1onte au nez ; Prendre la mouche. en italien Avere la mosca al na.îo. ()n lit un parallèle chez Théocrite ( 1, 18, cf. aussi A.S.F. Gow,
-
-
Alexandre Vialatte, Dernières nouvelles de l'homme, Julliard, 1978.
L'automne s'obstine au flanc des coteaux. Du maïs, des oiseaux s'envolent. Des feux s'allument dans les jardins. Il en monte de hautes fumées. L'air sent le céleri, les fanes de pommes de terre. La ampagne est calme et muette. On voit au loin, contre le ciel ... Un escalier, çà et là, ne mène à rien. D'une maison basse, il n'est resté que le perron, avec sa rampe en fer forgé. Une haute pour voûtée porte une date inscrite dans la pierre ; elle s'ouvre sur une cour sans murs et tout envahie par l...
-
Victor Hugo, « Soleils couchants »
Introduction Lorsque Victor Hugo compose ce poème il vient de publier Les Orientales où son sens de la couleur se donne libre cours. On peut donc s'étonner de n'y trouver aucun élément descriptif. La vision du soleil couchant, qui va donner l'élan à l'inspiration du poète, est seulement notée d'une manière précise et incolore dans le premier vers. Et même la strophe qu'il consacre au spectacle de la nature est volontairement dénuée de pittoresque. Tout s'efface devant l'ampleur d'une émouvante m...
-
Hugo, Hernani, acte I, scène 2
Hugo, Hernani, Acte I scène 2 Doña Sol : Je vous suivrai. Hernani : Parmi nos rudes compagnons, Proscrits, dont le bourreau sait d'avance les noms, Gens dont jamais le fer ni le coeur ne s'émousse, Ayant tous quelque sang à venger qui les pousse? Vous viendrez commander ma bande, comme on dit? Car, vous ne savez pas, moi je suis un bandit! Quand tout me poursuivait dans toutes les Espagnes, Seule, dans ses forêts, dans ses hautes montagnes, Dans ses rocs, où l'on est que de l'aigle aperçu, La vi...
-
Honoré de Balzac
Honoré de Balzac Honoré de Balzac naquit à Tours dans une famille de souche paysanne et étudia à Vendôme au collège des Oratoriens, avant que sa famille monte à Paris dans le sillage de la chute de Napoléon. Déterminé à entreprendre une carrière littéraire, il tâtonna durant deux ans, expérimentant divers genres qui tous se révélèrent purement alimentaires, puis abandonna pour un temps l'écriture et monta une maison d'édition. En 1828, au bord de la faillite, Balzac retourna à son labeur d'écri...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les orientales) - Attente
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - In excelsis
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : L'ordre altruiste) - Berceuse de l'après-midi
- Jean BOUCHET (1476-1557) - Quand j'ois parler d'un prince et de sa cour
- Le baiser de Roxane (Rostand, Cyrano de Bergerac, 1897, Acte III, scène 10)