31 résultats pour "palais"
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Ève pleurait. Ses mains cachaient sa tête pâle
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Pâle matin de Février
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Le palais de la volupté
- Pierre LE MOYNE (1602-1671) (Recueil : Lettres morales et poétiques) - Le Palais de la Fortune
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A propos du théâtre, Victor Hugo déclare : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des coeurs humains sur la scène, des coeurs humains dans la coulisse, des coeurs humains dans la salle ».
Demande d'échange de corrigé de dupont pierre ([email protected]). Sujet déposé : SUJET : A propos du théâtre, Victor Hugo déclare : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des coeurs humains sur la scène, des coeurs humains dans la coulisse, des coeurs humains dans...
- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Premiers poèmes) - L'enfant pâle
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - Plutôt les pâles Soeurs me privent de lumière
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - Le corps pâle brûlé au bûcher domestique
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Cependant qu'au palais de procès tu devises
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - De ce royal palais que bâtiront mes doigts
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si je monte au Palais, je n'y trouve qu'orgueil
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Elle était pâle, et pourtant rose...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Pâles esprits, et vous ombres poudreuses
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Elle pleurait, toute pâle de crainte
- Stuart MERRILL (1863-1915) (Recueil : Petits poèmes d'automne) - Mon front pâle est sur tes genoux
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Je n'ai pas de palais épiscopal en ville
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : L'âme en bourgeon) - Enfant, pâle embryon
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Le temps n'a point pâli ta souveraine image
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Une aube pâle emplit le ciel triste
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dimanche : un pâle ennui d'âme, un désoeuvrement
- Emile NELLIGAN (1879-1941) - Gretchen la pâle
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Aloysius Bertrand « Ondine »in Gaspard de la nuit
Introduction - Dans Gaspard de la nuit, A. Bertrand explore, à travers de courts poèmes en prose, le royaume du rêve, des hallucinations nocturnes, du fantastique. - Dans l'un de ces textes, «Ondine», il reprend une vieille légende germanique, selon laquelle un peuple immortel étrange, les Ondins, vit au fond des lacs. Leurs filles tombent parfois amoureuses d'un humain. Une ondine vient un soir proposer sa main à l'auteur : elle cherche à le séduire par un chant, où elle dévoile sa vie lac...
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«j'aime à suivre les règles, écrit quelque part Corneille, mais loin de me rendre leur esclave, je les élargis et resserre selon le besoin qu'en a mon sujet. »
Ce que vous savez de ses principales pièces vous paraît-il prouver que Corneille aime, comme il le dit, à suivre les règles ? Ne prend-il pas à chaque occasion des libertés avec elles? Dans quelle mesure ces libertés s'expliquent-elles par sa conception de la tragédie
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«J'aime à suivre les règles, écrit quelque part Corneille, mais loin de me rendre leur esclave, je les élargis et resserre selon le besoin qu'en a mon sujet. » Ce que vous savez de ses principales pièces vous paraît-il prouver que Corneille aime, comme il le dit, à suivre les règles ? Ne prend-il pas à chaque occasion des libertés avec elles? Dans quelle mesure ces libertés s'expliquent-elles par sa conception de la tragédie? Corneille ne s'est jamais trouvé à l'aise dans le cadre étroit des tr...
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« Le théâtre n'est pas le pays du réel il y a des arbres en carton, des palais de toiles, un ciel de haillons, des diamants de verre, du rouge sur la joue, du soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai il y a des corps humain sur la scène, des coeurs d'humain sur la scène, dans la salle, dans les coulisses. » Commentez cette affirmation de Victor Hugo qui vous invite à réfléchir à l'essence du théâtre : mauvaise copie de la réalité ou vérité profonde au-delà du clinquan
Commentez ce jugement de Victor Hugo sur le théâtre : "Le théâtre n'est pas le pays du réel: il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. C'est le pays du vrai : il y a des cœurs humains dans la coulisse, des cœurs humains dans la salle." Reproduire le réel ? S’en évader et aller vers l’imaginaire ? Cette alternative est valable pour tous les...
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Rimbaud, « Ophélie »
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Ophélie
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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Voltaire, Candide, chapitre 18. CE QU'ILS VIRENT DANS LE PAYS D'ELDORADO
Voltaire, Candide, chapitre XVIII, Ce qu'ils virent dans le pays d'Eldorado [1]. Après cette longue conversation, le bon vieillard fit atteler un carrosse à six moutons, et donna douze de ses domestiques aux deux voyageurs pour les conduire à la cour. Excusez-moi, leur dit-il, si mon âge me prive de l'honneur de vous accompagner. Le roi vous recevra d'une manière dont vous ne serez pas mécontents, et vous pardonnerez sans doute aux usages du pays, s'il y en a quelques uns qui vous déplaisent. Ca...
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Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
Stendhal, Le Rouge et le Noir, partie I, chapitre 6, « L’ennui ». Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regards des hommes, Mme de Rênal sortait par la porte-fenêtre du salon qui donnait sur le jardin, quand elle aperçut près de la porte d'entrée la figure d'un jeune paysan presque encore enfant, extrêmement pâle et qui venait de pleurer. Il était en chemise bien blanche, et avait sous le bras une veste fort propre de ratine violette. Le teint de ce pe...
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Paysage
L'orientation du commentaire Le poème est composé de deux tableaux successifs dont l'inspiration et la facture sont très différents. L'un s'appuie sur l'observation. L'autre donne libre cours à l'imagination. Le commentaire s'oriente donc naturellement vers l'analyse de l'art baudelairien sous ces deux aspects antithétiques. ESQUISSE D'UN COMMENTAIRE 1. Dans le premier point, vous notez l'originalité du thème : la ville vue en perspective avec la géométrie des lignes verticales, tuyaux et cloche...
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Lieu de lauriers