38 résultats pour "pauvres"
- Joachim Bernier de LA BROUSSE (x-1623) - Pauvre Ixion, pauvre amant misérable
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les douze mois) - Les pauvres
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Les pauvres gens
- Charles Baudelaire - Le Spleen de Paris: Le joujou du pauvre
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - La mort des pauvres
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Pauvres vieilles cités
- Charles SAINTE-BEUVE (1804-1869) (Recueil : Pensées d'Août) - La voilà, pauvre mère, à Paris arrivée...
-
Taine écrit, dans ses Nouveaux essais de critique et d'histoire : « Nous avons vu dans La Bruyère un éloge du peuple, des réclamations en faveur des pauvres, une satire amère contre l'inégalité des conditions et des fortunes, bref les sentiments qu'on appelle aujourd'hui démocratiques. » Que pensez-vous de ce jugement ?
Taine écrit, dans ses Nouveaux essais de critique et d'histoire : « Nous avons vu dans La Bruyère un éloge du peuple, des réclamations en faveur des pauvres, une satire amère contre l'inégalité des conditions et des fortunes, bref les sentiments qu'on appelle aujourd'hui démocratiques. » Que pensez-vous de ce jugement ? Les affirmations de Taine portent en définitive sur trois points essentiels : 1.La Bruyère a fait l'éloge du peuple ; 2.Il a protesté contre l'inégalité des fortunes ; 3.Il a pr...
-
- Antoine de CHANDIEU (1534-x) - Qu'as-tu ? pauvre amoureux...
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Le pauvre gars
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Je suis plus pauvre que jamais
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Les pauvres à l'église
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Doulcin, quand quelquefois je vois ces pauvres filles
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Odes funambulesques) - Villanelle des pauvres housseurs
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Ma douce enfant, ma pauvre enfant...
- Jean Ogier de GOMBAULD (1588-1666) (Recueil : Sonnets divers) - Vous implorez en vain, pauvre troupe insensée
-
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - La pauvre fleur disait au papillon céleste
-
Voltaire, Dictionnaire philosophique, « Abbé », 1764
Voltaire, Dictionnaire philosophique, « Abbé », 1764 Où allez-vous, Monsieur l’abbé ? etc. Savez-vous bien qu’abbé signifie père? si vous le devenez, vous rendez service à l’État; vous faites la meilleure oeuvre sans doute que puisse faire un homme; il naîtra de vous un être pensant. Il y a dans cette action quelque chose de divin. Mais si vous n’êtes monsieur l’abbé que pour avoir été tonsuré, pour porter un petit collet, un manteau court, et pour attendre un bénéfice simple, vous ne méritez pa...
-
Jules Michelet
Jules Michelet Jules Michelet, né à Paris le 22 août 1798 ; profession ? Allons-nous répondre : "historien" ? Non. Michelet n'écrit pas l'Histoire ni de l'histoire. Il s'en nourrit. Il se gorge du sang noir des morts. Il est celui qui écrit, en septembre 49 : "J'accomplis ici une tâche très rude, d e revivre, refaire et souffrir la Révolution." Et il explique : "Je viens de traverser Septembre (entendons 1793, et non pas 1849). Massacré à l'Abbaye, je vais au Tribunal révolutionnaire, c'est-à-d...
- Roger de COLLERYE (1470-1536) - Misère du pauvre infortuné
- Xavier FORNERET (1809-1884) (Recueil : Vapeurs) - Un pauvre honteux
- Tristan CORBIERE (1845-1875) (Recueil : Les Amours jaunes) - Pauvre garçon
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Idylle de pauvres
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Les enfants pauvres
-
- Taine écrit: Nous avons vu dans La Bruyère un éloge du peuple, des réclamations en faveur des pauvres, une satire amère contre l'inégalité des conditions de fortune, bref les sentiments qu'on appelle aujourd'hui démocratiques. Que pensez-vous de ce jugement ?
-
Victor HUGO (1802-1885)- Le mendiant
introduction : Dans ce poème, Victor Hugo une fois encore célèbre la grandeur des « pauvres gens », des « misérables ». Toute sa vie, le chef de l'école romantique respectera les humbles : comme le Poète est un « mage », le Pauvre est « l'homme de Dieu ». Aussi, dès 1843, Hugo exprime dans tes Burgraves l'idée inspiratrice du Mendiant : Soyez hospitaliers surtout ! C'est la loi douce Quand on chasse un passant, sait-on qui l'on repousse ? Sait-on de quelle part il vient ? Fussiez-vous rois,...
-
« La chanson tout court, rien que la chanson, c'est là un phénomène poétique qu'on doit bien se garder de méconnaître. » M. Pérez.
« La chanson tout court, rien que la chanson, c'est là un phénomène poétique qu'on doit bien se garder de méconnaître. » M. Pérez. La chanson poésie du pauvre. M. Pérez : « On méprise à juste titre la chanson commerciale. Produit industriel, fabriqué à la chaîne, destiné à flatter le goût du jour, mis à toutes les modes, la chanson est un frisson démagogique. » Georges Jean « La chanson poétique ne mord que très faiblement sur le grand public qui se contente de chansons parfois charmantes et for...
-
Fiodor Dostoïevski
Fiodor Dostoïevski Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski est né le 30 octobre 1821 à Moscou. En 1838 il entre à l'École des Ingénieurs de Saint-Pétersbourg, est nommé sous-officier du Génie en 1840, puis sous-lieutenant en 1842. Il écrit pendant cette période deux drames qui restent inachevés. En 1844 il demande sa retraite et commence les Pauvres Gens, sa première oeuvre, qui plaira et sera publiée en 1846. Alors, il fait la connaissance de Petrachevski, dont il se mettra bientôt (1847) à fréquente...
-
Louis-Ferdinand Céline
Louis-Ferdinand C éline Louis-Ferdinand Destouches, connu sous le prénom de sa mère C éline, est né à C ourbevoie dans une famille sans fortune. Son père travaillait pour une compagnie d'assurances et sa mère tenait un commerce de dentelles. Il exerça lui-même plusieurs petits métiers pour financer ses études, avant de s'engager en 1912 dans l'armée. Blessé en 1914, il fut démobilisé et reçut une pension d'invalidité. Il rentra à P aris finir ses études de médecine et épousa la fille de son dir...
-
Rimbaud, « Ophélie »
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
-
Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Ophélie
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
-
Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
Stendhal, Le Rouge et le Noir, partie I, chapitre 6, « L’ennui ». Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regards des hommes, Mme de Rênal sortait par la porte-fenêtre du salon qui donnait sur le jardin, quand elle aperçut près de la porte d'entrée la figure d'un jeune paysan presque encore enfant, extrêmement pâle et qui venait de pleurer. Il était en chemise bien blanche, et avait sous le bras une veste fort propre de ratine violette. Le teint de ce pe...
-
-
« Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants comme sa pauvre et infirme nature », écrivait Th. Gautier. Que pensez-vous de ce jugement? Vous direz, en particulier, en empruntant vos exemples à vos propres lectures, quelle utilité vous reconnaissez aujourd'hui à la littérature.
« Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants comme sa pauvre et infirme nature », écrivait Th. Gautier. Que pensez-vous de ce jugement? Vous direz, en particulier, en empruntant vos exemples à vos propres lectures, quelle utilité vous reconnaissez aujourd'hui à la littérature. Développement Les musées sont pleins d'objets que nous trouvons beaux mais que...
- Molière, Dom Juan, ou le festin de pierre, Acte III, scène 2
- Charles Perrault, « Les Fées », Histoires ou contes du temps passé avec des moralités, 1697.
- François VILLON (1431-x) (Recueil : Le testament) - Ballade à s'amie
- Les fées de Perrault
-
Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...