26 résultats pour "pieds"
- Mélanie WALDOR (1796-1871) (Recueil : Poésies du coeur) - Dors à mes pieds !...
- Roger de COLLERYE (1470-1536) - Au pied du mur je me voy sans eschelle
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Un écrivain contemporain écrit : Le poète a un pied dans la boue, un oeil sur les étoiles et un poignard dans la main . Cette vision du poète vous paraît-elle pouvoir s'appliquer à Hugo dans les poèmes de Châtiments que vous avez étudiés ?
Cette description du poète utilise exclusivement des images, ce qui laisse une certaine marge à l'interprétation : la "boue", ce peut être plusieurs choses : la réalité banale et quotidienne, parfois laide; ou alors plus spécifiquement cet élément peut désigner par métonymie le peuple, c'est-à-dire les petites gens "crottés". Dans les deux cas ce sont des éléments qui n'ont traditionnellement pas vraiment leur place en poésie. "L'oeil sur les étoiles" semble plus conforme au caractère traditionn...
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Un écrivain contemporain écrit : « Le poète a un pied dans la boue, un oeil sur les étoiles et un poignard dans la main. » Cette vision du poète vous parait-elle pouvoir s'appliquer à Victor Hugo dans les poèmes des Châtiments que vous avez étudiés ?
Cette description du poète utilise exclusivement des images, ce qui laisse une certaine marge à l'interprétation : la "boue", ce peut être plusieurs choses : la réalité banale et quotidienne, parfois laide; ou alors plus spécifiquement cet élément peut désigner par métonymie le peuple, c'est-à-dire les petites gens "crottés". Dans les deux cas ce sont des éléments qui n'ont traditionnellement pas vraiment leur place en poésie. "L'oeil sur les étoiles" semble plus conforme au caractère traditionn...
- François MAYNARD (1582-1646) - Je touche de mon pied le bord de l'autre monde
- Jean de LA CEPPÈDE (1550-1623) (Recueil : Théorèmes) - Ses pieds sont donc percez (comme il avait predit)
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Quand je suis à tes pieds ...
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : La maison de verre) - Les pieds nus de ma poésie
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- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - J'aime l'aube aux pieds nus qui se coiffe de thym
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Voltaire, Micromégas, chapitre 5 - EXPERIENCES ET RAISONNEMENTS DES DEUX VOYAGEURS
Voltaire, Micromégas, Chapitre 5. Expériences et raisonnements des deux voyageurs Micromégas étendit la main tout doucement vers l'endroit où l'objet paraissait, et avançant deux doigts, et les retirant par la crainte de se tromper, puis les ouvrant et les serrant, il saisit fort adroitement le vaisseau qui portait ces messieurs, et le mit encore sur son ongle, sans le trop presser, de peur de l'écraser. « Voici un animal bien différent du premier », dit le nain de Saturne ; le Sirien mit le pré...
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MALRAUX - La Condition Humaine: 21 mars 1927. Minuit et demi.
Cet incipit doit son originalité à une ouverture in médias res, à la focalisation interne et à une nouvelle forme d'écriture. Contrairement à la technique balzacienne, la narration se caractérise chez Malraux par l'absence de tout préliminaire : le lecteur entre de plain-pied dans un monde inconnu, il lie connaissance avec un tueur, il s'intéresse enfin à une action violente, un assassinat imminent. Mais s'il connaît la date des événements (21 mai 1927), il ignore tout du lieu : seul le nom Tche...
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Les pieds sur les chenets) - Hiver sentimental
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - A ceux qu'on foule aux pieds
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La Leçon d'Ionesco : en quoi s'agit-il d'une satire de l'enseignement ?
Analyse du sujet et problématisation : Composée en juin 1950, La Leçon fut créée le 20 février 1951 au théâtre de Poche et publiée aux Editions Arcanes en 1953. Cette pièce met en scène la relation pédagogique entre un professeur et son élève de façon caricaturale. En quoi peut-on dire que cette pièce est une satire de l'enseignement ? Par le terme « satire », on entendra une œuvre dont l'objectif est de ridiculiser son sujet afin de le critiquer. La satire est un genre littéraire polémique util...
- Sous la forme d'un monologue intérieur, évoquez l'évolution des pensées de ce voyageur, absorbé dans la contemplation des cimes nuageuses ; vous pourrez, par exemple, vous interroger sur le motif de sa promenade, ce qu'il ressent à l'instant où il contemple les montagnes à ses pieds, les sentiments qu'il éprouve et les sensations qui accompagnent ces sentiments ?
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Marivaux in La vie de Marianne.
Si M arivaux est plus connu comme homme de théâtre, il fut également journaliste et auteur de deux romans princ ipaux, L e P a y s a n parvenu et La V ie de M arianne. La filiation est d'ailleurs évidente : quel que soit le genre littéraire pratiqué, il s 'y révèle analys te du cœur humain et de s es réticences à avouer son amour. C et épisode de La V ie de M arianne est fondamental c ar il s celle la rencontre et l'ébauc he d'un s entiment amoureux entre M arianne, une jeune fille dont on ignor...
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Un poète du XXe siècle, Jean Cocteau, affirme : « Qu'est-ce qu'un poète ? C'est un homme qui change les règles du jeu. C'est un homme qui met les pieds dans le plat. » Vous expliquerez cette formule et vous vous demanderez, en vous fondant sur vos lectures, si elle permet de définir le rôle du poète et la nature de son activité créatrice.
Un poète du XXe siècle, Jean Cocteau, affirme : « Qu'est-ce qu'un poète ? C'est un homme qui change les règles du jeu. C'est un homme qui met les pieds dans le plat. » Vous expliquerez cette formule et vous vous demanderez, en vous fondant sur vos lectures, si elle permet de définir le rôle du poète et la nature de son activité créatrice. Comment définir la poésie ? Est-ce un langage codé, une sensibilité particulière, une attitude devant les « choses de la vie », est-elle limitée au lang...
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DORMANTE de Claude Roy, Clair comme le jour
"Dormante", telle est la femme à laquelle s'adresse le poète. Ce sommeil procure de fortes impressions au pète, qui choisit de les exprimer sur le mode lyrique. Nous verrons d'abord comment Claude Roy fait se rejoindre modernité et tradition du lyrisme amoureux, puis comment s'exprime la sensualité féminine, et enfin quelle est l'ambiguïté contenue dans l'image du sommeil de la femme. [Un poème d'amour moderne au lyrisme traditionnel] Ce poème, que nous savons avoir été inspiré à Claude Roy par...
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PORTRAIT DU DUC DE BOURGOGNE de SAINT-SIMON
PORTRAIT DU DUC DE BOURGOGNE Il était plutôt petit que grand, le visage long et brun, le haut parfait avec les plus beaux yeux du monde, un regard vif, touchant, frappant, admirable, assez ordinairement doux, toujours perçant, et une physionomie agréable, haute, fine, spirituelle jusqu'à inspirer de l'esprit. Le bas du visage assez pointu, et le nez long, élevé, mais point beau, n'allait pas si bien; des cheveux châtains si crépus et en telle quantité qu'ils bouffaient à l'excès; les lèvres et l...
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Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXIV - Nous sommes à Paris depuis un mois...
Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXIV – « Nous sommes à Paris depuis un mois… » RICA A IBBEN A Smyrne. Nous sommes à Paris depuis un mois, et nous avons toujours été dans un mouvement continuel. Il faut bien des affaires avant qu'on soit logé, qu'on ait trouvé les gens à qui on est adressé, et qu'on se soit pourvu des choses nécessaires, qui manquent toutes à la fois. Paris est aussi grand qu'Ispahan: les maisons y sont si hautes, qu'on jugerait qu'elles ne sont habitées que par des astrolo...
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Victor HUGO, Les Misérables, I, VII, 3.
Victor HUGO, Les Misérables, I, VII, 3. Il reculait maintenant avec une égale épouvante devant les deux résolutions qu'il avait prises tour à tour. Les deux idées qui le conseillaient lui paraissaient aussi funestes l'une que l'autre. - Quelle fatalité ! quelle rencontre que ce Champmathieu pris pour lui ! Être précipité justement par le moyen que la providence paraissait d'abord avoir employé pour l'affermir ! Il y eut un moment où il considéra l'avenir. Se dénoncer, grand Dieu ! se livrer ! Il...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Pure innocence ...
- Voltaire, Lettres philosophiques, Lettre sixième. SUR LES PRESBYTÉRIENS.
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Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Les Destinées) - La mort du loup
Alfred de VIGNY, Les Destinées, « La mort du loup ». I 1. Les nuages couraient sur la lune enflammée 2. Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, 3. Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. 4. Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon, 5. Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, 6. Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes, 7. Nous avons aperçu les grands ongles marqués 8. Par les loups voyageurs que nous avions traqués. 9. Nous avons écouté, retenant notre hal...
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- Philippe de Commynes - Mémoires
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Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques) - La mort de Valmiki
Intro : Ce passage est extrait de « la mort de Valmiki » de Leconte de Lisle. Ce poème est issu du recueil Les poèmes antiques, paru en 1852 après que l’auteur eût renoncé à la vie politique française, déçu par les évènements de 1848. Chef de file de l’école parnassienne, il préconise une poésie objective qui réunisse la science et l’art. Dans ce poème en alexandrin, le poète rapporte la mort du poète mythique Valmiki, sage indien auteur d’un long poème épique. Problématique : Nous pouvons nous...