5054 résultats pour "recueil"
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Recueillement
Introduction. La vie de Baudelaire fut une méditation de sa douleur. Il en a dit souvent les cruautés. Mais quand il faisait un retour profond sur lui-même, dans le silence et la solitude, quand il songeait à ses péchés, à ses voluptés au goût amer, à ses vains élans vers la pureté, elle lui apparaissait comme revêtue d'une sorte de dignité, car il y trouvait le témoignage d'une conscience vigilante au sein même de ses égarements. Dans ce sonnet, il s'adresse à elle comme à un être humain; il en...
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Pour présenter un recueil des plus beaux poèmes français, le critique littéraire Robert Kanters écrit : « Ce n'est pas un livre comme un autre dont vous venez de tourner les premières pages. C'est un jardin qui vous accueille, si vous le voulez, peuplé d'amis connus et inconnus. » Quel est le meilleur des « amis » que vous reconnaîtriez dans ce «jardin » des poètes ? Faites-nous comprendre et partager votre amitié. ?
Introduction Au jardin des poètes, le meilleur ami peut être chaque jour différent ; ce n'est pas inconstance mais besoin d'enrichissement et de renouvellement. Pourtant, Apollinaire est sans doute celui que j'aime à rencontrer le plus souvent (1). I. — Pour sa personnalité complexe. 1° Explicable par son ascendance slave et italienne, et la diversité des lieux qui l'ont marqué : la Méditerranée, l'Ardenne et le Rhin, Paris. 2° Nourrie de sa curiosité et de son appétit de nouveauté (diversité de...
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Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien
Joachim DU BELLAY, Les Regrets, « Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien ». 1. Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien, 2. De ne m'avoir plus sage ou plus heureux fait naître), 3. Pourquoi ne m'as-tu fait de moi-même le maître, 4. Pour suivre ma raison et vivre du tout mien ? 5. Je vois les deux chemins, et ce mal, et de bien : 6. Je sais que la vertu m'appelle à la main dextre, 7. Et toutefois il faut que je tourne à semestre, 8. Pour suivre un traître espoir, qui m'a fait du tout sien. 9. Et...
- François VILLON (1431-x) (Recueil : Poésies diverses) - Ballade du concours de Blois
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Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - L'empreinte
Sujet: Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le cœur innombrable) - L'empreinte Je m'appuierai si bien et si fort à la vie, D'une si rude étreinte et d'un tel serrement, Qu'avant que la douceur du jour me soit ravie Elle s'échauffera de mon enlacement. La mer, abondamment sur le monde étalée, Gardera, dans la route errante de son eau, Le goût de ma douleur qui est âcre et salée Et sur les jours mouvants roule comme un bateau. Je laisserai de moi dans le pli des collines La chaleur de mes yeux...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - Grotesques
Commentaire du poème « Grotesques » (Poèmes Saturniens) de Paul Verlaine Introduction : Ce poème « Grotesques » est extrait des Poèmes Saturniens, premier recueil de Verlaine, publié en 1866. Dans ce recueil, Verlaine se pace sous le signe de Saturne, planète de la mélancolie. Les Saturniens figurent une sorte de communauté imaginaire à laquelle se trouvent associés tous ceux qui subissent l'influence de la « fauve planète. « Grotesque » prend plus précisément place dans la section « Eaux-Fortes...
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Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - L'art
Commentaire du poème « L’Art » de Théophile Gautier Introduction : Ce poème de Théophile Gautier intitulé « L’Art » clôt le recueil Emaux et Camées publié en 1852, recueil qui se présente comme le sommet de l’art poétique de ce poète et écrivain du XIXe siècle. Avec ce recueil, Théophile Gautier se présente comme le fondateur d’un nouveau mouvement : Le Parnasse. Projet de lecture : En quoi ce poème se présente-t-il comme un art poétique voire un manifeste du mouvement parnassien ? I) Le culte...
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Hector de SAINT-DENYS GARNEAU (1912-1943) (Recueil : Les solitudes) - Ma maison
Hector de SAINT DENYS GARNEAU, Les Solitudes, « Ma maison ». 1. Je veux ma maison bien ouverte, 2. Bonne pour tous les miséreux. 3. Je l'ouvrirai à tout venant 4. Comme quelqu'un se souvenant 5. D'avoir longtemps pâti dehors, 6. Assailli de toutes les morts 7. Refusé de toutes les portes 8. Mordu de froid, rongé d'espoir 9. Anéanti d'ennui vivace 10. Exaspéré d'espoir tenace 11. Toujours en quête de pardon 12. Toujours en chasse de péché. Poète Hector de Saint-Denys Garneau (1912-1943) : poète...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - Effet de nuit
Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) – « Effet de nuit » Introduction : Le poème « Effet de nuit » se trouve dans la section « Eaux Fortes » du recueil de Verlaine, Poèmes saturniens, publié en 1866. Dans ce recueil, Verlaine se pace sous le signe de Saturne, planète de la mélancolie. Les Saturniens figurent une sorte de communauté imaginaire à laquelle se trouvent associés tous ceux qui subissent l'influence de la « fauve planète. » La section « Eaux Fortes » au sein de laqu...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Le Crucifix
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Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Marcher d'un grave pas, et d'un grave sourcil
Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Marcher d'un grave pas, et d'un grave sourcil Marcher d'un grave pas, et d'un grave sourcil, Et d'un grave souris à chacun faire fête, Balancer tous ses mots, répondre de la tête, Avec un Messer non, ou bien un Messer si : Entremêler souvent un petit E cosi, Et d'un Son Servitor contrefaire l'honnête, Et comme si l'on eût sa part en la conquête, Discourir sur Florence, et sur Naples aussi : Seigneuriser chacun d'un baisement de main, Et sui...
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José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Sur le Livre des Amours de Pierre de Ronsard
Sujet: José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Sur le Livre des Amours de Pierre de Ronsard Jadis plus d'un amant, aux jardins de Bourgueil, A gravé plus d'un nom dans l'écorce qu'il ouvre, Et plus d'un coeur, sous l'or des hauts plafonds du Louvre, A l'éclair d'un sourire a tressailli d'orgueil. Qu'importe ? Rien n'a dit leur ivresse ou leur deuil. Ils gisent tout entiers entre quatre ais de rouvre Et nul n'a disputé, sous l'herbe qui les couvre, Leur inerte poussière à l'o...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - L'immensité de l'humanité
Commentaire composé du poème de Verlaine : « L’immensité de l’humanité » Introduction : Ce poème est extrait du recueil Sagesse que Paul Verlaine publia en 1881 à sa sortie de prison. Ce recueil expose la double conversion morale et mystique du poète à sa sortie de prison. Il s’agit d’un poème très court de trois quatrains et très composé, décrivant l’humanité depuis une position surplombante. Verlaine semble y faire un état des lieux voire y dresser le bilan de l’humanité. Projet de lecture : E...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Beams
Paul VERLAINE, Romances sans paroles, Aquarelle, « Beams ». 1. Elle voulut aller sur les bords de la mer, 2. Et comme un vent bénin soufflait une embellie, 3. Nous nous prêtâmes tous à sa belle folie, 4. Et nous voilà marchant par le chemin amer. 5. Le soleil luisait haut dans le ciel calme et lisse, 6. Et dans ses cheveux blonds c'étaient des rayons d'or, 7. Si bien que nous suivions son pas plus calme encor 8. Que le déroulement des vagues, ô délice ! 9. Des oiseaux blancs volaient...
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José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - La Trebbia
Sujet: José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - La Trebbia L'aube d'un jour sinistre a blanchi les hauteurs. Le camp s'éveille. En bas roule et gronde le fleuve Où l'escadron léger des Numides s'abreuve. Partout sonne l'appel clair des buccinateurs. Car malgré Scipion, les augures menteurs, La Trebbia débordée, et qu'il vente et qu'il pleuve, Sempronius Consul, fier de sa gloire neuve, A fait lever la hache et marcher les licteurs. Rougissant le ciel noir de flamboiements lug...
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le Léthé
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Le Léthé ». 1. Viens sur mon coeur, âme cruelle et sourde, 2. Tigre adoré, monstre aux airs indolents ; 3. Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants 4. Dans l'épaisseur de ta crinière lourde ; 5. Dans tes jupons remplis de ton parfum 6. Ensevelir ma tête endolorie, 7. Et respirer, comme une fleur flétrie, 8. Le doux relent de mon amour défunt. 9. Je veux dormir ! dormir plutôt que vivre ! 10. Dans un sommeil aussi doux que la mort, 11. J'étalerai m...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Vers pour être calomnié
Paul VERLAINE, Jadis et naguère, « Vers pour être calomnié ». Ce soir je m'étais penché sur ton sommeil. Tout ton corps dormait chaste sur l'humble lit, Et j'ai vu, comme un qui s'applique et qui lit, Ah ! j'ai vu que tout est vain sous le soleil ! Qu'on vive, ô quelle délicate merveille, Tant notre appareil est une fleur qui plie ! O pensée aboutissant à la folie ! Va, pauvre, dors ! moi, l'effroi pour toi m'éveille. Ah ! misère de t'aimer, mon frêle amour Qui vas respirant comme on respire un...
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Bohémiens en voyage
Les Fleurs du Mal : « Bohémiens en voyage » - Charles Baudelaire Introduction : Ce sonnet régulier, de forme italienne, est extrait du célèbre recueil de Baudelaire édité en 1857 : Les Fleurs du mal. Treizième pièce du recueil, précédée de « la vie antérieure » et suivie de « l'homme et la mer », ces bohémiens en voyage s'inscrivent dans la section « Spleen et idéal » et participent de cette dualité toujours en tension chez Baudelaire. Notons que Baudelaire s'est notamment inspiré d'une célèbre...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Le golfe de Baya,
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Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - Caerulei oculi
Introduction : Emaux et Camées est un recueil poétique de Théophile Gautier publié en 1852 qui se présente comme le sommet de l’art poétique de ce poète et écrivain du XIXe siècle. Avec ce recueil, Théophile Gautier se présente comme le fondateur d’un nouveau mouvement : Le Parnasse. Le poème « Caerulei Oculi », que l’on peut traduire par « les yeux d’azur », évoque, dans une tonalité lyrique, la poursuite par le poète d’une femme insaisissable et mystérieuse. Projet de lecture : En quoi ce poèm...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Dans l'interminable ennui de la plaine
Paul Verlaine, Romances sans paroles, Ariettes oubliées, VII, « Dans l’interminable ». 1. Dans l’interminable 2. Ennui de la plaine 3. La neige incertaine 4. Luit comme du sable. 5. Le ciel est de cuivre 6. Sans lueur aucune 7. On croirait voir vivre 8. Et mourir la lune. 9. Comme des nuées 10. Flottent gris les chênes 11. Des forêts prochaines 12. Parmi les buées. 13. Le ciel est de cuivre 14. Sans lueur aucune 15. On croirait voir vivre 16. Et mourir la lune. 17. Corneille poussive 18. Et vou...
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Expliquer le sonnet qu'en 1828 Sainte-Beuve consacrait à Ronsard, en publiant un recueil de ses Oeuvres choisies.
Expliquer le sonnet qu'en 1828 Sainte-Beuve consacrait à Ronsard, en publiant un recueil de ses Oeuvres choisies. A toi, Ronsard, à toi, qu'un sort injurieux Depuis deux siècles, livre aux mépris de l'histoire, J'élève de mes mains l'autel expiatoire Qui te purifiera d'un arrêt odieux. Non que j'espère encore, au trône radieux D'où jadis tu régnais, replacer ta mémoire; Tu ne peux de si bas remonter à la gloire ; Vulcain impunément ne tomba point des cieux. Mais qu'un peu de pitié console enfin...
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Saison des semailles. Le soir
1. Localisation du morceau. C e morceau, justement célèbre, est l'un des plus beaux que renferme le recueil : Les C hansons des rues et des bois (1865). Victor Hugo y tente une nouvelle voie : sa muse, qui s'était faite, tour à tour, lyrique, dramatique, satirique, épique, se veut ici plus familière, elle cherche à se détendre dans la poésie populaire; il veut « mettre Pégase au vert ». Depuis Les Misérables, le poète est soulevé par une grande sympathie fraternelle pour le peuple des travailleu...
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De La Rochefoucauld, Recueil des portraits et éloges « Autoportrait »
François de La Rochefoucauld, Recueil des portraits et éloges, autoportrait. Je suis d’une taille médiocre, libre et bien proportionnée. J’ai le teint brun mais assez uni, le front élevé et d’une raisonnable grandeur, les yeux noirs, petits et enfoncés, et les sourcils noirs et épais, mais bien tournés. Je serais fort empêché à dire de quelle sorte j’ai le nez fait, car il n’est ni camus ni aquilin, ni gros, ni pointu, au moins à ce que je crois. Tout ce que je sais, c’est qu’il est plutôt gran...
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- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Mélancolie) - Je me souviens de mon enfance
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Paul VERLAINE (1844-1896) - Recueil : Sagesse
DISSERTATION RÉDIGÉE On peut emprisonner les oiseaux, opposer à leur soif de liberté les barreaux d'une cage, les oiseaux chantent toujours. Seulement, leur chant se fait plainte, appel, sanglot. Leurs ailes frémissent, se heurtent au fer de la cage et si leur ivresse de ciel se délivre, leur corps se meurtrit sans cesse. Us ne peuvent ' plus que contempler le triste filet de sang qui coule de leurs ailes déchirées. Verlaine est de ces oiseaux perpétuellement en quête de bonheur (d'un bonheur qu...
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Primevère) - Que je repose en toi...
- Alphonse BEAUREGARD (1881-1924) (Recueil : Les forces) - Concordances
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Dédicaces) - A un passant
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - L'interprète
- Alphonse BEAUREGARD (1881-1924) (Recueil : Les alternances) - Évocation
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Tête de faune
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- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Nuit d'été
- Alphonse BEAUREGARD (1881-1924) (Recueil : Les forces) - L'arbre mort
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Oraison du soir
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Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Odelettes) - Fantaisie
Nerval - Odelettes « Fantaisie » Il est un air pour qui je donnerais Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber, Un air très vieux, languissant et funèbre, Qui pour moi seul a des charmes secrets. Or, chaque fois que je viens à l'entendre, De deux cents ans mon âme rajeunit : C'est sous Louis treize ; et je crois voir s'étendre Un coteau vert, que le couchant jaunit, Puis un château de brique à coins de pierre, Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs, Ceint de grands parcs, avec une r...
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Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Les chimères) - Artémis
Commentaire composé du poème « Artémis » de Gérard de Nerval Introduction : « Artémis » est un sonnet de Gérard de Nerval extrait des Chimères, recueil de sonnets qui parut en 1853. Notre sonnet est centré autour du personnage d’Artémis, déesse grecque de la chasse, fille de Zeus et de Léto, et déesse souvent associée à la lune. Artémis se présente comme une divinité marginale et ambiguë : elle a sa place dans les zones où les frontières sont floues, entre monde sauvage te monde civilisé et est...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Edition des souscripteurs) - Un nom
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - La nature
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Extase
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- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - Le vieux pont
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Illuminations) - Mouvement
Les Illuminations, « Mouvement », Arthur Rimbaud Introduction : Rimbaud a dix-neuf ans lorsqu’il entreprend l’écriture de ses derniers poèmes qui constitueront les Illuminations. En 1875, à vingt ans, il choisit le silence. Dans ce recueil Rimbaud renouvelle en profondeur tous les codes de l’écriture poétique. Il met à mal les formes traditionnelles pour se livrer à un véritable travail sur le langage, il exploite les rapports entre la forme du poème et le fond, entre le signifiant et le signifi...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les orientales) - Novembre
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Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Autres vers) - Mendiants
Germain NOUVEAU, Autres vers, « Mendiants ». 1. Pendant qu'hésite encor ton pas sur la prairie, 2. Le pays s'est de ciel houleux enveloppé. 3. Tu cèdes, l'oeil levé vers la nuagerie, 4. A ce doux midi blême et plein d'osier coupé. 5. Nous avons tant suivi le mur de mousse grise 6. Qu'à la fin, à nos flancs qu'une douleur emplit, 7. Non moins bon que ton sein, tiède comme l'église, 8. Ce fossé s'est ouvert aussi sûr que le lit. 9. Dédoublement sans fin d'un typique fantôme, 10. Que l'or de ta pr...
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Melancholia
Demande d'échange de corrigé de Faramond Victor ([email protected]). Sujet déposé :Commentaire rédigé sur Mélancholia de Victor Hugo. Le poème Mélancholia, apparaît dans le recueil des Contemplations, au livre III, dans la section « Les luttes et les Rêves », écrit et publié par Victor Hugo en avril 1856. Le poète engagé dans les causes sociales de son époque, dénonce dans ce texte le travail des jeunes enfants, soumis à la folie des hommes cupides. Nous allons étudier les différents moyens utilis...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les blés mouvants) - Les ombres
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les forces tumultueuses) - Les vents
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Les morts
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- Claude-Joseph DORAT (1734-1780) (Recueil : Les baisers) - La convention
- Louis CHADOURNE (1890-1925) (Recueil : Accords) - Jardins de novembre