38 résultats pour "sais"
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Romances) - Je ne sais plus, je ne veux plus
- Antoine de LA SABLIERE (1624-1679) - Je ne sais pas, Iris, à quoi mon coeur s'attend
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Je sais bien qu'il est d'usage...
- Alice de CHAMBRIER (1861-1882) (Recueil : Au-delà) - Et sais-tu que toi-même...
- Antoine de LA SABLIERE (1624-1679) - Je sais que ma joie est prochaine
- Jean GODARD (1564-1630) - Je ne sais à quoi vous pensez
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Sais-tu pourquoi de te voir j'eus envie
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- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Je sais là-bas une vierge rose
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Je sais, quand le midi leur fait désirer l'ombre
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le collier de griffes) - Je sais faire des vers perpétuels
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Vous écrirez un dialogue de comédie dans lequel un Monsieur Jourdain contemporain se vante devant un ami d'un savoir récemment acquis. Vous pourrez utiliser certains procédés comiques présents dans les textes du corpus. Vous veillerez à employer un niveau de langue approprié aux personnages et à la situation ?
Vous écrirez un dialogue de comédie dans lequel un Monsieur Jourdain contemporain se vante devant un ami d'un savoir récemment acquis. Vous pourrez utiliser certains procédés comiques présents dans les textes du corpus. Vous veillerez à employer un niveau de langue approprié aux personnages et à la situation. Vous devez commencer par trouver de quel savoir peut se vanter M. Jourdain. Voici quelques idées. Il peut se vanter : – d'avoir appris à utiliser Internet ; – d'avoir appris à skier, faire...
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Saint Paul
Saint Paul Deux événements commandent la vie de saint Paul et n'ont cessé d'être à l'origine d'une double inspiration pour l'Apôtre et d'une double tradition pour la Chrétienté. Le premier réfléchit dans la nouvelle religion le thème de la foi, et le second le thème antithétique ou du moins difficilement conciliable de la transformation. D'abord le Christ ressuscité lui apparaît sur le chemin de Damas et Saül, persécuteur pharisien des Chrétiens, devient Paul, apôtre des Gentils. Cette conversi...
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La Leçon d'Ionesco : en quoi s'agit-il d'une satire de l'enseignement ?
Analyse du sujet et problématisation : Composée en juin 1950, La Leçon fut créée le 20 février 1951 au théâtre de Poche et publiée aux Editions Arcanes en 1953. Cette pièce met en scène la relation pédagogique entre un professeur et son élève de façon caricaturale. En quoi peut-on dire que cette pièce est une satire de l'enseignement ? Par le terme « satire », on entendra une œuvre dont l'objectif est de ridiculiser son sujet afin de le critiquer. La satire est un genre littéraire polémique util...
- Commentez, en vous appuyant sur le texte des « Pensées », cette réflexion de Chateaubriand : « Les sentiments de Pascal sont remarquables surtout par la profondeur de leur tristesse et par je ne sais quelle immensité. »
- Pensez-vous, comme Marcel Proust, que le poète est celui qui nous permet de saisir "les nuances" et que, grâce aux artistes et aux poètes, le "monde (qui n'a pas été créé une fois mais aussi souvent qu'un artiste original est survenu) nous apparaît entièrement différent de l'ancien mais parfaitement clair" ?
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Étudiez cette définition du romantisme que Musset met ironiquement dans la bouche d'un clerc d'avoué : « Le romantisme, mon cher monsieur, mais à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités, ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. Vous saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne, la fleur qui vole
[Introduction] Le drame romantique s'inscrit dans la rupture que les jeunes écrivains romantiques veulent marquer avec l'esthétique du classicisme. Dans cette mesure, on comprend que Musset s'insurge contre une tentative de définition réductrice d'un élan naissant : « Non [...], ce n'est ni le mépris des unités ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. » Mais, lui, le poète, peut tenter de dire l'indicible en multipliant les images, les antithèses, en évoq...
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GIRAUDOUX - La Guerre de Troie n'aura pas lieu - Acte 1
[Giraudoux situe l'action de La Guerre de Troie n'aura pas lieu, juste avant la déclaration de guerre. Hector, revenant d'une campagne qu'il souhaite être la dernière, essaie d'éviter que les Grecs et les Troyens se battent à cause d'Hélène : il a convaincu peu à peu son entourage de la nécessité où l'on se trouve de restituer la jeune femme à son mari. Reste à persuader l'intéressée elle-même : c'est le sujet de la scène présente.] Hector. — Choisissez-vous le départ, oui ou non ? Hélène. — Ne...
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Molière, L'École des femmes, Acte III, scène 4
Sujet: Molière, L'École des femmes, Acte III, scène 4 L’École des femmes (comédie en 5 actes) est l’une des rares pièces de Molière qui s’ancre dans la réalité de son époque. En effet, il s’agit d’une œuvre où évoluent des personnages qui apparaissent comme ses contemporains. Comme dans nombreuses de ses pièces, Molière y glisse une leçon de vie. HORACE lit. « Je veux vous écrire, et je suis bien plus en peine par où je m'y prendrai. J'ai des pensées que je désirerais que vous sussiez ; mais je...
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Dans une lettre à sa soeur Pauline Beyle, datée du 3 aout 1804 , Stendhal écrit : Tu sais bien que, dans les romans, l'aventure ne signifie rien:elle émeut, et voila tout ;elle n'est bonne ensuite qu' à oublier. Ce qu'il faut, au contraire,se rappeler, ce sont les caractères. Expliquez l'importance des caractères.
Demande d'échange de corrigé de gaudino claude ([email protected]). Sujet déposé : Dans une lettre à sa soeur Pauline Beyle, datée du 3 aout 1804 , Stendhal écrit : "Tu sais bien que, dans les romans, l'aventure ne signifie rien: elle émeut, et voila tout ;elle n'est bonne ensuite qu' à oublier. Ce qu'il faut, au contraire,se rappeler, ce sont les caractères." Expliquez l'importance des caractères. C' est souvent dans les préfaces à leurs oeuvres que les romanciers justifient leurs choi...
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Mark Twain
Mark Twain Je n'en sais pas bien long sur Mark Twain ; car n'étant, quant à moi, ni lecteur ni critique, je n'ai pas lu un seul de ses livres. J'ai bien l'intention de lire quelque jour, lorsque j'aurai moi-même fini d'écrire, ses nouvelles et menus récits, de même que sa biographie : n'écrivant alors plus moi-même, j'apprendrai quelque chose sur sa vie et son oeuvre, mais il me manquera l'occasion d'en parler. Et c'est pourquoi j'écris aujourd'hui : parce que l'occasion m'en est offerte. Mais q...
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De La Rochefoucauld, Recueil des portraits et éloges « Autoportrait »
François de La Rochefoucauld, Recueil des portraits et éloges, autoportrait. Je suis d’une taille médiocre, libre et bien proportionnée. J’ai le teint brun mais assez uni, le front élevé et d’une raisonnable grandeur, les yeux noirs, petits et enfoncés, et les sourcils noirs et épais, mais bien tournés. Je serais fort empêché à dire de quelle sorte j’ai le nez fait, car il n’est ni camus ni aquilin, ni gros, ni pointu, au moins à ce que je crois. Tout ce que je sais, c’est qu’il est plutôt gran...
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Qu'est-ce qui fait la spécificité d'un personnage de roman ? (S'appuyer sur les Liaisons dangereuses de Laclos et sur d'autres lectures) ?
Un personnage de roman a de multiples facettes. Ses traits de caractère dépendent directement du choix de l'écrivain, puis implicitement du courant littéraire, des mœurs et de l'époque dans lequel l'auteur évolue ou décide de faire évoluer son personnage. C'est pourquoi, face à un si vaste choix, il est intéressant de faire la lumière sur ce type de personnage. Cette étude a donc pour objet d'analyser plus particulièrement l'intérêt du ou des personnages des Liaisons dangereuses ainsi que ceux d...
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Georges Bernanos, Sous le soleil de Satan
M'aimes-tu ? » dit-elle tout à coup d'une voix où la plainte se faisait étrangement grave et dure. Puis elle ajouta aussitôt : Je te demande ça à cause d'une idée que j'ai dans la tête. Quelle idée ? M'aimes-tu ? » reprit-elle soudain de la même voix. En même temps, elle se levait, toute vibrante, ridiculement nue dans son manteau entrouvert, nue et menue, et dans les yeux ce même regard d'où l'orgueil était tombé. ... Réponds-moi ? dit-elle encore, réponds-moi vite ! Voyons... Germaine... Rien...
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Montaigne (1533-1592)
En 1554, il est nommé conseiller à la cour des aides de Périgueux. Trois ans plus tard, il est au parlement de Bordeaux. Il y rencontre Etienne de La Boétie. Seule la mort de ce dernier met fin à leur amitié. En 1561 et 1562, il fait des voyages à la cour, envoyé par le parlement de Bordeaux, en raison des troubles religieux. C'est peu après son retour que meurt La Boétie. En 1565, il se marie à Françoise de La Chassagne. Trois ans plus tard, il hérite, à la mort de son père, des terres et du ti...
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Nathalie SARRAUTE, Le planétarium
« Qui est là? — C'est moi, ton frère, c'est Pierre... » Il entend comme un pépiement, un remue-ménage heureux, un déclic rapide, un bruit de chaîne léger, joyeux, la porte s'ouvre... « Ah, c'est toi... » Il avait oublié ce regard sous les paupières usées, fardées, un bon regard d'où ruisselle une tendre émotion... « C'est toi, Pierre... Mais bien sûr que tu ne me déranges pas... Je suis contente de te voir, tu viens si rarement... Mais fais voir un peu, que je te regarde, que je regarde un peu l...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Choses du soir
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Je ne me mets pas en peine
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Qui dira ma robe fourrée
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Les plus désemparés sont les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. Musset, Nuit de Mai ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus b e a u x Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt d e réaction contre cette culture. Musset souffre — c o m m e...
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Il paraît qu'il est immoral de parler de soi. Moi je ne sais guère que parler de moi. Le moi n'est pas du tout haïssable, bien au contraire, écrit Paul Léautaud dans son Journal. Qu'en pensez-vous ?
Blaise Pascal dans une formule célèbre des Pensées proclame que « le moi est haïssable ». Il s'en explique au nom de valeurs morales : « En un mot, le moi a deux qualités : il est injuste en soi, en ce qu'il se fait centre de tout ; il est incommode aux autres, en ce qu'il les veut asservir : car chaque moi est l'ennemi et voudrait être le tyran de tous les autres ! » (VII, 455). C'est pourquoi Pascal condamne les Essais de Montaigne : « Le sot projet qu'il a de se peindre ! » (II, 62). Trois si...
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Commentez, en vous appuyant sur le texte des « Pensées », cette réflexion de Chateaubriand : « Les sentiments de Pascal sont remarquables surtout par la profondeur de leur tristesse et par je ne sais quelle immensité. » ?
INTRODUCTION Les philosophes du XV IIIe siècle réagirent parfois violemment contre Pascal. V oltaire réfuta ses thèses, et le présenta comme un ennemi du bonheur humain. On ne songe plus guère aujourd'hui à lui adresser ce reproche : depuis le Romantisme, les lecteurs apprécient davantage le pessimisme des Pensées, et beaucoup pourraient prendre à leur compte cette remarque de C hateaubriand dans le Génie du C hristianisme : « Les sentiments de Pascal sont remarquables surtout par la profondeur...
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« Les plus désespérés sont les chants les plus beaux. Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots » (Musset, La Nuit de Mai) Que pensez-vous de cette conception de la poésie ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt de réaction contre cette culture. Musset souffre — comme les autr...
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« Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots » (Musset, La Nuit de Mai). Que pensez-vous de cette conception de la poésie ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt de réaction contre cette culture. Musset souffre — comme les autr...
- Bernard Clavel, L'Espagnol.
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Vigny écrit dans le Journal d'un poète : « J'aime peu la comédie, qui tient toujours plus ou moins de la charge et de la bouffonnerie.» Il précise plus loin sa pensée en disant: «Je sais apprécier la charge dans la comédie, mais elle me répugne parce que, dans tous les arts, elle enlaidit et appauvrit l'espèce humaine et, comme homme, elle m'humilie. » ?
Vigny écrit dans le Journal d'un poète : « J'aime peu la comédie, qui tient toujours plus ou moins de la charge et de la bouffonnerie.» Il précise plus loin sa pensée en disant: «Je sais apprécier la charge dans la comédie, mais elle me répugne parce que, dans tous les arts, elle enlaidit et appauvrit l'espèce humaine et, comme homme, elle m'humilie. » La comédie, de tous temps, a soulevé bien des controverses. Elle a eu d'ardents partisans comme d'acharnés détracteurs. On a pu vouloir lui confé...
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Les plus désespérés sont les chants les plus beaux./Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots écrit Alfred de Musset (1810-1857) dans sa Nuit de mai. Commentez et discutez cette affirmation en vous appuyant sur le corpus et sur les poèmes que vous connaissez. Pensez-vous que le poète soit condamné à l'incompréhension et que la source de la poésie se trouve le plus souvent dans la souffrance ?
Introduction. Depuis le romantisme, non seulement bien des oeuvres poétiques sont consacrées à la souffrance, mais encore beaucoup de poètes vont jusqu'à croire qu'elle est par excellence la source de l'inspiration : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » I. La théorie romantique de la souffrance, notamment chez Musset. 1. D'abord un problème de culture, ou plutôt d e réaction contre cette culture. Musset souffre — comme les aut...
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Pierre Jean Jouve
Pierre Jean Jouve 1887-1976 L'on s'accorde à dire que Baudelaire est à l'origine du mouvement poétique contemporain. Marcel Raymond ajoute que ce mouvement est double : qu'il comprend les artistes — c'est la filière Valéry-Mallarmé, et les voyants — c'est la filière qui va de Rimbaud aux "chercheurs d'aventures". Parmi ceux-ci, il range Jouve. Cependant il juge ainsi en 1933, quand Sueur de Sang vient de paraître : poème qui s'avance si vertigineusement dans l'homme souterrain que les mots en ef...