39 résultats pour "sang"
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Noces de sang de Federico Garcia Lorca
Noces de sang de Federico Garcia Lorca Bodas de sangre, pièce en trois actes de Federico Garcia Lorca, écrite en 1933. Contexte Mêlant la dramaturgie et la poésie, Noces de sang, qui connut un grand succès notamment en Argentine, renoue avec les thèmes traditionnels de l'honneur, du désir et du sang. Son langage violent, tantôt dépouillé, tantôt lyrique, dans lequel pèse une inéluctable fatalité, lui confère une grande intensité. Principaux personnages - La fiancée, sincère et pure, consciente d...
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François Tristan L'HERMITE (1601-1655) (Recueil : Les Amours de Tristan) - La plainte écrite de sang
François Tristan L'Hermite, Les Amours de Tristan, « La plainte écrite de sang ». 1. Inhumaine beauté dont l'humeur insolente 2. En méprisant mes voeux se rit de ma langueur, 3. Je veux convaincre ici ton ingrate rigueur 4. Par les vifs arguments d'une raison sanglante. 5. Ces vers sont de ma flamme une preuve évidente, 6. Et tous ces traits de pourpre en font voir la grandeur, 7. Cruelle, touche-les pour en sentir l'ardeur, 8. Cette écriture fume, elle est encore ardente. 9. Vois nager dans le...
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'Hécatombe à Diane) - Je brûle avec mon âme et mon sang rougissant
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Dies irae
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - Mon sang est tout gelé, je n'ai plus dans le coeur
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Primevère) - Que ton fruit de sang qui loge en mon sein
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - A longs filets de sang ce lamentable corps
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Un jour je vis le sang couler de toutes parts
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- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - Le vin de l'Amour
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - De mon sang exhalé toute l'humeur périe
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Conseils au solitaire
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Eté des vieilles joies
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Cours sur Le Sang des Promesses - Mouawad
Le Sang des Promesses - Mouawad Littoral 1999 - Incendies 2003 - Forêt 2006 - Ciels 2009 —> Construit comme un opéra —> Les quatre éléments avec lesquels on crée un cosmos : œuvre littéraire comme lieu pour être Manières littérale et métaphorique à l’eau, au feu, à la terre et au ciel = univers cohérent qui donne à voir une poésie contemporaine (= Racine) de l’ordre de la convulsion, beauté convulsive (destruction et création / l’horreur et la douleur;amour) TITRE : -sang, symbole de...
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GUILLOUX, Louis
GUILLOUX, Louis (15 janvier 1899-14 octobre 1980) Ecrivain Seul romancier français à qui la plupart des critiques et des spécialistes aient reconnu la dimension des écrivains russes, Louis Guilloux est né le 15 janvier 1899 à Saint-Brieuc (dans les Côtes d'Armor, alors dites Côtes du Nord). Son père, socialiste convaincu, était cordonnier. Tout un milieu, une origine qui ont marqué à jamais ce jeune boursier du lycée de Saint-Brieuc qui débarque à Paris en 1918 et entre à l'Intransigeant. Antifa...
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La lyre
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La nuit
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- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La colombe blessée
- Maurice DU PLESSYS (1864-1924) (Recueil : Les tristes) - L'élégie du sang des colombes
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - La maison dort
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - La voix du soir
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - A la Forêt de Fontainebleau
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Le sang de la coupe) - La Toison d'Or
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Pierre CORNEILLE (1606-1684), Rodogune , princesse des Parthes (1644) : Acte V, scène 1 : monologue de Cléopâtre
Pierre CORNEILLE (1606-1684), Rodogune , princesse des Parthes (1644) : Acte V, scène 1 : monologue de Cléopâtre Acte V, scène 1 : Cléopâtre CLEOPATRE Enfin, grâces aux dieux, j’ai moins d’un ennemi : La mort de Séleucus m’a vengée à demi ; Son ombre, en attendant Rodogune et son frère, Peut déjà de ma part les promettre à son père ; Ils le suivront de près, et j’ai tout préparé Pour réunir bientôt ce que j’ai séparé. O toi, qui n’attends plus que la cérémonie Pour jeter à mes pieds ma rivale pu...
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Les herseurs - sous la lune
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- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Aux temps des dieux
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Lieu de lauriers
- René GHIL (1862-1925) (Recueil : Légendes d'âmes et de sangs) - Les yeux de l'aïeule
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Le vent est doux comme une main de femme
- En 1898, après les premières représentations de Lorenzaccio, Jules Lemaître écrivait : « Le personnage de Lorenzaccio est aussi riche de signification qu'un Faust ou qu'un Hamlet ; comme eux, il figure dans une fable particulière, l'homme, l'éternel inquiet et l'éternel déçu, sous un de ses plus larges aspects. Et ce personnage est une créature vivante, il est de chair, de sang, de nerfs et de bile. » Vous commenterez ce jugement en vous appuyant notamment sur les théories romantiques
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Corneille, Le Cid, Acte IV, scène 3.
Corneille, Le Cid, Acte IV, scène 3. DON RODRIGUE Par mon commandement la garde en fait de même, Et se tenant cachée, aide à mon stratagème ; Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous. Cette obscure clarté qui tombe des étoiles Enfin avec le flux nous fait voir trente voiles ; L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort Les Maures et la mer montent jusques au port. On les laisse passer ; tout leur parait tranquille ; Point de soldats au port...
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Pierre Jean Jouve
Pierre Jean Jouve 1887-1976 L'on s'accorde à dire que Baudelaire est à l'origine du mouvement poétique contemporain. Marcel Raymond ajoute que ce mouvement est double : qu'il comprend les artistes — c'est la filière Valéry-Mallarmé, et les voyants — c'est la filière qui va de Rimbaud aux "chercheurs d'aventures". Parmi ceux-ci, il range Jouve. Cependant il juge ainsi en 1933, quand Sueur de Sang vient de paraître : poème qui s'avance si vertigineusement dans l'homme souterrain que les mots en ef...
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Thierry Maulnier écrit dans son Racine (p. 70, Gallimard, édit.) : « Montrer sur la scène des monstres ou des meurtres, montrer du sang, montrer de brillants costumes ou des foules ou des batailles, tout cela est bon pour des primitifs, des romantiques ou des enfants. La grandeur et la gloire de l'homme sont d'avoir cessé de montrer parce qu'il a appris à dire. L'art le plus affiné et le plus complexe est nécessairement l'art où le langage - honneur des hommes, dit le poète - a la plac
Introduction. Le théâtre a toujours exercé sur les intellectuels un curieux mélange d'attrait et de répulsion. Art du spectacle, parlant aux sens plus qu'à l'esprit, ne connaissant de vrai succès que sous la forme populaire, il relève souvent, aux yeux des gens cultivés, des accusations portées contre l'imagerie facile, la « montre », la parade pour badauds. Cicéron se détournait déjà du déploiement de statues et de tapisseries du théâtre ancien. On connaît de nos jours le mépris témoigné par bi...
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Stéphane MALLARME (1842-1898) - Victorieusement fui ...
Introduction : 1887 Ce sonnet, publié en recueil en 1887, fut envoyé par Mallarmé à Paul Verlaine à la fin de 1885 pour être incorporé à la notice consacrée par lui à Mallarmé dans la série des Hommes d'aujourd'hui que publiait alors l'éditeur Léon Vannier. L’inspiratrice de ce poème est Méry Laurent, une actrice très belle qui était sa voisine rue de Rome est de qui il s’est épris. Projet de lecture : Comment, dans ce poème, la dimension esthétique ouvre sur une évocation lyrique et sensuelle....
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Odes politiques) - Contre la peine de mort
- Corneille, Le Cid, Acte II, scène 8.
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - L'échafaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « L'échafaud ». 1. C’était fini. Splendide, étincelant, superbe, 2. Luisant sur la cité comme la faulx sur l’herbe, 3. Large acier dont le jour faisait une clarté, 4. Ayant je ne sais quoi dans sa tranquillité 5. De l’éblouissement du triangle mystique, 6. Pareil à la lueur au fond d’un temple antique, 7. Le fatal couperet relevé triomphait. 8. Il n’avait rien gardé de ce qu’il avait fait 9. Qu’une petite tache imperceptible et rouge. 10. Le bourreau s’en ét...
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Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les Elégies) - Contre les bucherons de la forest de Gastine
Commentaire de l’élégie de Ronsard : « Contre les bucherons de la forest de Gastine » Introduction : Le texte à commenter est extrait de l’élégie de Ronsard intitulée « Contre les bucherons de la forest de Gastine ». Dans ce poème, Ronsard évoque la destruction de la forêt de Gastine, à côté de laquelle il vit, oscillant entre accusation et mélancolie. Projet de lecture : Comment l’écriture poétique dans ces deux strophes permet le développement d’une argumentation efficace et le passage de la d...
- Pierre CORNEILLE, Cinna, (1640), acte IV, scène 2.
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Vendanges