38 résultats pour "tettes"
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Odes en son honneur) - Mais Sa tête, Sa tête !
- Émile Zola, L'Assommoir, chapitre II (Tête à tête amoureux)
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - La tête du comte
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : L'âme en bourgeon) - La tête
- Flaubert, Un coeur simple - Félicité tomba sur une chaise, en s'appuyant la tête à la cloison...
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Le vallon) - Ma tête, penche-toi sur l'eau blanche...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : L'Olive) - Quand le Soleil lave sa tête blonde
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Ce jour de Mai qui a la tête peinte
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Rabelais fait donner par Gargantua à Pantagruel une éducation encyclopédique : «j'y veux un abîme de science», tandis que Montaigne préfère « une tête bien faite à une tête bien pleine ». Vous apprécierez brièvement les deux systèmes opposés et vous direz ensuite quel vous paraît être l'idéal d'une bonne éducation ?
Rabelais fait donner par Gargantua à Pantagruel une éducation encyclopédique : «J'y veux un abîme de science», tandis que Montaigne préfère « une tête bien faite à une tête bien pleine ». Vous apprécierez brièvement les deux systèmes opposés et vous direz ensuite quel vous paraît être l'idéal d'une bonne éducation. PLAN DÉTAILLÉ Introduction Successivement Rabelais et Montaigne ont exposé un programme d'éducation où se manifeste, avant tout, une réaction contre les méthodes et l'enseigneme...
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : L'âme en bourgeon) - Tu tettes le lait pur...
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Ève pleurait. Ses mains cachaient sa tête pâle
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Dragon à plusieurs têtes,et le Dragon à plusieurs queues
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Zola, Thérèse Raquin, Chapitre IV
Zola, Thérèse Raquin, Chapitre IV Thérèse jouait avec une indifférence qui irritait Camille. Elle prenait sur elle François, le gros chat tigré que Mme Raquin avait apporté de Vernon, elle le caressait d'une main, tandis qu'elle posait les dominos de l'autre. Les soirées du jeudi étaient un supplice pour elle ; souvent elle se plaignait d'un malaise, d'une forte migraine, afin de ne pas jouer, de rester là oisives, à moitié endormie. Un coude sur la table, la joue appuyée sur la paume de la mai...
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Tête de faune
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DIDEROT - portrait peint par Vanloo
INTRODUCTION Dans ce salon de 1767 dont il s'est chargé de faire le compte rendu, Diderot a trouvé son propre portrait, œuvre du peintre Vanloo. Belle occasion de parler de lui, de se confier, de se camper devant le public. Cette aubaine le met en verve. Depuis plus de quinze ans il consacre à Y Encyclopédie le meilleur de son temps : lettres d'affaires, études techniques, propagande, éloge des sciences, des chiffres, du travail manuel, de la mécanique ; ses humeurs personnelles, les saillies de...
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Flaubert, Madame Bovary, I, 9.
Le Bovarysme, se définissant comme une évasion dans l’imaginaire par insatisfaction, doit son nom à l’héroïne Flaubertienne de Madame Bovary, Emma Bovary. Le roman est, en effet, centré sur un personnage qui tente d’échapper à l’ennui et la médiocrité de son mariage en cédant à la rêverie et à la construction fantasmée d’un monde romantique. L’extrait présente la description d’une scène musicale qu’Emma Bovary observe depuis « les vitres de la salle ». A l’image de cette séparation concrète entr...
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Georges Bernanos, Sous le soleil de Satan
M'aimes-tu ? » dit-elle tout à coup d'une voix où la plainte se faisait étrangement grave et dure. Puis elle ajouta aussitôt : Je te demande ça à cause d'une idée que j'ai dans la tête. Quelle idée ? M'aimes-tu ? » reprit-elle soudain de la même voix. En même temps, elle se levait, toute vibrante, ridiculement nue dans son manteau entrouvert, nue et menue, et dans les yeux ce même regard d'où l'orgueil était tombé. ... Réponds-moi ? dit-elle encore, réponds-moi vite ! Voyons... Germaine... Rien...
- Commenter cette phrase de Rousseau, en tête des Confessions: Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et qui n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature et cet homme ce sera moi ?
- Alfred Poisat dit, dans une introduction à une étude sur le symbolisme: Des vers de Musset il n'y a pas grand-chose à dire. Ils sont d'un collégien, extraordinairement bien doué, qui jette sa gourme. Cela n'a souvent ni queue ni tête. La qualité de la pensée n'en fait pas honneur aux lettres. Que pensez-vous de ce jugement ? Ne croyez-vous pas qu'il y a vraiment autre chose à dire des vers de Musset ?
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Michelet, Histoire de France.
Je ne tardai pas à m'apercevoir dans le silence apparent de ces galeries, qu'il y avait un mouvement, un murmure, qui n'était pas de la mort. Ces papiers, ces parchemins laissés là depuis longtemps ne demandaient pas mieux que de revenir au jour [...]. D'abord les familles et les fiefs, blasonnés dans leur poussière, réclamaient contre l'oubli. Les provinces se soulevaient, alléguant qu'à tort la centralisation avait cru les anéantir. Les ordonnances de nos rois prétendaient n'avoir point été ef...
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Un écrivain contemporain écrit : « Le poète a un pied dans la boue, un oeil sur les étoiles et un poignard dans la main. » Cette vision du poète vous parait-elle pouvoir s'appliquer à Victor Hugo dans les poèmes des Châtiments que vous avez étudiés ?
Cette description du poète utilise exclusivement des images, ce qui laisse une certaine marge à l'interprétation : la "boue", ce peut être plusieurs choses : la réalité banale et quotidienne, parfois laide; ou alors plus spécifiquement cet élément peut désigner par métonymie le peuple, c'est-à-dire les petites gens "crottés". Dans les deux cas ce sont des éléments qui n'ont traditionnellement pas vraiment leur place en poésie. "L'oeil sur les étoiles" semble plus conforme au caractère traditionn...
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Un écrivain contemporain écrit : Le poète a un pied dans la boue, un oeil sur les étoiles et un poignard dans la main . Cette vision du poète vous paraît-elle pouvoir s'appliquer à Hugo dans les poèmes de Châtiments que vous avez étudiés ?
Cette description du poète utilise exclusivement des images, ce qui laisse une certaine marge à l'interprétation : la "boue", ce peut être plusieurs choses : la réalité banale et quotidienne, parfois laide; ou alors plus spécifiquement cet élément peut désigner par métonymie le peuple, c'est-à-dire les petites gens "crottés". Dans les deux cas ce sont des éléments qui n'ont traditionnellement pas vraiment leur place en poésie. "L'oeil sur les étoiles" semble plus conforme au caractère traditionn...
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Lettre XXVIII - HUGO - Le Rhin
Depuis la seconde moitié du xviiie siècle surtout, comme en témoigne un texte célèbre de Diderot, les ruines exercent sur le poète une fascination certaine. C'est l'époque aussi où l'on redécouvre l'Histoire, où l'on exhume, par exemple, la ville de Pompéi. Un demi-siècle plus tard, le goût des mines est toujours aussi intense : témoignages du passé, elles sont aussi sublimement belles ; mais plus que celles de l'antiquité gréco-latine, ce sont les mines médiévales qui captent d'abord l'attentio...
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Balzac, Le Lys dans la vallée.
Sujet: Balzac, Le Lys dans la vallée. Aussitôt je sentis un parfum de femme qui brilla dans mon âme comme y brilla depuis la poésie orientale. Je regardai ma voisine, et fus plus ébloui par elle que je ne l'avais été par la fête; elle devint toute ma fête. Si vous avez bien compris ma vie antérieure, vous devinerez les sentiments qui sourdirent en mon coeur. Mes yeux furent tout à coup frappés par de blanches épaules rebondies sur lesquelles j'aurais voulu pouvoir me rouler, des épaules légèreme...
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En quoi l'humour et la dérision vous semblent-ils de bons moyens d'argumenter ?
Définition des termes du sujet Le sujet porte sur le lien existant entre humour et argumentation ; il s'agit d'abord de définir les termes du sujet. On appelle « humour » tout phénomène par lequel un locuteur cherche à faire rire celui à qui il s'adresse ; cela peut prendre plusieurs formes : plaisanterie, ironie, comique physique…Le sujet évoque d'ailleurs une sous-catégorie de l'humour, celle de la dérision, ce mot désignant en particulier une attitude de moquerie. Le sujet porte donc sur l'hu...
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Denis Diderot, Le neveu de Rameau.
Rien ne dissemble plus de lui que lui-même. Quelquefois, il est maigre et hâve comme un malade au dernier degré de la consomption ; on compterait ses dents à travers ses joues. On dirait qu'il a passé plusieurs jours sans manger, ou qu'il sort de la Trappe. Le mois suivant, il est gras et replet, comme s'il n'avait pas quitté la table d'un financier, ou qu'il eût été renfermé dans un couvent de Bernardins. Aujourd'hui, en linge sale, culotte déchirée, couvert de lambeaux, presque sans souliers,...
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Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXIV - Nous sommes à Paris depuis un mois...
Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXIV – « Nous sommes à Paris depuis un mois… » RICA A IBBEN A Smyrne. Nous sommes à Paris depuis un mois, et nous avons toujours été dans un mouvement continuel. Il faut bien des affaires avant qu'on soit logé, qu'on ait trouvé les gens à qui on est adressé, et qu'on se soit pourvu des choses nécessaires, qui manquent toutes à la fois. Paris est aussi grand qu'Ispahan: les maisons y sont si hautes, qu'on jugerait qu'elles ne sont habitées que par des astrolo...
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Le bûcher (Voltaire, Zadig, 1747)
Illustrant parfaitement le genre de l'apologue, le conte philosophique Zadig permet à Voltaire de développer une méditation philosophique et de faire réfléchir le lecteur à travers une fiction « orientale » susceptible de le divertir. Dans ce passage, le sage Zadig, devenu esclave en Arabie d'un marchand nommé Sétoc, parvient à mettre fin à une bien cruelle coutume : le bûcher du veuvage. Ce récit permet à Voltaire de démontrer à quel point certaines traditions sont absurdes et comment le bon se...
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Montaigne (1533-1592)
En 1554, il est nommé conseiller à la cour des aides de Périgueux. Trois ans plus tard, il est au parlement de Bordeaux. Il y rencontre Etienne de La Boétie. Seule la mort de ce dernier met fin à leur amitié. En 1561 et 1562, il fait des voyages à la cour, envoyé par le parlement de Bordeaux, en raison des troubles religieux. C'est peu après son retour que meurt La Boétie. En 1565, il se marie à Françoise de La Chassagne. Trois ans plus tard, il hérite, à la mort de son père, des terres et du ti...
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Anouilh: Antigone face à Créon
[Antigone a désobéi aux ordres du roi Créon, son oncle. Elle a enseveli le corps de Polynice, son frère. Elle encourt, par sa désobéissance, la peine de mort. Dans cette scène, Antigone comparaît devant Créon qui cherche à s'expliquer sa conduite et à lui sauver la vie. Créon la regarde et murmure soudain. — L'orgueil d'Œdipe. Tu es l'orgueil d'Œdipe. Oui, maintenant que je l'ai retrouvé au fond de tes yeux, je te crois. Tu as dû penser que je te ferais mourir. Et cela te paraissait un dénouemen...
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Emile Zola, La Bête humaine (le train fou)
Émile Zola, La Bête humaine, chapitre XII, le train fou. Mais Pecqueux, d'un dernier élan, précipita Jacques ; et celui-ci, sentant le vide, éperdu, se cramponna à son cou, si étroitement, qu'il l'entraîna. Il y eut deux cris terribles, qui se confondirent, qui se perdirent. Les deux hommes, tombés ensemble, entraînés sous les roues par la réaction de la vitesse, furent coupés, hachés, dans leur étreinte, dans cette effroyable embrassade, eux qui avaient si longtemps vécu en frères. On les retro...
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le crapaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « Le crapaud ». 1. Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? 2. Le couchant rayonnait dans les nuages roses ; 3. C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident 4. Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ; 5. Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie, 6. Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ; 7. Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. 8. (Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ? 9. Hélas ! le...
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Extrait des Misérables, de V.Hugo: Cosette est seule dans la forêt, après avoir puisé de l'eau. "Au-dessus de sa tête, le ciel était couvert... de revenir là à la même heure le lendemain"
Le texte soumis à notre étude est extrait d'un ouvrage de Victor Hugo intitulé Les Misérables et paru en 1862, alors que son auteur, également homme politique, mais aussi dramaturge, poète et dessinateur, est en exil. Hugo est reconnu comme le maître du courant romantique, qui marqua la première moitié du XXème siècle. Ce mouvement, par opposition au classicisme, libère les genres du carcan des règles et retrouve un rapport individuel à la nature, seule capable de comprendre les tourments du poè...
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Stéphane MALLARME (1842-1898) - Cantique de saint Jean
Introduction. Ce poème se rattache au cycle d'Hérodiade. Dans la « scène » avec la nourrice, Mallarmé associait de blanches visions à l'image d'une héroïne encore vierge. Il songe ici à Hérodiade devenue impure, à « celle qu'un sang farouche et radieux arrose », comme il l'a désignée déjà dans le poème intitulé Les Fleurs, à celle qui fit décapiter Saint Jean-Baptiste, trop ardent à dénoncer son union honteuse avec son oncle Hérode Antipas. Dans ce « Cantique », la victime est devenue bourreau;...
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Stéphane MALLARME (1842-1898) - Hérodiade - Cantique de saint Jean
Introduction. Ce poème se rattache au cycle d'Hérodiade. Dans la « scène » avec la nourrice, Mallarmé associait de blanches visions à l'image d'une héroïne encore vierge. Il songe ici à Hérodiade devenue impure, à « celle qu'un sang farouche et radieux arrose », comme il l'a désignée déjà dans le poème intitulé Les Fleurs, à celle qui fit décapiter Saint Jean-Baptiste, trop ardent à dénoncer son union honteuse avec son oncle Hérode Antipas. Dans ce « Cantique », la victime est devenue bourreau;...
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Joris-Karl HUYSMANS (1848-1907) (Recueil : Le drageoir aux épices) - Le hareng saur
Introduction : Notre texte est un poème en prose de Joris-Karl Huysmans. Notre poème appartient au recueil Le drageoir aux épices qui est la première œuvre de l’auteur publiée en 1774. Huysmans débute sa carrière dans les lettres en adhérant d’abord au groupe naturaliste. Avec les autres disciples de Zola, il participe aux Soirées de Médan. Il souhaite rendre compte de la réalité dans toute la brutalité des sensations. Assez rapidement, il s’éloigne du groupe car il en demande davantage à l’écri...
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Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - L'Horoscope
Jean de la Fontaine, « L'horoscope », questions. 1. On rencontre sa destinée 2. Souvent par des chemins qu'on prend pour l'éviter. 3. Un père eut pour toute lignée 4. Un fils qu'il aima trop, jusques à consulter 5. Sur le sort de sa géniture 6. Les diseurs de bonne aventure. 7. Un de ces gens lui dit, que des Lions sur tout 8. Il éloignât l'enfant jusques à certain âge ; 9. Jusqu'à vingt ans, point davantage. 10. Le père pour venir a bout 11. D'une précaution sur qui roulait la vie 12. De celui...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - L'échafaud