43 résultats pour "vieux"
-
UNE MORT INTEMPESTIVE - GUY DE MAUPASSANT, Le Vieux.
UNE MORT INTEMPESTIVE - GUY DE MAUPASSANT, Le Vieux. Maître Chicot, la bouche pleine, prononça : S'il nous véyait, l'pé, ça lui f'rait deuil. C'est li qui les aimait d'son vivant. Un gros paysan jovial déclara : Il n'en mangera pu, à c't'heure. Chacun son tour. Cette réflexion, loin d'attrister les invités, sembla les réjouir. C'était leur tour, à eux, de manger des boules. Mme Chicot, désolée de la dépense, allait sans cesse au cellier chercher du cidre. Les brocs se suivaient et se vidaient co...
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Le vieux trouvère
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Les vieux papillons
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Si tristes les vieux quais bordés d'acacias
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les soirs) - Les vieux chênes
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - Vieux de la vieille
- François MAYNARD (1582-1646) - Ton Mary paroist plus vieux
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Vieux quais
-
- Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) (Recueil : Fables) - La jeune poule et le vieux renard
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Poèmes divers) - Tous imberbes alors, sur les vieux bancs de chêne
- Emile NELLIGAN (1879-1941) - Vieux piano
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - Le vieux pont
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - Le vieux pêcheur
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - Deux bons vieux coqs
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flamandes) - Les vieux maîtres
- Léon DIERX (1838-1912) (Recueil : Poëmes et poésies) - Le vieux solitaire
-
- Nérée BEAUCHEMIN (1850-1931) (Recueil : Patrie intime) - Le vieux parler
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Fille du vieux pasteur, qui d'une main agile
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Chat et un vieux Rat
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - J'aime un petit enfant, et je suis un vieux fou.
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage
- Charles NODIER (1780-1844) - Le vieux marinier
- Camille Desmoulins, Le Vieux Cordelier - (n° 4, nivôse An II)
-
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Lion devenu vieux
- José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Sur le Pont-Vieux
-
Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Fêtes galantes) - Colloque sentimental
Ce mélancolique et vaporeux poème est une des pièces des Fêtes galantes. Le « saturnien'" » VERLAINE — ainsi se qualifiait-il —, qui a toujours, pense-t-il, dans sa vie : « bonne part de malheur et bonne part de bile », a d'abord fréquenté le Parnasse, et son premier recueil Poèmes saturniens en porte en partie la marque. Mais bientôt il se sent emporté « de çà de là », et bien loin de la facture sculpturale d'un LECONTE DE LISLE, c'est vers la musicalité t que son inspiration glisse « brume...
-
Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Les horloges
Commentaire du poème d’Emile Verhaeren, « Les Horloges » Introduction « Les horloges « est un poème d’Emile Verhaeren écrit en 1891 et extrait du recueil intitulé Les bords de la route. Ce poème de cinq strophes (quatre quatrains et un sizain) aux vers irréguliers évoque la fuite du temps à travers le thème de l’horloge. Projet de lecture : Comment ce poème exprime-t-il l’angoisse de la fuite du temps ? I) La description des horloges Ce poème se présente comme une description, un portrait mé...
-
Une autobiographie est-elle un objet artistique ?
Une autobiographie est-elle un objet artistique ? Autobiographie : texte dans lequel l'auteur se raconte, raconte sa vie. Est-ce plus proche du documentaire ? ou du texte psychologique ? Est-ce encore un « objet artistique » ? Est-ce encore de la littérature ? Lorsque l'on raconte sa vie, est-on encore dans la littérature ? Ou entre-t-on dans le domaine psychologique ? Historique ? Sociologique ? I- Le parler de soi A- Le genre de l'autobiographie Auto (moi)-bio (vie)- graphie (écrire) : écrire...
-
Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Premiers poèmes) - Veillée d'avril
Jules Laforgue, Poésies Complètes, « Veillée d'avril ». 1. Il doit être minuit. Minuit moins cinq. On dort. 2. Chacun cueille sa fleur au vert jardin des rêves, 3. Et moi, las de subir mes vieux remords sans trêves 4. Je tords mon cœur pour qu'il s'égoutte en rimes d'or. 5. Et voilà qu'à songer, me revient un accord, 6. Un air bête d'antan, et sans bruit tu te lèves 7. Ô menuet, toujours plus gai, des heures brèves 8. Où j'étais simple et pur, et doux, croyant encor. 9. Et j'ai posé ma plume. E...
-
Peut-on dire que Verlaine est exclusivement lyrique ?
Ce sujet amène à creuser la définition du lyrisme : cette tonalité, très présente au XIXe siècle, se caractérise par l'expression d'une subjectivité tourmentée, l'identification de l'intériorité à des paysages naturels, un rythme poétique qui évoque l'épanchement. Il faut se demander ce que devient le lyrisme avec Verlaine, poète du XXe siècle : sa poésie est en effet habitée par une tension entre classicisme (préciosité, vers réguliers et rimés) et modernité (peinture de la ville, tonalité parf...
-
Alfred JARRY, Ubu Roi, acte III, scène 3.
Alfred JARRY, Ubu Roi, acte III, scène 3 et scène 4. Une maison de paysans dans les environs de Varsovie. Plusieurs paysans sont assemblés. UN PAYSAN, entrant : - Apprenez la grande nouvelle. Le roi est mort, les ducs aussi et le jeune Bougrelas s'est sauvé avec sa mère dans les montagnes. De plus, le Père Ubu s'est emparé du trône. UN AUTRE : - J'en sais bien d'autres. Je viens de Cracovie, où j'ai vu emporter les corps de plus de trois cents nobles et de cinq cents magistrats qu'on a tués, et...
-
- Rosemonde GÉRARD (1871-1933) - L'éternelle chanson
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : La forêt bleue) - Jardin d'hiver
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Pèlerinage
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Premiers poèmes) - Premières feuilles
-
Verhaeren – Les Horloges
Introduction. 1. a) Emile Verhaeren : poète flamand de la fin du xixe siècle, début du xxe. b) Les Horloges : poème de forme presque déjà surréaliste sur thème classique : les horloges sont ici le symbole de la fuite du temps. 2. Annonce de plan. I. Description fantastique des horloges. II. La hantise du temps. I. Description fantastique des horloges. A. Des éléments réels d'horloges. 1. Le titre : les Horloges paraît annoncer une description réaliste. 2. Un aspect extérieur. Diverses précisions...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Le sonneur
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Sainte
- Albert Camus, L'Étranger.
-
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Le péché
-
Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La solitude
Marc-Antoine Girard, sieur de Saint-Amant, « La solitude ». 1. Ô ! que j'aime la solitude ! 2. Que ces lieux sacrés à la nuit, 3. Eloignés du monde et du bruit, 4. Plaisent à mon inquiétude ! 5. Mon Dieu! Que mes yeux sont contents 6. De voir ces bois qui se trouvèrent 7. A la nativité du temps, 8. Et que tous les Siècles révèrent, 9. Etre encore aussi beaux et verts, 10. Qu'aux premiers jours de l'Univers ! 11. Que j'aime à voir la décadence 12. De ces vieux châteaux ruinés, 13. Contre qui les...
-
Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le crapaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « Le crapaud ». 1. Que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? 2. Le couchant rayonnait dans les nuages roses ; 3. C'était la fin d'un jour d'orage, et l'occident 4. Changeait l'ondée en flamme en son brasier ardent ; 5. Près d'une ornière, au bord d'une flaque de pluie, 6. Un crapaud regardait le ciel, bête éblouie ; 7. Grave, il songeait ; l'horreur contemplait la splendeur. 8. (Oh ! pourquoi la souffrance et pourquoi la laideur ? 9. Hélas ! le...