49 résultats pour "vivait"
- Anouilh, La Vive
- Charles GILL (1871-1918) (Recueil : Les étoiles filantes) - Vive la Canadienne
- Le Clézio, « Ville vivante », Le livre des fuites, 1969.
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Vous expliquerez cette pensée de Jean Rostand en l'appliquant à l'oeuvre de Ronsard et de Du Bellay : « Dans le domaine spirituel, parmi les oeuvres qui durent, il en est qui demeurent vivantes et pleines de suc, tandis que d'autres ne subsistent que comme de beaux fossiles caractéristiques d'une époque. » ?
Vous expliquerez cette pensée de Jean Rostand en l'appliquant à l'œuvre de Ronsard et de Du Bellay : « Dans le domaine spirituel, parmi les œuvres qui durent, il en est qui demeurent vivantes et pleines de suc, tandis que d'autres ne subsistent que comme de beaux fossiles caractéristiques d'une époque. » Introduction : A la fois biologiste et écrivain, Jean Rostand a établi un savoureux parallèle entre le domaine scientifique et le domaine littéraire. Ainsi compare-t-il le sort des œuvres litté...
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - Je vivais sans coeur...
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Un auteur contemporain déclare : « Peut-être un professeur vivant qui met l'élève en rage est-il préférable à une machine qui le gorge d'informations, mais reste froide comme un serpent. » A l'heure où les ordinateurs se répandent dans les établissements scolaires, vous direz ce que vous pensez de cette opinion.
le libellé Il faut remarquer un léger écart entre la citation et la phrase qui la complète : la première parle de « machine », la seconde « d'ordinateurs ». On peut donc se référer éventuellement à l'audiovisuel, magnétoscopes, etc. Mais l'informatique reste au centre du débat. erreurs à éviter dans l'introduction 1. Pour introduire un sujet, il convient de le replacer dans son contexte. Ici, la constatation de l'extension de l'informatique dans tous les secteurs semble appropriée. Cependant, le...
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Proche de la saison où les plus vives fleurs
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La Bruyere trouvait le caractère de Tartuffe outré et invraisemblable. Il a refait le portrait de l'hypocrite dans Onuphre. Vous comparerez les deux personnages et vous direz lequel vous semble plus vrai, plus vivant, plus dramatique ?
La Bruyère a refait le portrait de l'hypocrite, déjà tracé par Molière. L'intention de critiquer est manifeste : Tartuffe et Onuphre s'opposent trait pour trait. Tartuffe lui semble outré et invraisemblable. Voyons qui a raison du moraliste ou du poète dramatique. I. Certaines exagérations s'expliquent par les nécessités du théâtre. 1. La scène en effet a ses exigences. Elle demande des traits accentués (optique théâtrale). Onuphre qui est discret, adroit, qui vient à ses fins sans se donner la...
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- Loÿs LE CARON (1534-1613) - Tes traitz (Soleil) de leur vive pointure
- Roi FRANÇOIS 1er (1494-1547) - Malgré moi vis, et en vivant je meurs
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le flambeau vivant
- Robert de BONNIÈRES (1850-1905) (Recueil : Contes à la reine) - En ce temps-là vivaient le Roi Charmant
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Un ivoire vivant, une neige animée
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le citadin) - Je vivais au milieu de choses mal unies
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Je vis sourdre d'un roc une vive fontaine
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ah ! Vous êtes mes soeurs, les âmes qui vivez
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- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Bel albâtre vivant qu'un fin crêpe nous cache
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Jean GIRAUDOUX, La Guerre de Troie n'aura pas lieu, II, 5: Hector, Démokos et Priam
RÉSUMÉ A u moment de prononcer le discours aux morts, Hector exprime sa mauvaise conscience de survivant, alors que les soldats à qui il s'adresse sont morts pour la victoire. Il est interrompu par Démokos, choqué par ses paroles apparemment cyniques. Puis il refuse d'égaliser d'une manière fallacieuse tous les morts dans une même admiration. Honteux de leur anéantissement, il s'excuse auprès d'eux de jouir. encore de la douceur de vivre. ANALYSE C e texte est constitué par un discours. M ais l'...
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Jean-Paul SARTRE, préface au guide Nagel sur la Suède.
Nous ne croyons plus qu'il y ait dans une cité, dans une nation, des parties nobles et des parties infâmes. Nous pensons qu'un pays est un organisme complexe dont chaque organe s'explique par tous les autres. Nous pensons qu'une belle ruine est un vestige du passé, mais qu'elle est aussi une partie vivante d'une ville moderne. Nous aimerions savoir ce que les habitants pensent d'elle, s'ils passent avec indifférence le long de ses murs ou s'ils en sont fiers. Mais pour cela il faudrait qu'on nou...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Océan vers) - Vivants
- Cherchez les raisons qui ont fait dire à Napoléon 1er : « Si Corneille vivait encore, j'en aurais fait mon premier ministre. »
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L'esprit philosophique du 18e siècle.
Introduction : Nombreux furent les arts cultivés au xviiie siècle ; nombreuses aussi furent les disciplines littéraires. Cependant, la philosophie compta sans contredit le plus d'adeptes parmi les écrivains du temps. L'évolution de la littérature et les chemins rebattus des genres traditionnels de la Philosophie du xviie siècle (métaphysique, psychologie, morale et quelquefois logique) déterminèrent cette science à s'orienter vers de nouvelles voies, quasi inexplorées. L'un des philosophes les p...
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Leçon 7 : Évolution et classification des êtres vivants
Leçon 7 : Évolution et classification des êtres vivants Les espèces vivantes sont définies par l’ensemble de leurs caractères héréditaires. Certains caractères sont partagés par différentes espèces et définissent des liens de parenté. En classant les espèces en fonction de leur lien de parenté on peut tenter de révéler l’histoire de la vie sur notre Terre. Comment représenter les liens de parentés entre les espèces afin de comprendre la notion d’évolution ? 3ème - SVT - Leçon 7- Activ...
- Selon un critique contemporain, dans le théâtre de Marivaux, on assiste à l'affrontement théâtral de deux langues au moins : la langue des maîtres, dans son élégante simplicité ; la langue plus bariolée, souvent impropre mais plus vivante des valets. ?
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- Au cours de vos lectures, il vous est sans doute arrivé de rencontrer des personnages antipathiques, odieux, révoltants, mais auxquels vous vous êtes vivement intéressé. Vous tâcherez d'analyser les raisons de cette apparente contradiction, en illustrant votre exposé d'exemples précis ?
- Commentez : "À moins de rompre en quelque façon le pacte de solidarité qui le lie à l'oeuvre, le critique n'est capable que de paraphrase ou de pastiche (...) Ainsi, malgré notre désir de nous abîmer dans les profondeurs vivantes de l'oeuvre, nous sommes contraints de nous distancer d'elle pour pouvoir en parler."
- Dans son Dictionnaire des idées reçues, Flaubert écrit, à l'entrée Imagination :Imagination : Toujours vive - s'en défier - Et la dénigrer chez les autres. En quoi cette définition permet-elle d'éclairer l'écriture de son roman Madame Bovary vingt ans auparavant ?
- Dans son Dictionnaire des idées reçues, Flaubert écrit, à l'entrée Imagination : Imagination : Toujours vive - S'en défier - Et la dénigrer chez les autres. En quoi cette définition permet-elle d'éclairer l'écriture de son roman Madame Bovary vingt ans auparavant ?
- Dans une interview où il expliquait son désir de monter l'École des femmes et d'y jouer le rôle d'Arnolphe, le comédien et metteur en scène Marcel Maréchal déclarait : « Agnès est un plaidoyer vivant pour la femme ». En vous appuyant sur des éléments précis tirés du texte, vous expliquerez et éventuellement discuterez cette affirmation. ?
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Dans le journal d'un poète, en 1836, Alfred de Vigny écrivait: Le drame est vrai puisque, dans une action tantôt comique, tantôt tragique, suivant les caractères, il finit avec tristesse comme la vie des hommes puissants de caractère, énergiques de passion. Le drame n'a été appelé bâtard que parce qu'il n'est ni comédie ni tragédie. [...] Mais les vivants sont ainsi. Vous expliquerez cette opinion en l'illustrant à partir des drames romantiques que vous connaissez ?
Stùets traités Dans le Joumol d'uu jJoèlt, en 18.'36, Alrred de Vigny écri,·ait :
- En 1898, après les premières représentations de Lorenzaccio, Jules Lemaître écrivait : « Le personnage de Lorenzaccio est aussi riche de signification qu'un Faust ou qu'un Hamlet ; comme eux, il figure dans une fable particulière, l'homme, l'éternel inquiet et l'éternel déçu, sous un de ses plus larges aspects. Et ce personnage est une créature vivante, il est de chair, de sang, de nerfs et de bile. » Vous commenterez ce jugement en vous appuyant notamment sur les théories romantiques
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Le temps déborde - Paul Eluard
Le temps déborde - Paul Eluard En 1946, Paul Eluard perdait sa femme Nusch, après dix-sept ans de vie commune dans le bonheur : c'est ce souvenir qui a inspiré au poète ce poème. J'ai pris de toi tout le souci tout le tourment Que l'on peut prendre à travers tout à travers rien Aurais-je pu ne pas t'aimer Ô toi rien que la gentillesse Comme une pêche après une autre pêche Aussi fondantes que l'été Tout le souci tout le tourment De vivre encore et d'être absent D'écrire ce poème Au lieu du poème...
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JEAN GIRAUDOUX, La Guerre de Troie n'aura pas lieu, II, 5.
O vous qui ne nous entendez pas, qui ne nous voyez pas, écoutez ces paroles, voyez ce cortège. Nous sommes les vainqueurs. Cela vous est bien égal, n'est-ce pas ? Vous aussi, vous l'êtes. Mais nous, nous sommes les vainqueurs vivants. C'est ici que commence la différence. C'est ici que j'ai honte. Je ne sais si, dans la foule des morts, on distingue les morts vainqueurs par une cocarde. Les vivants, vainqueurs ou non, ont la vraie cocarde. Ce sont leurs yeux. Nous, nous avons deux yeux, mes pauv...
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UNE MORT INTEMPESTIVE - GUY DE MAUPASSANT, Le Vieux.
UNE MORT INTEMPESTIVE - GUY DE MAUPASSANT, Le Vieux. Maître Chicot, la bouche pleine, prononça : S'il nous véyait, l'pé, ça lui f'rait deuil. C'est li qui les aimait d'son vivant. Un gros paysan jovial déclara : Il n'en mangera pu, à c't'heure. Chacun son tour. Cette réflexion, loin d'attrister les invités, sembla les réjouir. C'était leur tour, à eux, de manger des boules. Mme Chicot, désolée de la dépense, allait sans cesse au cellier chercher du cidre. Les brocs se suivaient et se vidaient co...
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Rousseau écrit: La tragédie est si loin de nous, elle nous présente des êtres si gigantesques, si boursouflés, si chimériques que l'exemple de leurs vices n'est guère plus contagieux que celui de leurs vertus n'est utile. Partagez-vous cette condamnation de la tragédie par Rousseau ? Vous appuierez votre argumentation sur des exemples précis tirés des tragédies de RACINE que vous connaissez ?
Sujet : Rousseau écrit: La tragédie est si loin de nous, elle nous présente des êtres si gigantesques, si boursouflés, si chimériques que l'exemple de leurs vices n'est guère plus contagieux que celui de leurs vertus n'est utile. Partagez-vous cette condamnation de la tragédie par Rousseau ? Vous appuierez votre argumentation sur des exemples précis tirés des tragédies de RACINE que vous connaissez ? On connaît la thèse de la Lettre à d'Alembert : le théâtre est pernicieux. La tragédie est funes...
- Dans un entretien accordé au Magazine littéraire, le metteur en scène contemporain Peter Brook affirme : Le théâtre, quel que soit le thème abordé, ce sont des balles jetées par des jongleurs [ ... ]. Le théâtre, c'est du vivant raconté aux vivants. Vous discuterez cette définition du théâtre en vous appuyant sur le corpus et sur vos connaissances personnelles.
- Aussi vivante que nous apparaisse une créature romanesque, il y a toujours en elle un sentiment, une passion, que l'art du romancier hypertrophie pour que nous soyons mieux à même de l'étudier; aussi vivants que ces héros nous apparaissent, ils ont toujours une signification, leur destinée comporte une leçon, une morale s'en dégage qui ne se trouve jamais dans une destinée réelle toujours contradictoire et confuse. Commenter et discuter cette citation de Mauriac.
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Amiel écrit dans son journal: j'ai relu le Cid et Rodogune. c'est puissant, mais on a devant soi des idées héroïques plutôt que des êtres vivants ?
Amiel écrit dans son journal : « J'ai relu le Cid et Rodogune. C'est puissant, mais on a devant soi des idées héroïques plutôt que des êtres vivants. » On peut voir dans ces paroles une condamnation de la psychologie de Corneille en général. En prenant vos exemples dans les pièces de ce poète que vous connaissez le mieux, vous direz si les personnages cornéliens vous paraissent justifier le jugement sévère d'Amiel. On n'a jamais refusé à Corneille la grandeur ni la puissance, tri lui a souvent d...
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Barbe-Bleue de Max Frisch
Barbe-Bleue de Max Frisch Roman de Max Frisch écrit en 1982. Contexte Dernier roman de Max Frisch, Barbe-Bleue évoque, sous la forme d'un roman policier ponctué de flash-backs et de mises en situation imaginaires, le problème de la culpabilité présente en chacun de nous et, au-delà, de l'identité véritable d'un être. Principaux personnages - le docteur Felix Schaad, narrateur, accusé d'avoir tué l'une de ses anciennes épouses ; - Rosalinde Z., la victime. Divorcée, elle vivait du commerce de ses...
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À quelles conditions un récit devient-il un moment de théâtre ?
À quelles conditions un récit devient-il un moment de théâtre ? Analyse du sujet et problématisation : Ce sujet est fondé sur un paradoxe : le récit, texte narratif et descriptif non ancré dans l'immédiateté apparaît au premier abord comme incompatible avec le théâtre, espace de représentation dans lequel la parole et l'intrigue sont incarnées dans un lieu et un moment précis. L'expression « moment de théâtre » insiste sur le caractère instantané de la représentation théâtrale opposé au récit qu...
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Petit Arpent du Bon Dieu (le) d'Erskine Caldwell
Petit Arpent du Bon Dieu (le) d'Erskine Caldwell Roman d'Erskine Caldwell écrit en 1933. Contexte Ecrit après la Route au tabac, le Petit Arpent du Bon Dieu, plus humoristique, humain et optimiste, connut un très grand succès dès sa parution. Principaux personnages - Ty-Ty Walden, obsédé par la recherche de l'or, néglige totalement ses cultures, qu'il laisse entre les mains de ses métayers noirs. Uni par une grande complicité à sa famille, il est également grand admirateur de la beauté de Grisel...
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Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Une charogne
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Une Charogne ». 1. Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, 2. Ce beau matin d'été si doux: 3. Au détour d'un sentier une charogne infâme 4. Sur un lit semé de cailloux, 5. Le ventre en l'air, comme une femme lubrique, 6. Brûlante et suant les poisons, 7. Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique 8. Son ventre plein d'exhalaisons. 9. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, 10. Comme afin de la cuire...
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Flaubert, l'Éducation sentimentale, deuxième partie, chapitre 6
Commentaire d’un extrait de l’Education sentimentale de Flaubert ( Partie II, chap 6) Introduction : Flaubert publie l’Education Sentimentale en 1869. Ce roman souvent qualifié de « roman d’apprentissage » présente, à travers les péripéties d'un jeune provincial en route pour Paris, son apprentissage du monde au sein d'une société en pleine effervescence. Le contexte historique de la Révolution de 1848 est présent en arrière plan de l’œuvre. Dans notre extrait, l’histoire politique et l’histoir...
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John Millington Synge
John Millington Synge C'est à Lugné-Poe, directeur du Théâtre de l'OEuvre, que l'on doit la révélation en France de John Millington Synge. Après Pelléas et Mélisande de Maeterlinck ; La Lépreuse de Henry Bataille ; Ubu roi de Jarry, et avant Le Cocu magnifique de Fernand Crommelynck, Lugné-Poe monta en 1913 Le Baladin du monde occidental. Le "découvreur" de tant d'oeuvres originales est bien oublié aujourd'hui, cela pourrait donner à réfléchir une fois de plus à la gloire éphémère des gens de th...
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La littérature vous semble être plutôt un moyen de se divertir c'est à dire de se détourner du monde réel ou un moyen particulier privilégié de rendre compte du monde réel, de la vie des hommes, de la nature humaine ?
A première vue, il est difficile d'attribuer à ce type de question une signification chargée d'une valeur problématique. En effet, la réponse la plus immédiate que l'on est tenté d'y faire est nécessairement positive : rien ne sort jamais du réel, lequel est bel et bien déterminé par nos fonctions vitales. Dès lors, la validité de l'affirmation dépend de la définition de « réalité », qui ne signifie plus simplement « ce qui est », mais « ce qui est prosaïquement », ce qui relève autant que possi...
- Marc-Antoine DÉSAUGIERS (1772-1827) - Les plaisirs du dimanche
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Juste la fin du monde de J-l lagarce L'exposition de la pièce ( 1, 1) depuis « C'est Catherine . »jusqu'à« Vous vivez d' une drôle de manière» ( p 25-27)
Juste la fin du monde de J-l lagarce L'exposition de la pièce ( 1, 1) depuis « C'est Catherine. »jusq u'à« Vous vivez d'une drôle de manière» ( p 25-27) Eléments d'introduction : ► Présentation du passage Ce passage se situe juste ap rès le prologue de l ouis qu i annonce q u'il va mourir dans quelques mois et qu' il vient annoncer sa « mort procha ine et irrémédiable» . loui s arrive dans la maison de la Mère et de Suzanne (cf. la didascalie initiale) et il rencontre pour la prem...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - La pente de la rêverie
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Théophile de VIAU (1590-1626) - Perside, je me sens heureux
Théophile de VIAU, « Perside je me sens heureux » Ode 1. Perside, je me sens heureux 2. De ma nouvelle servitude, 3. Vous n'avez point d'ingratitude 4. Qui rebute un coeur amoureux. 5. Il est bien vrai que je me fâche 6. Du fard où votre teint se cache. 7. Nature a mis tout son crédit 8. À vous faire entièrement belle, 9. L'art qui pense mieux faire qu'elle 10. Me déplait et vous enlaidit. 11. L'éclat, la force et la peinture 12. De tant et de si belles fleurs 13. Que l'Aurore avec ses pleurs 14...